Ellipse

Ayant une cause et une exécution selon moi non-justifiables, serait-elle donc doublement injuste? Tout un autre débat! 1044 mots BIBLIOGRAPHIE De Saint Maurice, Thibault. 2011. Philosophie en séries. Coll. « Culture pop », Paris : Éditions Ellipses, 146 p. Einstein, Albert. Freud, Sigmund. 2011. Pourquoi la guerre? Coll. « Carnet de l’Herne », Paris : l’Herne, 51 p. Pascal, Blaise. 1958. Pensées. Paris : Le Club du meilleur livre, 445 p. Rawls, John. 2004. La justice comme équité: une

croissance, développement, inégalités, Ellipses, 2006 Ministère de l’Éducation nationale (DGESCO – IGEN) Bureau des programmes d’enseignement / Ressources pour le baccalauréat professionnel – classe de 2e Histoire - Géographie - Éducation civique : Le développement inégal Page 2 sur 3 • • • • • • • Gervais-Lambony Philippe (dir) : « Justice spatiale », Annales de Géographie n° 665-666, janvier-avril 2009 Hamour Nadia : Les Sud, unité et diversité, Ellipses, 2004 Sen Amartya : Un nouveau modèle

à travers notamment des articles de presse - de s’entraîner aux différents types d’exercices proposés lors des concours. b. Outils de travail à se procurer pour la rentrée - Albert Findling – Logos : l’essentiel du vocabulaire allemand – Editions Ellipses. c. Ouvrages recommandés - Dictionnaire bilingue : Harrap’s Universal - R. Niemann et P. Kuhn : grammaire appliquée de l’allemand (avec exercices corrigés) / Editions SEDES (cet ouvrage est recommandé en vue d’un travail personnel de révision des

sans air sans joie. Le schéma narratif n’est de plus pas suivi par René Clément. Effectivement, deux ellipses narratives ont été réalisées. La scène de la rencontre entre Gervaise et Coupeau à l’assommoir est supprimée. Le cinéaste a choisit de remplacer le regard apeuré de Gervaise sur l’assommoir par celui des enfants (Etienne et Claude) qui observe le père Colombe. Une seconde ellipse narrative omet un partie de la vie de Gervaise durant laquelle ils travaillent dur et parviennent à économiser

personnage est enfin capable de s’analyser et d’analyser le monde qui l’entoure : tout cesse de lui être égal : processus de transformation de M. -L1- 2 ellipse sur le sommeil supposé : moment qui symboliquement marque la rupture avec le réel qu’il vient de vivre, avec la société qu’il ne peut supporter -L 3 « je crois » : modalisation sur cette ellipse, il essaie de réorganiser le temps qui a passé et qui lui reste Alors qu’avant, le temps de Meursault était marqué par le seul retour de la fin de

scène de la miniature (76) | - Ellipse ; une soirée et une nuit (chap.VI et VII) | - Analyser les rapports Jean / Mme Rosémilly et Jean / Mme Roland | - Le désir chez Jean (84 ; 85)- La raison chez la jeune femme (87 ; 88) | - Chez Maupassant, comparer (85) avec la scène de la source en Corse dans Une vie. | | | - La double énonciation (94 ; 95 ; 96) avec la mère cachée. | - La « bourgeoise économe » en héroïne tragique (101 ; 102) | - Le lendemain ; ellipse ; le départ (2 chapitres) | - La

soir descendit (…) et un jour nouveau (…) et les brumes d’une seconde nuit » le temps s’accélère. Accélération plus importante : ellipses temporelles : p.370 (1° apparition idée fixe dents/ sortie du pers de Bérénice) p.373 (annonce mort Bérénice/visite d’Egaeus – cadavre B ) p.375 (fuite chambre/ scène finale) Ellipses : perte mémoire ? Censure (in)consciente ? Suscitent l’angoisse lecteur : que se passe-t-il pendant ces laps de temps ? Angoisse narrateur :

narrateur formule, mais à laquelle il n’adhère pas Asyndète Suppression des mots de liaison « Il suffit, j'ai parlé, tout a changé de face. » (Racine) Ellipse Suppression syntaxique de termes qui cependant peuvent se déduire grammaticalement « Il y a une tempête qui souffle à l'intérieur des eaux du fleuve. Du vent qui se débat. » (Duras) Ellipse de "il y a". Parallélisme Reproduction d'un même schéma syntaxique pour deux énoncés. « Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris » (Baudelaire)

la voulais simplement plus discrète et plus soumise » (l29-30). c) Pour terminer nous allons étudier une ellipse. Dans le texte d’Annie SAUMONT, nous pouvons observer une ellipse : « oui, c’est l’arrière saison, les visites sont finies. Le cagibi une vraie oubliette. Ne viendront désormais que les enfants qui chantent « Ah, mon beau château » » (l32-33) Cette phrase est bien une ellipse car on ne sait pas ce qui se passe entre temps. Ce blanc, dans le récit, produit un effet de suspense. 2

suspension marque un arrêt brutal de l’écriture, comme si la mère de Cécile était débordée par l’émotion mais aussi dévorée par un doute affreux, doute mis en évidence par les ellipses et les phrases interrompues (« Il serait peut-être encore temps de le retenir ?... Mon amie ! ma fille est donc bien coupable ? …) Ces ellipses, particulièrement nombreuses dans le paragraphe 7, signalent l’implicite, l’horreur de la faute et renvoient à l’effroi qu’éprouve la mère de la jeune héroïne qui ne sait rien