Eloge De L Araignee

Reprise de la problématique et annonce du plan → En quoi ce poème illustre-t-il le thème de la laideur ? → En quoi cette ode/éloge est-il surprenant/paradoxal ? → Quels messages VH souhaite-t-il transmettre à son lecteur ? → Comment VH invite-t-il le lecteur à porter un nouveau regard sur la laideur ? → Comment VH tente-t-il de lutter contre les préjugés ? I. Un éloge paradoxal : 1. Un poème lyrique → Expression d'un amour paradoxal - 1ère personne du singulier + 3e personne du singulier

Mais pouvons nous dire que cet ouvrage peut se lire comme un éloge de la main? Nous verrons tout dabord en quoi les artistes font de la main un éloge, et dans un second temps, nous montrerons les cotes négatifs qu'ils lui attribuent. Tout dabord, le titre de cet ouvrage est assez révélateur du contenu. "Les mains" du titre représentent les deux auteurs

Victor Hugo Charles Baudelaire Arthur Rimbaud Tristan Corbière Francis Ponge 1 Un animal et un végétal  Araignée = animal mal aimé / Ortie= plante urticante Animal en décomposition  mort de l’animal Venus / Une vieille femme.  Beauté, sensualité,amour Un crapaud  le prince charmant ( double sens : un crapaud est également un défaut sur une pierre précieuse) Huître  objet enfermé ( parfois perle cachée) 2 Dégout-peur-rejet Laideur physique et émotionnelle Laideur

beau, lierre vient mieux de lui même»Lignes 18-19: Bien que l’homme fassent tous les efforts, il ne peut pas reproduire la nature, il y a quelque chose qui lui manque, « tout et seulement » adverbes d’intensificationLexique nature « tisser chétive araignée, nid = ingéniosité animale »Lignes 20-21: En critiquant les penseurs antiques comme Platon, c’est un pan de la culture occidentale

Poésie en prose Poésie irrégulière tercets, quatrain 1vers seul poésie 13 quatrains rimes riches Registre 4 Lyrique épidictique épidictique Comique = autodérision Épidictique comique Thème 2 Araignée animal/ plante répugnants Éloge du pou Crapaud, poète une personne exclue Éloge du peigne Figure de 3 style antithèse Comparaison (l5 et 6) personnification hyperbole interpellation du lecteur Comparaison animalisation métaphore vers 10 Personnification vers 16, 37 antithèse

part des deux êtres + elles sont maudites et “chétives” = faibles fragiles => il veut que l’on éprouve de la compassion = tonalité pathétique V6 périphrase accentue caractère répugnant (araignée >noire, ortie>verte) l’ortie deviens noire par association symbolique + noir = enfer d’où la malédiction + araignée ne rampe pas c’est le serpent V5-6 Liste des causes avec répétition anaphorique de la locution « Parce que ». Catalogue paradoxal de leurs défauts, qui sont en fait pour Victor Hugo des

Corbière, c'est un dialogue avec le poète qui se représente comme un crapaud. Et il utilise là, tous les aspect du dialogue parlé : tiret, interjections, points de suspension, double exclamations... Enfin, dans Le peigne, Germain Nouveau, fait une éloge assez comique d'un objet pourtant banal, le peigne. Ainsi, de par leurs formes et leurs fonds ces poèmes sont novateur pour leur époque, et peuvent avoir été provocateurs. Dissertation : La laideur peut-elle être une source d'inspiration pour

discours de Vautrin le séduit. " Bravo ! ... voilà un gaillard qui me va "Rastignac écoute Vautrin qui professe, il prend conseil. Nous trouvons des empreints de "floué, arrachés, manger comme des araignées", phrases provocatrices "l' honnêteté ne sert à rien", l'énumération des différentes actions menées, éloge de la persévrance. Nous pouvons conclure que le narrature met en scène le goût de la réussite qui anime ses personnages à travers des discours, des combats, des ambitions. Une focalisation interne

son élément. C’est dans le monde des hommes que tel le poète, ce « prince des nuées » est « maladroit », « infirme ». Le thème de la Nature se trouve également dans le poème de Rimbaud intitulé « le dormeur du val. Presque tout le poème est un éloge de la Nature. Nature qui est sereine, Lumineuse, idyllique, et « vivante »en contraste avec la violence et l’absurdité de la guerre. On voit que laideur et beauté peuvent cohabiter dans un même poème, dans ce cas il s’agit de la beauté de la nature

guerre : Soustraire un homme dans le force de l'âge à la jouissance des plaisirs du monde. le droit de vivre, le droit de jouir de ce que la nature nous offre Une certaine idée de la mort comme retour à la Mère-Nature. Enfin, paradoxalement, cet éloge de la vie semble se combiner avec une image sublimée de la mort. Une mort paisible, sous la protection d’une Nature magnifiée par un N majuscule et décrite comme une mère berçant son enfant (« berce-le chaudement » v.11). On notera avec quelle insistance