Éléphant de mer

reconstitution de mammouths pour comprendre à quel point le mammouth laineux est impressionnant. Cet animal sympathique et débonnaire fait l’objet de la naturalisation par Jack Thiney, taxidermiste au Muséum. Auteur de la reconstitution de Siam, le célèbre éléphant du Zoo de Vincennes aujourd’hui présenté à la Grande Galerie de l’Évolution, Jack Thiney est parti de données scientifiques pour reconstituer en polystyrène la forme du mammouth, puis il l’a habillé de poils synthétiques, lui donnant un aspect très

révolution artistique. Problématique : En quoi cette cette œuvre est surréaliste ? Description : Ce tableau représente une femme allongée sur une sorte de rocher « plat » qui flotte sur une mer calme. Autour d'elle, nous pouvons voir plusieurs animaux donc un poisson, deux tigres, un éléphant à pattes d'insectes ainsi qu'une abeille. De plus, un fusil est représenté pointé sur la femme. On peut voir aussi deux grenades, l'une est au premier plan et l'autre au second. Ici tout flotte rien

à la civilisation Carthaginoise, à l'époque les deux plus grandes puissances mondiales. Carthage est la plus grande puissance maritime mais n'a pas une grande armée terrestre contrairement à Rome qui est très puissante au sol mais désavantagée en mer. Carthage compte donc sur les mercenaires pour les guerres terrestres. 268 (-64)-241 av. J-C : Première guerre punique 23-27 ans Messine constitut l'enclenchement de la guerre, elle est d'abord prise par les carthaginois. Rome vient en aide à

pour origine des luttes d’influence en Sicile, terre située à mi-chemin entre Rome et Carthage. Suite à cette défaite, le nouveau chef des armées en Sicile redresse la situation en menant une stratégie de raids et de guérilla, sur terre comme sur mer, en Sicile comme en Italie, tenant les positions siciliennes par des forteresses inexpugnables. L’armée punique a, en effet, une meilleure technique des sièges et des fortifications que celle des Romains apprise auprès des Grecs. De ce fait, les troupes

éloge de la femme aimée. Le poème peut être lu comme un voyage sur la mer mouvementée du désir. C’est dès le troisième vers, avec « Comme une étoffe vacillante » que les comparaisons avec la mer apparaissent ; en effet, tout au long du poème se développe la métaphore filée qui relie la femme à la mer. Ce sera dans la deuxième strophe seulement que le mot « mer » apparaîtra. Ainsi, son corps « miroite[r] » tel la surface de la mer sous la lumière du soleil. Sa chevelure est qualifiée de « profonde

maison ». Tout seul, il apprend à survivre, va rencontrer des personnes étonnantes et se faire quelques amis. Il aide les maraîchers à décharger leurs cageots, la boulangère, Ida, à livrer son pain. Il aime bien aller lire un illustré au bord de la mer, dans un jardin… Mais ce qu’il préfère, c’est se retrouver sur un brise-lames, au bout de la digue. C’est là qu’il rencontre Giordan, un pêcheur. Mais, Mondo ne se sent pas en sécurité car il a peur que la camionnette grise ne l’emmène à l’Assistance

métaphore de la mer « mer odorante et vagabonde », « flots bleu » et la comparaison au navire « comme un navire », le poète déréalise le corps de la femme avec son imagination.· Le rêve est évoqué par « mon âme rêveuse », le contact avec son corps donne lieu à un rêve éveillé.· Les nombreuses allitérations viennent créer une certaine musicalité.[v] « chevelure, vagabonde, navire, éveille, vent, rêveuse, vaisseau »  [b] «  vagabonde, bijoux, belle, abandon, bout, bâton, balance, bord » [m] « mer, comme, mon

récit exemplaire Document élève 1 LES AVEUGLES ET L’ÉLÉPHANT Il était une fois un village entièrement peuplé d’aveugles. Un colporteur1 informa les habitants qu’un prince, venu de loin, traversait la contrée à dos d’éléphant. « Qu’est-ce qu’un éléphant ? » demandèrent les aveugles. Il n’y en avait pas dans les parages, et ils n’avaient jamais entendu parler de cet animal-là. Le colporteur leur dit qu’il s’agissait d’une bête gigantesque, en tout point extraordinaire. Il piqua si bien leur curiosité

âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux où rien ne se révèle De doux ni d'amer, Sont deux bijoux froids où se mêlent L’or avec le fer. A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui danse Au bout d'un bâton. Sous le fardeau de ta paresse Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse D’un jeune éléphant, Et ton corps

Rome Contre Carthage Rome : Les Guerre Puniques Nous sommes au début du IIIème Siècle av J.C. Dans le bassin Méditerranéen les régions sous dominations des grandes puissances de ce temps se trouvent toutes dans la partie orientale de cette mer. Il s’agit de Royaumes Hellénistiques. La limite entre la partie Occidentale et Orientale est représentée par l’Italie et la Sicile qui sera amenée à jouer un grand rôle dans cette histoire. Les Grandes Puissances sont donc à l’Est, mais à l’Ouest