Électre

l'antiquité, la tragédie est liée au culte du dieu Dionysos (dieu du vin et de la fête). Les tragédiens les plus connus de nos jours sont les dramaturges grecs Sophocle et Euripide dont les plus célèbres œuvres sont pour Sophocle Œdipe roi, Antigone ou Électre. Et pour Euripide, Hippolyte ou encore Andromaque, etc. Pour Aristote, philosophe grec, le but de la tragédie est la catharsis, c'est-à-dire, la purgation des passions. Le spectacle tragique plonge le spectateur dans la pitié et la terreur afin

dont seule une dizaine nous sont connues. Mais celles qui nous restent le consacrent comme l'un des maîtres de la tragédie antique aux côtés d'Eschyle et d'Euripide. Ses versions des mythes thébains et troyens comme "Antigone", "Oedipe Roi" ou "Électre" ont aujourd'hui valeur de référence. Contemporain de Périclès, il accompagne l'âge d'or de la cité athénienne en devenant, en 443 av. J.-C., hellénotame, c'est-à-dire trésorier de la ligue de Délos regroupant les États sous l'égide d'Athènes. Nommé

tromperie et jalousie) - Conflits entre Maître et valet (pas les mêmes opinions, trahison du valet etc...) - Conflits entre ennemis jurés (deux hommes se disputant la même femme...) * Conflit intérieur ( sentiments opposés) : ex: Electre, ne sait si il doit pardonner à sa mère ou pas. II-Les moyens scénographiques de sa représentation au théâtre. A-Les éléments concernant l’acteur. -Costumes des personnages - Jeux des acteurs ( gestuelle ,intonations de voix ...) B-Le

l'homme rusé qui remplace la force par l'intelligence. Patrocle : l'ami d'enfance, fidèle en toues circonstances. Cassandre : la bavarde qui finit par lasser son entourage. Iphigénie : la jeune fille sacrifiée à l'ambition des hommes. Electre : l'aînée, responsable de l'avenir de la famille et incarnation de la vengeance. Orestre : le fils qui veut perpétuer la mémoire de son père. Les personnages de l'Iliade sont donc archétypes : des personnages originaux qui servent

Oreste. Ce dernier obtient cependant son acquittement par l'Aréopage d'Athènes. Ce serait Athéna elle-même qui, insistant sur le caractère juste de l'acte de cette vengeance, aurait influencé la décision du tribunal. Sœurs d'Oreste, Iphigénie et Électre connaîtront également un destin douloureux : la première sera sacrifiée par son père Agamemnon, avant de devenir prêtresse d'Artémis, qui la sauve; la seconde vengea son père avec l'aide de son frère Oreste et fut condamnée à mort, mais sauvée par

teste 2 par contre, se déroule pendant un entracte, ce qui est tout à fait inhabituel puisque l’entracte est une pause réservée aux spectateurs, et pendant lequel les acteurs se reposent où change de costumes. Ici le jardinier à qui était promis Électre arrive sur scène, comme si c’était totalement imprévu et improvisé à la dernière hâte pour le spectateur, et commence son monologue. Mais il ne se parle pas à lui-même, il parle aux spectateurs et leur explique son tourment. Il y a au moins six fois

car le vrai au théâtre n’est que convention. Le langage aussi est irréel : au XVIIe siècle, les faux dévots ne s’exprimaient pas en vers et jamais, un jardinier ne prendrait la parole pour définir la tragédie, comme celui que Giraudoux imagine dans Électre. Diderot encore précise qu’au théâtre, le « vrai » est la conformité de la représentation avec le « modèle idéal imaginé par le poète et souvent exagéré par le comédien ». Le langage des Euménides, même trivial et enfantin, n’est pas celui de petites

pu commettre parce qu'on peut s'imaginer être à sa place, imaginer ce qu'on peut ressentir lorsqu'on est à sa place. Dans la pièce « Les Mouches » de Jean-Paul SARTRE, Egisthe un tyran regrette d'avoir dû punir Électre ; ce qui est inattendu : « Je regrette d'avoir dû punir Électre », il a été obliger de la punir. Ici le tyran souffre et il le montre des paroles pleins de désespoir : « Mais je suis une coque vide : une bête m'a mangé le dedans sans que je m'en aperçoive. ». Il ne ressent aucune

mythes antiques avec modernité  La littérature se nourrit de la littérature passée. Comme Racine au XVII e siècle, les dramaturges du XX e siècle se plaisent à réécrire les mythes antiques. Jean Giraudoux reprend les personnes d’Oreste dans Electre, Jean Anouilh ceux d’Antigone et de Médée, Cocteau s’inspire lui aussi ces mythes.  D’autres s’appuient sur ces mythes mais s’en éloignent pour aborder d’autres thèmes, il s’agit davantage d’un théâtre d’idées, un théâtre existentialiste (Les Mouches

dans l’appréciation des aptitudes des postulants. Des méthodes de choix plus complexe peuvent alors être mise en place comme la méthode ELECTRE : cette méthode Electre est une méthode de choix multicritères qui permet de classer des candidats à partir de critères qualitatifs qui sont quantifiés à l’aide d’une notation. L’idée de base de la méthode Electre est la suivante : si un candidat A est au moins aussi bon qu’un candidat B sur la plupart des critères (Indice de concordance) et si par ailleurs