Égyptienne

unité culturelle spécifique, la civilisation égyptienne conserve « une certaine continuité dans la tradition [scientifique] »[29] au sein de laquelle les éléments anciens restent très présents. L'écriture des hiéroglyphes permet la représentation plus précise de concepts ; on parle alors d'une écriture idéographique. La numération est décimale mais les Égyptiens ne connaissent pas le zéro. Contrairement à la numération sumérienne, la numération égyptienne évolue vers un système d'écriture des grands

des armées l'administrateur principal le premier magistrat le prêtre suprême de l’Egypte Antique  Masque de Toutankhamon 11ème pharaon 4 Missions: • D’assurer l'harmonie entre les hommes et le ciel • D’être garant de la morale de son peuple égyptien • De bâtir, de restaurer et d'agrandir les temples • D’assurer le bien-être de ses sujets et de veiller à l’accomplissement correct des rites • De choisir la politique à mener 5 L’exécution de ses décisions: 6 Dynastie 0: transition entre la

beaucoup de poètes et écrivains romantiques. « Le dernier obstacle enlevé, la jeune femme se dessina dans la chaste nudité de ses belles formes » (p.88, le Roman de la momie). La momie nous ouvre les portes de la mort dans l’éternité. Cette jeune égyptienne retrouvée des siècles après sa mort, nous délivre son amour secret pour un hébreux à l’époque où le peuple opprimé par le Pharaon se soulève. Gautier nous invite à remonter le temps en mêlant histoire romanesque et romantique et épisodes de l’Ancien

entrailles. On voit ainsi que pour les germains, le dieu du silence montrait l'obligation de vengeance, une obligation silencieuse, inaltérable, implacable, une raison de vivre et de mourir. Le silence était tout aussi omniprésent dans la religion égyptienne. Dans leur présentation de l'origine du monde, nous retrouvons nombreux de nos symboles. Au commencement, il n'y avait que NOUN, l'océan primordial, qui créa la vie grâce à ses eaux. Il fit surgir la colline originelle, BENBEN, sur laquelle

modernes régies par ce type de croyance, il n’en allait pas de même dans l’univers égyptien. La femme n’était la source d’aucun mal et d’aucune dénaturation de la connaissance, bien au contraire ; c’est elle, à travers la grandiose figure d’Isis, qui avait affronté les pires épreuves et découvert le secret de la résurrection. On retrouve de fortes puissances destructrices, bienfaitrices et sages dans la croyance Égyptienne. Sekhmet (voir annexe I) est le meilleur exemple de puissance destructrice. Elle

Egypte du Sud = Haute Egypte Egypte du Nord = Basse Egypte Le cours d’eau (le Nil) est le lien de tous les Egyptiens. En basse Egypte, il y a peu de matériaux durs, ils vont les chercher dans d’autres régions. Les Egyptiens n’ont pas les moyens nécessaires pout honoré les dieux. Ils montrent donc la puissance du pays avec l’architecture des bâtiments. Les Egyptiens ont tout sur place, tous les matériaux, ce qui leur facilite la vie et les aider considérablement. On constate encore cela

sont des peuples sans passé. En 1951, Diop prépare sous la direction de Marcel Griaule une thèse de doctorat à l'Université de Paris, dans laquelle il affirme que l'Égypte antique était peuplée d'Africains noirs5, et que la langue et la culture égyptiennes se sont ensuite diffusées dans l'Afrique de l'Ouest. Il ne parvient pas dans un premier temps à réunir un jury mais, d'après Doué Gnonsoa, sa thèse rencontre un « grand écho » sous la forme d'un livre, Nations nègres et culture, publié en 19546

fasciner l'Occident et susciter de nombreux fantasmes : la danseuse orientale. Cet aspect  de la culture égyptienne ne sera pas compris. Il fera l'objet de déformations, avec le concept de « danse du ventre », pourtant la danse était autre chose dans l'Egypte d'alors. Sulfureuses autant qu'adulées, marginales et accusées à tort ou à raison de pratiquer la prostitution, les danseuses égyptiennes, dont la renommée était grande dans le monde arabe, ont vu peu à peu leur univers réduit. D'abord, à cause

écriture grecque en vigueur du XIVe siècle à 1200 ACN lors de la période mycénienne  = ka/ = ro/ = pu  - les idéogrammes/pictogrammes : signes d’écriture notant un mot ou une notion. Ces signes sont pourvus de sens en eux-mêmes. EX. idéogrammes égyptiens 3. Sens du tracé et de lecture En général, nous écrivons sur un plan horizontal de gauche à droite Mais les écritures anciennes ont une variété surprenant de directions :  Dextroverse Sinistroverse Boustrophédon Horizontale de gauche à droite

beau corps si miraculeusement conservé » : « Ici le corps […] avait conservé l’élasticité de la chair, le grain de l’épiderme et presque la coloration naturelle ; la peau, d’un brun clair […] ne devait pas différer beaucoup du teint de la jeune Egyptienne en son vivant » (p.90). Ce portrait soigneux entraîne, auprès de la réception, l’attente que cette splendeur orientale se réveille. Mais Gautier le savait, une momie ne meurt pas, elle est l’image de la vie dans la mort. Son « ka », moi intérieur