Eloge De La Tour Eiffel

« là-bas » v.6, « tout là-bas » v.41, « au loin » v.47 = ordonnent la description, guident le regard du lecteur. Idée de profondeur. b) Verticale : champ lexical de la verticalité : FLUO ville = construite en hauteur, hauteur presque vertigineuse. Cf Tour de Babel ds la Bible pour toucher le ciel et atteindre Dieu. comparaison « telles des proues » v.43 levées vers le ciel. c) Thème de la circulation, du passage : champ lexical du transport FLUO > lien entre les 2 dimensions, quadrillent l’espace

dernier moment). Ce poème renvoie au quotidien urbain moderne. - III/ Une éloge du quotidien A/ Un poème urbain Plein de description de paris Il est attiré par une rue industrielle banale mais « neuve » La description de paris montre la réalité du quotidien B/ Un art né de la banalité La modernité est évoquée avec « aventures policière » La ville moderne sujet poétique le poète transforme en image insolite ce qu’il voit Tour Eiffel symbole modernité Personnification des ponts montre une ville animée

distinctes sur un fond blanc lumineux. Cet isolement des couleurs donne une impression d'indécision ; les figures s'empiètent et il est impossible de les délimiter avec exactitude. Ce procédé rappelle certaines œuvres néo-impressionnistes telles que La Tour Eiffel de Seurat (1889), et emprunte à ce mouvement le divisionnisme des couleurs. Les complémentaires se côtoient pour créer volume et profondeur ; ainsi il comprend des juxtapositions de rouge et vert dont le mélange s'effectue par notre vision pour

épidictique.   Mais, comme il en est de tout classement, ces catégories sont poreuses : un même texte peut, par exemple, conjuguer les formes classiques du judiciaire et de l'épidictique. C'est autour de ce mélange que s'inscrit notre séquence : éloge et blâme, qui appartiennent plus précisément à l'épidictique, rejoignent naturellement les registres mis en œuvre dans le plaidoyer ou le réquisitoire, qui ressortissent au judiciaire. Dans toutes ces productions, en tout cas, la littérature reconnaît

de ce monde par l'écriture mais aussi que la ville est ambivalente et que cette ville est un espace de créativité basé sur l'avenir. I/ Glorification du monde moderne Dans Zone , Apollinaire décrit la ville, l'univers urbain en faisant son éloge, en mettant en avant les "nouveautés" industrielles, sociales ou littéraires(ex: vers 11). Il décrit cette ville (Paris) en réformant la poésie traditionnelle, en apportant un nouveau style qui, par la suite, s'étendra au 20 ème Siècle. Dans La

(Tristan Tzara). Tous ces changements ont donné un nouveau goût à la poésie en permettant aux poètes d’innover. Il y a aussi les nouveautés dans l’environnement. Le poème « Zone » d’Apollinaire, par exemple, est un éloge de la modernité. Il évoque les innovations des l’époque : la Tour Eiffel, l’industrie et l’aviation. Le poète est aussi un témoin qui partage son ressentit des évènements qu’il vit ou qu’il a vécu. La dénonciation des guerres permet donc la création poétique. Comme Rimbaud, avec « Le

témoigne d’un certain élan lyrique, d’un héritage romantique. Pourtant, il est placé devant un symbole fort de modernité : la Tour Eiffel. Cette tour est à l’époque encore très récente (exposition universelle de 1889 et le texte date de 1912 ou 1913) et elle suscite de nombreuses polémiques étant jugée d’une esthétique douteuse. [cf. Cocteau Les mariés de la tour Eiffel ]. Il est donc intéressant que, pour définir la modernité, Apollinaire choisisse une symbole aussi controversé

ZONE Véritable introduction du recueil d'Alcools de Guillaume Apollinaire, Zone. Un éloge à la modernité malgré un respect envers le passé. Première impression du style avant-gardiste d'Apollinaire mélangeant en plus d'une écritures unique un univers contemporain, la mythologie et son propre passé. Dès ce premier poème, la forme totalement irrégulière choque. Le ton est donné dès le premier vers : « A la fin tu es las de ce monde ancien », un rejet direct du passé. La poésie semble elle

est forgée de paraitre, le danger de la ville est l‘uniformisation de la pensée (Félix Leclerc, Pieds nus dans l’aube). III La ville : lieu de création, la ville peut être considérée comme un lieu ou on va trouver le beau (Apollinaire, éloge de la Tour Eiffel) ou en tout cas elle encourage la création. La ville (corrigé) Petit à petit, le mot ville va se retourner par rapport à son étymologie. Le mot latin qui serait synonyme du mot ville est urbs. Dans un texte latin, Rome est traduite

conclusion, de fin. Ce poème a pour but de faire l’apogée du recueil, la fin d’un voyage, d’une aventure. Dans ce poème le poète achève son œuvre, la vision est, ici, plutôt positive. Ici, dans « Vendémiaire » le poète fait un bilan mais à la fois un éloge. Le fond Un lyrisme novateur : Le thème du lyrisme est très présent dans tout le poème mais on dénombre de nombreuses dissonances avec le lyrisme traditionnel. Lorsque que le poète, au dernier moment, supprime la ponctuation dans tout le recueil