Église de Satan

connaissance : connaissance de la nature, du moi et de l’univers dans les Contemplations (1856), exploration et synthèse de l’histoire dans la Légende des siècles (1859-1883), connaissance du divin dans Dieu (écrit en 1855, posthume, 1891) et dans la Fin de Satan (posthume, 1886). Si les Contemplations s’articulent encore autour de la terrible épreuve que fut pour le poète la mort de sa fille (les poèmes «!Autrefois!» et «!Aujourd’hui!» y évoquent Léopoldine), la Légende des siècles est le projet d’une épopée

humilité, et en disant “ repentance ”", mais ils ont changé le mot et sont entrés dans la ville en rampant sur leurs fesses et en disant "un grain de blé dans les cheveux" ” (récit d’Abu Huraira, Bukhari LV 615) “ Umm Habiba et Umm Salama ont parlé d’une église vue en Éthiopie qui contenait des images. Après l’avoir dit au Prophète, celui-ci dit : - Si un homme religieux meurt chez ces gens-là, ils construiront un lieu de culte sur sa tombe et y placeront ces images. Ils seront les pires créatures aux yeux

et les anges. Pour agir contre la nature humaine en ne permettant pas de raison d'exclure les émotions - était de descendre au niveau des bêtes. Dans l'autre sens, pour tenter d'aller au-dessus de sa place, comme Eve a fait quand elle fut tenté par Satan, était au désastre. Pourtant écrivains de la Renaissance parfois montré ambivalence à l'égard d'un tel univers rigidement organisée. Par exemple, le philosophe italien Pic de la Mirandole, dans un ouvrage intitulé Sur la dignité de l'homme, exalté

(Hébreux 12:2), c'est-à-dire : celui qui a créé la foi, et celui qui amène la foi à la perfection.        17- Être fidèle jusqu’au bout.           Au début du livre de l'Apocalypse, vous savez que le Seigneur Jésus s'adresse aux sept Eglises. Ces sept Eglises représentent un échantillon complet de l'état de toute l'Eglise dans tous les temps, y compris maintenant. Et sur les sept, il y en a seulement deux auxquelles il ne fait aucun reproche. A toutes les autres, il dit : "J'ai quelque chose à

ce que c’est que le péché ? Le péché a consisté précisément à vouloir quitter la relation de don réciproque pour s’occuper de soi-même plutôt que de l’autre. Satan a réussi à faire croire à l’Homme et à la Femme que Dieu était un gêneur dans l’Amour. Et qu’il fallait inventer l’amour soi-même, qu’il fallait inventer le bonheur soi-même. Satan a fait croire que les exigences que Dieu proposait à l’Homme, qui étaient en fait des exigences qui lui donnaient d’être lui-même, l’exigence d’un amour échangé

l’intérieure de l’Eglise. Des prêtres et moines refusent de s’associer à ce système. Cette contestation qui gronde et qui monte depuis plusieurs décennies trouve son apogée avec Martin Luther qui devient entre 1510 et 1520 le symbole de la réaction d’une Eglise véritable qui prend ses racines dans la vérité de l’Evangile, plus proche des petits gens que de l’Eglise riche installée, qui fait partie de l’élite. Idée de revenir à un dogme plus stricte de l’Eglise. Les princes allemands se convertissent rapidement

naïveté est peut-être ce qui nourrira pendant longtemps cette représentation du « rêve Américain ». Texte 46. Voltaire,  Dictionnaire philosophique, Article QuakersQUAKER OU QOUACRE, OU PRIMITIF, OU MEMBRE DE LA PRIMITIVE EGLISE CHRETIENNE, OU PENSYLVANIEN, OU PHILADELPHIEN. De tous ces titres, celui que j’aime le mieux est celui de Philadelphien, ami des frères. Il y a bien des sortes de vanités ; mais la plus belle est celle qui, ne s’arrogeant aucun titre, rend presque

financer le dôme de l'église Saint Pierre de Rome le Pape proposait le pardon des péchés contre la vente d'indulgences (lire des extraits du tarif des indulgences). Le moine allemand Martin Luther s'éleva contre ce trafic et afficha sur la porte de son église 95 thèses contre les indulgences. Aux envoyés du Pape qui veulent le contraindre à se rétracter Martin Luther répond: «Prouvez-moi, par la sainte Ecriture (la Bible), que je me trompe, et je me rétracterai.» C'était leur demander l'impossible. Au

domaine, qualitatif lui-même, et que Swedenborg appelle le royaume du Bon (ou du mauvais, bien entendu). Ce royaume-là gouverne le monde des nombres comme l'intention de l'architecte, ses goûts personnels gouvernent les proportions qu'il donne à son église. C'est pourquoi nous sommes ici dans le royaume des fins ou des motifs. Ce royaume-là est directement sous l'influence du Grand architecte : Dieu. d) Relation liant Dieu au Monde du Vrai Dieu se manifeste, dirait-on, selon un principe d'aisance

lire ce qui est ancien est passé mais disparu. C’est donc le positionnement qui nous introduit dans la nature et l’identité de CHRIST et nous garantie la vie éternelle et l’héritage du Royaume. Or le positionnement n’est pas tout (autrement les églises et les Epîtres du Nouveau Testament seraient inutiles). Il faut : o Etre positionné en CHRIST (Nouvelle Naissance, Jean 3 : 1-8) o Demeurer en CHRIST (Processus de la Maturité Spirituelle, Galates 4 : 19 et Ephésiens 4 : 11-19) o Opérer en CHRIST