Élection présidentielle française de 1981

formé à Alger et réclame le retour de De Gaulle au pouvoir. En effet, de par son statut de militaire, il apparaît, aux yeux des Pieds-noirs d'Algérie, comme un partisan de la lutte contre le FLN et donc un partisan du maintien de la souveraineté française. Ce dernier se dit « prêt à assumer les pouvoirs de la République ». Des dirigeants politiques de différentes sensibilités politiques, comme Guy Mollet[2] ou Antoine Pinay[3], se rallient à cette idée. D'autres, à gauche, s'inquiètent et manifestent

La présidence de le République sous la Vème République : Institutions et Pratiques Introduction Le 13 mai 1958, une manifestation organisée par les partisans de l’Algérie française réclame le retour du général de Gaulle au pouvoir. Le président de la République, René Coty rappelle alors de Gaulle, et lui confie les pleins pouvoirs pour une période de 6 mois. De gaulle propose alors par référendum aux Français, une nouvelle constitution. Approuvée par une grande majorité des votants, la Constitution

• La « nouvelle société » Les rapports entre le président et son Premier ministre s'avèrent toutefois difficiles dans la mesure où ce dernier, en lançant le thème de la « nouvelle société » définissait les grandes orientations de la politique française, prérogative depuis 1958 du président de la République.  Le président recherche une ouverture politique pour élargir sa majorité en direction du centre, tandis que son Premier ministre envisage une ouverture sociale pour essayer de retrouver le soutien

Socialiste : Il est le successeur de la SFIO (Section Française de l’International Ouvrière, avancées sociale et des syndicats qui amènes le front populaire au pouvoir) créée a 1905. En 1920, il se divise en deux pour créer le Partis Communiste suite au congrès de Tours. Le PS déclineras au cours des années 60, et il atteindras le plus bas des enquêtes d’opinion en 1969 où il n’obtiendras que 5% des voix à l’élections présidentielle (Pompidou devient président). François Mitterrand le transforme

né le 22/11/1890 à Lille mort le 09/11/1970 en Haute - marne Date du mandat : 8 janvier 1959 28 avril 1969 Président du GPRF ( gouvernement provisoire de la république française ) de 1944 à 1946, il est nommé président du Conseil par René Coty (sénateur de la Seine-Inférieure ) en mai 1958, pour résoudre la crise de la guerre d'Algérie (La guerre d’Algérie est un conflit qui se déroule de 1954 à 1962, principalement sur

socialistes de la SFIO (société française de l'internationale ouvrière) 3. les ''français libres'' regroupés autour de De Gaulle. (les gaullistes) ⇒ Ces 3 partis sont inspirées des idéaux de la résistance et réclament le retour à la démocratie et à une société plus juste que celle d'avant guerre. Elles divergent toutefois sur les moyens de faire cette révolution. A) La nouvelle assemblée constituante et la mise en place des nouvelles institutions. 1- Les premières élections législatives après la guerre

 Des années 1950 aux années 1970, aucun réel mouvement d’extrême droite n’a réellement de poids dans la vie politique française. Les groupuscules n’occupent qu’une place marginale. Même les crises du pays comme le mouvement d’indépendance algérienne n’amènent pas à de bons résultats de votes. Le seul mouvement poujadiste de 1956 permettra d’atteindre 12% des suffrages exprimés. Ce n’est donc qu’en 1972 que les petits groupuscules préexistants très différents, voire ayant des conceptions totalement

LA FRANCE DE LA CINQUIEME REPUBLIQUE Accroche : on a fêté en 2008 le cinquantenaire de cette République, qui a donc prouvé sa capacité à durer. Pourtant au cours de la campagne présidentielle de 2007, on a débattu de la possibilité d’instaurer une Sixième République (Ségolène Royal). Nicolas Sarkozy élu en 2007 a maintenu la Cinquième République mais en proposant une révision constitutionnelle, adoptée le 23 juillet 2008. Si celle-ci a finalement été limitée et ambiguë, il s’agissait en particulier

personnalité charnière de la Ve République en parvenant à unir la gauche pour la première fois depuis le Front Populaire de 1936. L'année 1981 connaît un retournement spectaculaire avec l'arrivée de la gauche au pouvoir, aussitôt suivie par un phénomène inattendu et inédit depuis la crise du 16 mai et le Cartel des Gauches, la "cohabitation". I. L'élection présidentielle de 81 Valéry Giscard d'Estaing est favori dans les sondages. En face la gauche est désunie, le PC a rompu le programme commun

situation a conduit les acteurs à faire une nouvelle lecture de la Constitution. Les pratiques ont finalement abouti à trois cohabitations assez différentes. En mars 1986, pour la première fois dans l'histoire de la Ve République, majorité présidentielle et majorité parlementaire ne concordent plus ; commence alors une expérience institutionnelle inédite : la cohabitation. Ce cas de figure, qui avait été déjà envisagé par le Général de Gaulle, se renouvelle deux fois, en 1993 et en 1997. Les