Eloge De La Tour Eiffel

chromatique du dépliant ou sur le plan thématique du texte, pour fabriquer un effet d’enchainement rapide et haletant qui rappelle l’allure constante d’un train. Nous allons a présent étudier le poéme « Zone » dans lequel Guillaume Apollinaire fait ’éloge de la modernité tout en renouvelant l’écriture poétique. 3 | Apollinaire : « Zone », Alcools Vauteur et son ceuvre Guillaume Apollinaire est né en 1880. Abandonné par son pere, il grandit avec sa mére avant de venir s’installer a Paris Vage de

(imaginaire !) - anaphore « voici » : martel les choses (v.106-109) II/ La surprise et l’inattendu : 2 images CHOCS ! : v.2 ( jeu de mots, association : ici la bergère sous la tour Eiffel(Inattendu ! Parodie lyrique « Oh tour Eiffel »  ( Image bucolique, antithétique de ce que connoté la tour Eiffel à l’époque. Circularité du poème : « Soleil cou coupé » : vers raccourci et remanier pleins de fois ( chute du poème. Soleil : décapitation d’un supplicié Violence lié au commencement

littéraires français se sont inspirés de Paris pour en faire son éloge et décrire les différents lieux connus et importants de notre capitale. Certains poètes ont connu cette ville sous la guerre comme Apollinaire, Carême et Aragon, alors que d’autres l’ont vu sous un ciel meilleur comme Prévert et Lanzmann. Ces cinq poètes décrivent tous un lieu de Paris différents mais beaux et essentiels à leurs yeux comme la Seine ou la Tour Eiffel. Grâce à un changement de mentalité à cette époque, ses poètes

l’expérience de la création. ( Il est intéressant de remarquer qu’Apollinaire choisit de commencer son recueil avec le poème « Zone ». C’est un texte fondamentalement novateur : par son thème (la ville, la tour Eiffel, les affiches publicitaires … *Titre initial : « Cri ». Cri de cœur tour à tour enthousiaste et désespéré mais en changeant le titre refuse la dimension lyrique et pathétique. Mot « Zone » plus intrigant ( connotation circulaire. Zônê en grec « ceinture », « cercle de pierre précieuse »

à l’écriture de nouvelles à chute en passant par la poésie ainsi que le théâtre sans oublier la peinture, le dessin et la musique, les auteurs puisent leur inspiration de la cité et de sa sublime architecture, en effet, Notre Dame de Paris, la tour Eiffel, le grand palais, sa multitude de ponts et bien d’autres monuments ont inspirés bon nombre d’œuvres à travers les siècles. Tout comme les ont inspirés les populations de Paris au fil des siècles et les activités aux quelles celles-ci se livraient

pastorale* depuis l'antiquité gréco-romaine ou les romans pastoraux* français du XVIIe siècle). Le nom «bergère» est apposé (placé à côté et s'y rapportant) à « tour Eiffel », monument symbole de modernité à l'époque. La tour moderne est assimilée à la bergère traditionnelle grâce à une métaphore, il y a aussi une personnification de la tour Eiffel et une « animalisation » des automobiles : ainsi, la ville s'anime et prend vie, et les éléments du progrès sont rendus vivants par l'écriture poétique. On

poème s’annonce comme une fin « À la fin tu es las … », contrairement à ce que l’on attendrait • Le présent employé très majoritairement ancre le texte dans l’actualité, la modernité c) la présence forte de la modernité • Dès le deuxième vers, la tour Eiffel est célébrée : construite pour l’exposition universelle de 1889, elle est encore très nouvelle et c’est bien sa modernité qui séduit Apollinaire. D’autre part, la personnification et la métaphore filée renouvelle l’image traditionnelle de la bergère

Langues et littérature française TDPhillipe Soupault est un auteur ayant été exclu du surréalisme en 1926. Le roman Les dernières nuits de Paris est publié en 1928. Officiellement, il ne fait plus partie du mouvement lorsqu’il écrit le roman mais considère qu’il possède une liberté, une autonomie.Soupault est une personnalité très libre ; le roman fait à la fois partie du surréalisme, il s’en revendique mais prend en même temps ses distances avec le mouvement. Déjà le fait d’écrire un roman est

tueries (v.19) »). Cendrars a peur il le répète deux fois (v.30-31), il a perdu ses repères et préfère face à la modernité repartir dans son passé v.40à 42. Enfin Apollinaire dans « Alcools » établit un éloge d ‘un Paris à la fois moderne, industriel et populaire. La comparaison de « la tour Eiffel » (v.2) à une bergère, les ponts qui bêlent, l’évocation du « Pape Pie X » (v.8) et la comparaison de la religion et des « hangars de Port-Aviation » apparaissent également comme insolite. Tout comme Verhaeren

éléments du texte qui incitent au voyage. Dans une deuxième partie nous étudierons comment Grand Corps Malade fait un éloge paradoxal de la ville. Problématique : Comment Grand Corps Malade fait-il un éloge de la ville tout en faisant apparaitre les aspects négatifs ? I . Un voyage à travers la ville 1- Les différents lieux évoqués 2- Les cultures : Cosmopolitisme II . Un éloge paradoxal 1- Attachement pour Saint Denis 2- Une vision lucide de la ville Conclusion I . Un voyage à travers