Eloge De La Faiblesse

fragilité de nos certitudes, de leur incertitude. On peut se tromper ou être trahi ou déçu, notre confiance peut alors être abusée et on a le regret d’avoir cru. Alain explique ( dans ses Libres Propos) que c’est un doute forcé car un doute triste et de faiblesse : il devient alors subit. On peut par exemple grandir avec une affirmation, puis on s’aperçoit qu’on nous a menti, on se sent trahi, on nous amène à gérer la vie avec le doute. Le doute vient de la confrontation des regards et du gonflement des

on perçoit son opinion contraire à l'opinion publique comme l'évoque le chapitre XXXI "Des Cannibales" où Montaigne semble prendre plaisir à prendre son lecteur à contre pied car à la place de peindre un tableau attendu des horreurs, il établit un éloge paradoxal des Cannibales du Brésil. En effet, il prend leur défense : " Nous les pouvons donc bien appeler barbares, eu égard aux règles de la raison, mais non pas eu égard à nous, qui les surpassons en toute sorte de barbarie."(p398). Aussi, dans

formations fascistes plus dynamiques et encadrant mieux les masses, comme en Italie et en Allemagne, c’est parce que la simplification politique ne s’est pas opérée en France. Le fascisme est donc resté diffus, selon Girardet, comme en témoigne sa faiblesse lorsque la gauche est au pouvoir. Les droites françaises ont donc été fascinées par le fascisme et s’en sont servi sans vraiment être tentées. BIBLIOGRAPHIE S.Berstein : La France des années trente P.Milza : Fascisme français: passé et présent

habitant une terre idéale. Montaigne utilise ce contraste entre les deux civilisations afin de créer une critique de notre société en incitant à la comparaison, et proposer un modèle utopique selon les idéaux humanistes. >Critique des Européens >Eloge des Indiens >Nouveau Monde utopique LA FONTAINE, Fables, XI, 7, « Le Paysan du Danube » Jean de la Fontaine est un poète français de grande renommée. C’est en s'inspirant des fabulistes de l'Antiquité gréco-latine et en particulier d'Ésope, qu'il

sorte de maxime se détache vers la fin de cette partie : « la constance n’est bonne que pour les ridicules » l.10. Il utilise une métaphore dévalorisante « ensevelir, être mort » l.7 qui assimile la fidélité à une mort sentimentale. 2. 13 à 23 : éloge de l’inconstance En invoquant le charme irrésistible qu’exerce sur lui la beauté, « Pour moi » l.13, Don Juan introduit l’exposition de sa propre position. Il y a une succession de phrases déclaratives où alternent affirmations et négations, les

« grande richesse » (l.34). Même s’il est riche, il sait « modéré ses passions » (l.5). C’est un être généreux, simple et respectueux : « n’affectait rien » (l.4), pers. modeste qui ne cherche pas à obtenir le plus haut. « savait respecter les faiblesses des hommes » (l.6), pers. respectueux à l’égard des autres. « voudrait point toujours avoir raison » (l.5), pers. non avare et égoïste mais « généreux » (l.16). Attitude de Zadig qui montre qu’il n’est pas lunatique : « jamais » (l.7) = adverbe

pratiques, Paris, Flammarion, coll. Champs Université, 2e éd., 2005, p. 64). Pour Tocqueville, la « division de la souveraineté » est également la caractéristique de la fédération (De la démocratie en Amérique, Livre I, première partie, chapitre 9, « Eloge du fédéralisme », Paris, ed. 10/18, 1963, p.88-105). Caractéristiques de l’Etat fédéral : - la répartition des compétences entre l’Etat fédéral et les Etats fédérés : la Constitution énumère de manière limitative les compétences des institutions

composé de 10 quatrains. Les deux premiers montrent la faiblesse de l’homme en proie aux péchés, sa faiblesse physique et morale. Les 5 suivants montrent l’influence de Satan, la beauté du mal. Les 3 derniers montrent la place importante qu’occupe le spleen, cette mélancolie. Le poème est composé de dix quatrains avec des vers en alexandrins. Les rimes sont embrassées et on retrouve une alternance rimes féminine et masculines. Quatrains 1-2 : faiblesse de l’Homme Quatrains 3-7 : Influence de Satan, beauté

qu'il faut faire, et le fait de déterminer quel choix est conforme à la religion et à la morale. C'est alors que le père Tout-a-tous, après un raisonnement subtil et hypocrite, la pousse dans les bras de Monseigneur de Saint-Pouange profitant de la faiblesse dans laquelle elle se trouve et adoptant une relation paternel "Ma fille" " Mon père", ainsi qu'une relation de domination avec la présence d'impératifs " ne dites jamais" par exemple. Son argumentation pleine de contre sens est d'autant plus accentuée

l'ensemble des comportements spécifiques à un groupe humain, à une société, considérés dans leurs rapports avec une morale collective (le libertinage ne saurait être assimilée à une morale). Ici, l'allusion se rapproche de la fausse louange, du faux éloge... La même remarque s'impose au sujet des « danseurs d'Opéra qui ont de la grâce », allusion à peine voilée aux mœurs pédérastiques, qui seraient les mieux partagées dans notre belle nation, un repaire de grisettes et d'invertis notoires ! L'ironie