Eloge De La Faiblesse

L’homme esclave,briser ses fersChamp lexical de l’esclavageLes femmes ont contribué à la Révolution (p 6-7 OdG) mais les hommes n’ont rien partagé avec elles ; ingratitude, égoïsme.Devenu libre,devenu injusteParallélismeBilan du mouvement 1 : D’abord éloge de la Révolution (opportunité de réveil et règne possible de la lumière) mais aussi (fin du mouvement) constat que les femmes sont laissées pour compte.Incitation vive à l’action (réveil), OdG est celle qui sonne l’alarme et montre que les conditions

positive « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l’on doit croire que c’était une beauté parfaite […] » – La Princesse de Clèves, 1678, Mme de La Fayette « Beau travail ! » à propos une mauvaise copie Éloge. Attention à l’ironie qui consiste à exprimer le contraire de ce que l’on pense tout en laissant entendre ce que l’on pense vraiment. Lexique péjoratif Employé pour provoquer une image négative « La première fois qu’Aurélien vit Bérénice

Avec sa critique d’art en technicien et en philosophe, il arrive à faire naître la critique d’art moderne, il offre une approche de l’art comme une activité culturelle. Il déclare ouvertement son goût, il ose attaquer ce qu’il trouve laid et il éloge ce qu’il trouve beau. Il le fait d’une façon simple, sans technicismes, pour arriver à tous les lecteurs. Il attaque la peinture baroque connue par le luxe de ses contrastes de lumière et obscurité, pour faire éclater la lumière de la simplicité

jusqu’à l’éloge, puisqu’il est poussé à l’extrême Ex : -« Je ne sais rien de gai comme un enterrement » V1 L’emploi de la négation « ne…rien » donne un caractère absolu à la gaieté de la cérémonie. -« allègrement » V4 l’allégresse renvoie au ciel : éloge * Enfin, le poète s’investit lui-même dans cette vision positive : Ex : -« Tout cela me parait charmant, en vérité ! » « me » renvoie au «je» poétique. B. Un scène qui touche d’autant plus qu’elle est réaliste * Les personnages présents sont

elle-même de s’être mise dans la situation dans laquelle elle est : elle est une femme trahie. → Son cœur prend le dessus sur son esprit = elle a refusé de penser que Dom pouvait la trahir. • Champ lexical de la souffrance = elle fait l’aveu de sa faiblesse + de son infériorité = portrait négatif d’elle-même : - elle est dans le blâme : « je reste simple ». - expression du désespoir : elle se dit « sotte » de s’être trompée elle-même. - elle s’est trompée dans son jugement : elle essayait de se

pour rôle de reproduire le réel, mais il est créateur d'un autre espace : " Le mot est un être vivant, plus puissant que celui qui l'emploie." (Hugo) Baudelaire, malgré tout est conscient des excès, et par là-même, des faiblesses du Romantisme. Il trouve, dans la poésie du Parnasse et dans ses prises de position, des arguments et des valeurs dans lesquelles il peut se reconnaître : le travail, la maîtrise et la rigueur. Pour autant, l'intransigeance

correspondance entre le « il était une fois », avec « le jour » aux vers 27 à 30, traduit l’efficacité de la seconde méthode. La thèse de ce texte se trouve dans le titre: les fables disposent d’un pouvoir de captation des esprits. Cette fable est un éloge des fables. La moralité des vers 31 à 37, donne une idée sur la nature humaine, un trait commun avec le gout pour les petites histoires, les contes, les fables qui sont source de plaisir. Le fabuliste se reconnait semblable aux autres hommes, lors

l’Esprit (1736) Texte C : Alexandre Dumas, La Dame de Monsoreau (1846) Texte D : Marcel Proust, Du côté de chez Swann, « Un amour de Swann », 1913 A) Derrière ce portrait caractéristique du roman précieux brossé par Melle de Scudéry se cache un éloge de l’une des femmes les plus brillantes de son temps : la marquise de Rambouillet. Cléomire est grande et bien faite ; tous les traits de son visage sont admirables ; la délicatesse de son teint ne se peut exprimer ; la majesté de toute sa personne

son héroïne en insistant sur l'éducation que lui a transmise sa mère afin de la préparer à la vie mondaine et de lui enseigner les valeurs de l'« honnête femme ». II. Une éducation irréprochable A. Eloge de Mme de Chartres chargée de l'éducation de sa fille. Tout d'abord Mme de la Fayette fait un éloge de Mme de Chartres qui s'est chargée de l'éducation de sa fille et lui a transmis ses valeurs. Elle est présentée comme une femme méritante car elle était seule à élever sa fille après le mort de son

aurait à blasphèmer pour éviter de crever de faim : SGANARELLE : Va, va, jure un peu, il n'y a pas de mal. Les philosophes y verront du mépris de la part de Sganarelle. Ah bah ! j'y vois plutôt du bon sens, et une grande sympathie pour la faiblesse humaine. D'ailleurs, si nous étions plus forts, le monde serait sans doute invivable. Remarquez que pour la majeure partie des habitants de cette planète, il doit bien souvent sembler invivable, ce monde. Le Pauvre, lui, n'hésite à aucun moment