Élections législatives françaises de 2007

FRANCE DE LA CINQUIEME REPUBLIQUE Accroche : on a fêté en 2008 le cinquantenaire de cette République, qui a donc prouvé sa capacité à durer. Pourtant au cours de la campagne présidentielle de 2007, on a débattu de la possibilité d’instaurer une Sixième République (Ségolène Royal). Nicolas Sarkozy élu en 2007 a maintenu la Cinquième République mais en proposant une révision constitutionnelle, adoptée le 23 juillet 2008. Si celle-ci a finalement été limitée et ambiguë, il s’agissait en particulier de

République est-il réellement placé “au-dessus des partis” ? Le 29 mai 2007, le président de la République, Nicolas Sarkozy avait participé au meeting organisé par son parti, l’UMP, en vue des élections législatives. Suite à ce meeting, le journal Le Monde avait mené un sondage auprès de ses lecteurs en posant la question suivante : « La participation de Nicolas Sarkozy au meeting de l’UMP du Havre pour les élections législatives vous paraît-elle conforme avec son statut de président de la République

quinquennat Pendant trois septennats, la vie politique française est en état d’arythmie. À partir de 1981 et pendant un quart de siècle, les élections législatives se traduisent systématiquement par la défaite de la majorité parlementaire sortante. Deux réformes adoptées au début des années 2000 bouleversent la donne : La première raccourcit le mandat du Président de sept à cinq ans. La seconde prévoit la tenue des élections législatives au lendemain de l’élection présidentielle. Désormais

questions essentielles comme le rôle de l'état dans l'économie, sur les problèmes scolaires et surtout sur les problèmes coloniaux. Les guerres coloniales constituent en effet la principale difficulté. En Indochine, depuis 1946, la guerre oppose l'armée française aux troupes du Viêt-minh qui revendique l'indépendance. Après la défaite de Diên Biên Phu, Pierre Mendés France, président du Conseil met fin au conflit en signant les accords de Genève (21 juillet 1954). Il prépare également l'accession à l'indépendance

mandat (1995-2002). 4 B) Les second mandat de Jacques Chirac (2002-2007). 5 C) La politique après les 50 de la Vème République. 5 La Vème République après le Général de Gaulle. I) Georges Pompidou (1969-1974) entre réforme et conservatisme. Après la démission de CDG, le Président du Sénat Alain Poher assure l’intérim jusqu’aux prochaines élections. Georges Pompidou sort vainqueur des élections présidentielles le 15 juin 1969. A) Poursuivre une politique industrielle

courant de pensée socialiste, dont la Section française de l’internationale ouvrière (SFIO), fondée en 1905. Ses alliés historiques sont le Parti radical de gauche, le Parti communiste français et plus récemment Europe Écologie Les Verts. Le PS réside actuellement 10 rue de Solférino à Paris et est le deuxième parti politique français, en 2007, en nombres d’élus. Pour autant, le Parti socialiste accumule les échecs lors des grandes élections, dont les élections Présidentielles. Hormis François Mitterrand

Populaire I. Histoire du parti 1) Histoire de l’UMP L’UMP est créé le 23 avril 2002 par Jacques Chirac et Alain Jupé. Le but de ce parti est de rassembler toutes les forces politiques de centre et de droite lors du premier tour des législatives de 2002. C’est pour cela qu’il s’intitulait dans un premier temps « Union pour la majorité présidentielle ». Il a aujourd’hui gardé les mêmes initiales mais il est devenu « Union pour un mouvement populaire » lors de son congrès fondateur le 17

compte les évolutions du pays : " La nouvelle société " ( libération et progès social ) Politique étrangère : il accepte l'entrée du RU au CEE en 1969. Pendant ce temps, la gauche de reconstitue . Le PS ( avec Mitterrand ) remplace le section française de l'international ouvrière ( SFIO avec Mollet et Blum ) . Le PS et le PCF signe un programme commun de gouvernement en 1972. Pompidou meurt en 1974, malade. VALERY GISCARD D'ESTAING ( 1974-1981) La République non gaulliste. modification

de ce principe « dans les conditions déterminées par la loi ». La loi du 6 juin 2000 contraint les partis politiques à compter moitié de candidates pour les élections qui ont lieu au scrutin de liste : municipales (dans les communes de 3 500 habitants et plus), régionales, européennes et, en partie, sénatoriales. Pour les législatives, les partis qui n’ont pas au moins 48 % de femmes candidates sont pénalisés financièrement. Pour les sénatoriales, seuls les départements de quatre sénateurs et

1976 - Centristes et Libéraux réunis au sein de l’UDF (Union pour la Démocratie Française) créé en 1978 - Gauche de nouveau désunie : rupture de l’alliance électorale en 1977 - Bipolarisation accentuée par la mise en place du scrutin majoritaire uninominal à deux tours (deuxième tour à deux candidats sauf si l’un obtient la majorité absolue des suffrages au premier tour) aux élections présidentielles et législatives / Le but est que seuls les grands partis obtiennent des élus pour dégager des majorités