Eloge De La Tour Eiffel

L’offre disait deux fois : Tais-toi. Fini. Par sa vague, le bavardage refuse cette offre pour annoncer, pour inventer, pour présenter une nouvelle demande, sans doute d’un autre savoir. Retournement ! Nous autres, enseignants parleurs, écoutons à notre tour la rumeur confuse et chaotique de cette demande bavarde, issue des enseignés que, jadis, nul ne consultait pour apprendre d’eux s’ils demandaient vraiment cette offre-là. Pourquoi Petite Poucette s’intéresse-t-elle de moins en moins à ce que dit le

oreillard (…) » ligne 9, ce qui donne une image animale du personnage et désigne la misère qui s'est acharnée à déformer son visage. Enfin Apollinaire, dans le poème d'ouverture du recueil Alcools, fait l'éloge de la modernité, en partant de la Tour Eiffel qui pourtant était considérée comme laide lors de sa création. De plus le poète se cache et déguise sa personne, en « tu » comme au vers 3 « Tu en as assez de vivre (…) » et au vers 11 « Tu lis les prospectus (…) ». Il se présente comme un spectateur

attendre après la 2GM, reconnaissance à partir de la 2è moitié du XXè s. par les physiciens et les chimistes : JV → père fondateur de la SF. → donne naissance à des personnages qui traversent les époques et l'imaginaire collectif. Phileas Fogg dans Le tour du monde en 80 jours, le capitaine Némo : ils incarnent soit l'intelligence dans toute sa fantaisie (science + invention), la folie, l'extravagance, l'excentricité. → ils vont rester et constituer une culture science : procédé de tous les jour, se

Apollinaire C'est le poème d'ouverture du recueil Alcools (1913), mais il parle du centre de Paris, ce qui en fait une ouverture paradoxale. (titre : zone, alors qu'il est question de la tour Eiffel,…). On peut donc penser qu'il reprend l'étymologie grecque "ceinture" : il fait à pied le tour de la ville, mais aussi le tour de ses problèmes (interrogations sur lui - même, son enfance, sa religion : réflexion sur les souffrances, sur l'amour). On est frappé par l'apparence du poème : certains vers sont

· Définition : La modernité, c’est-à-dire ce qui pourrait rompre avec une certaine tradition, se manifeste au moins sous deux formes. THÈMES ÉVOQUÉS : Réalité du monde moderne : · Éloge de la rue industrielle · Évocation de la Tour Eiffel (lien avec tableau Delaunay comparaison ancien/moderne)· Thèmes prosaïques · Voc moderne « sténo-dactylographes » (gens qui écrit à la machine à écrire)· Images cocasses « Le ciel est bleu comme une chaîne » ou réf danse

et de l’industrialisation. Ces deux thèmes peuvent se retrouvés dans “Zone”, où il parle du monde du travail — avec les sténodactylographes, les directeurs, les ouvriers ou encore la sirène de midi — mais aussi d’infrastructures telles que la Tour Eiffel (don’t la construction est controversée) ou les ponts métalliques. Ce dernier type d’infrastructures trouve aussi sa place dans “Le pont Mirabeau”. Encore dans “Zone”, le poète fait allusion à son amour pour la vitesse lorsqu’il parle d’aviation

pas réellement croyant.2.3) Une esthétique nouvelle Le vers 2 est à la gloire de la tour Eiffel. A l'époque d'Apollinaire, la tour Eiffel apparaît comme le symbole de la modernité. Elle est d'ailleurs représentée dans plusieurs tableaux (cubisme : Delaunay, Braque, Picasso).Le cubisme se caractérise par une déconstruction de l'objet représenté, fragmentation, collage → coupures de presse,…"Bergère ô tour Eiffel / le troupeau des ponts / bêle ce matin" 6 - 5 - 5a) "Le troupeau des ponts" : métaphore

Voir le site weblettres.fr SEQUENCE n°3 : Dans les rues de la ville moderne… Séance 3 : Lecture analytique de « Zone », Apollinaire (1911) OBJECTIF : analyser la modernité du poème. Zone À la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation

ceux de la fortune ». C’est une belle leçon de morale que nous livre cet auteur : profiter avec simplicité et sincérité de la vie.  Après des messages d’optimismes, certains auteurs, tel que Joachim du Bellay, auteur et humaniste du XVIème, font un éloge. Avec son poème Les Regrets, il parle de sa déception lors de son voyage à Rome. Resté 4 ans avant son retour à Paris, il ressent une certaine mélancolie, une certaine nostalgie. Son manque de la ville de Paris lui donne l’envie d’écrire une description

dans le poème « Loreley » - « une sorcière blonde »II. Mais une grande modernité A. Une influence urbaine (4) D’abord, Apollinaire apparaît comme un poète citadin, il évoque beaucoup la ville. - Nouvelles architectures • « Zone » = « Bergère ô Tour Eiffel » • « Pont Mirabeau » - Poétisation de la publicité : • « Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent » (« extrait de « Zone ») ◦ accumulation ◦ rythme ternaire la ville est un livre ◦ personnification - Poétisation de la