Église Santa Maria del Carmine

Fresques 2.1.2 Tableaux 2.2 Sculptures 2.3 Architecture 2.4 Dessins 3 Galerie 4 Notes 5 Compléments 5.1 Bibliographie 5.2 Liens internes 5.3 Liens externes Biographie Né le 6 mars 1475 à Caprese, au nord d'Arezzo en Toscane de Francesca di Neri del Miniato di Siena, sa mère et Lodovico di Leonardo Buonarroti Simoni, son père, qui est magistrat et podestat de Caprese et Chiusi. La famille revient dans sa maison de Settignano près de Florence, après que le père a fini sa charge de podestat. En 1481

grandeur héroïque. En comparaison à La Vierge à l’Enfant avec saints et Federico da Montefeltro de Della Francesca, on voit que les personnages n’y occupent que la moitié de la hauteur, ce qui donne un tout autre effet. La Trinité. Florence, Eglise Santa Maria Novella. Il s’agit d’un monument funéraire peint, représentant une image de la trinité, accompagnée de celle des commanditaires. Cette œuvre témoigne de l’adhésion totale de Masaccio au système perspectif. La perspective est très maîtrisée

dans Le Vite, recueil des biographies des artistes de la Renaissance, due à Giorgio Vasari en 1550, la seconde émane de son élève, Ascanio Condivi en 1553. Biographie Né le 6 mars 1475 à Caprese, au nord d'Arezzo en Toscane de Francesca di Neri del Miniato di Siena, sa mère, et de Lodovico di Leonardo Buonarroti Simoni, son père, magistrat et podestat de Caprese et Chiusi. La famille revient dans sa maison de Settignano près de Florence, après que le père a fini sa charge de podestat. En 1481

l'architecture religieuse, les peintures et les sculptures notamment. L'art gothique se distingue du Moyen-Age en appliquant des couleurs vives, comme le bleu, le jaune ou encore le rouge. Couleurs réservées aux vêtements nobles et aux intérieurs des églises, souvent représentées sur fond doré, montrant ainsi la richesse face au quotidien du Moyen-Age. Le réalisme dans les traits des personnages se révèle assez absent des œuvres gothiques, car l’identification d’un individu est signe d’orgueil et de vanité

perspective aussi. Technique de relief écrasé, ou de méplat (rilievoschiacciato) reliefs qui diminuent plus on s’enfonce dans le fond du panneau. Le bas-relief montre l’histoire. Donatello, Saint Louis de Toulouse, bronze doré, 261 cm de haut, Museo di Santa Croce. Placé dans une niche, là où se réunissent la rue de la cathédrale et la rue du palais de la seigneurie, endroit très important. Figure encore plus en relief que Ghiberti. Commande du parti guelfe pour Orsanmichele. Plis qui veulent imiter

et de leur parler un langage non souillé par l’usage, et qui donne un plaisir physique[17]. » b. Quelques œuvres vues par Stendhal • Léonard de Vinci, La Cène, 1495-1497, huile et détrempe, 460 x 880 cm, Couvent dominicain de Santa Maria delle Grazie, Milan. Lorsqu’il évoque La Cène, Stendhal semble délaisser son discours d’historien d’art ou de critique. Il se laisse glisser, avec un plaisir non dissimulé, vers l’écriture romanesque. Rompant avec le discours traditionnel, froid

les édifices de cette époque. L'Ancien Testament et le christianisme catholique inspirent toujours les œuvres d'art. Page 1 sur 12 La renaissance David, vers 1476, Andrea Verrocchio (Florence 1435 Venise 1488), (Florence, Museo Nazionale del Bargello). Summum de grâce et de beauté, des proportions, le David de Verrocchio, héritier fidèle des nouveautés que Donatello avait apportée à la statuaire antique. 3) Avancées scientifiques et nouvelles techniques L'avancée des sciences profite aux

la société une domination idéologique et culturelle presque totale. À la Renaissance, le banquier, le marchand et bien au-delà, les grandes familles comme les Médicis, lui font concurrence. Ce sont eux qui désormais financent la construction des églises. La rigidité dans la 4 Galilée : Renaissance italienne © CNDP 1999 représentation, le repentir et la mortification laissent place à la notion de plaisir : l’homme est là pour goûter les joies de la nature, l’artiste lui permet d’y accéder. Par

du Vatican le premier exemple d'une superposition correcte des trois ordres fondamentaux. Les nouveaux types Les programmes de construction de la Renaissance ne différaient guère de ceux du Moyen-Age : il s'agissait avant tout de construire des églises et des palais. L'Italie en ajouta deux : la maison de campagne ou villa, et la place publique à ordonnance uniforme. * les plans d'église. A San Lorenzo et à Santo Spirito, Brunelleschi reprend le plan traditionnel en croix latine, mais il fondit

mode. ▪ Le thé à l’anglaise. Michel Barthélemy Olivier, Versailles. Dans salon des quatre glaces au temple à Paris chez prince de Conti. 1766. Rappelle le passage de Mozart à Paris. De nombreux hôtels particuliers sont construits (Matignon), des églises (Panthéon de Soufflot), des places royales (Place Louis XV, actuelle place Concorde). Le mot urbanisme n’a été créé qu’au XIX° s., alors quel e concept s’inscrit parfaitement dans la pensée à la fois rationaliste et utopique des Lumières. Au XVIII°