Elohim

pas dans leur visage mais dans leur cœur ». Être et paraître peut alors être compris comme la relation qui introduit l’homme dans la dualité et l’invite à dévoiler l’unité qui s’y dissimule. L’homme d’en bas, Adam, y cherchant l’homme d’en haut, Élohim, indivisé dans la plénitude lumière de sa relation au divin, tel qu’il figure en cet idéal manifesté par l’étoile flamboyante. Cet acte d’auto-dévoilement d’Adam pour découvrir en lui le ciel « azur parsemé d’étoile » est mutation, transfiguration

| |dont la venue était annoncée par les prophètes. | |Vieux comme Mathusalem |Synonyme de vengeance |Iahvé Elohim a ordonné à Moïse la loi d’un | | | |châtiment proportionnel à la faute commise. | |Après moi, le Déluge ! |Très

et de ce fait devient une idole toute simple. L’idole est au Nom ce que le mot substitué est à la parole. Sur le parcours qui enseigne la parole libre, le voyageur approche l’indicible en se frottant à divers désignations du Nom : ADONAI, JEHOVAH, ELOHIM, EL SHADDAI… Les termes hébraïques de l’ancien testament que nous sommes portés à traduire par Dieu ou Deus ou Théos, le Talmud veut qu’ils soient propres. Ainsi Dieu est toujours dans les écritures, désigné par un nom propre. Or le nom propre est

septième lettre de l’alphabet latin, ghimel de l’hébreu, iod hébraïque assimilé au god anglophone… Dans d'autres rites que je ne connais que par lecture, le centre de l 'étoile est marqué par le Tétragramme imprononçable YHWH (Yod-Hé-Vav-Hé). Ici Elohim est le Transcendant, le Créateur, le Tout-Puissant que certains esprits traduisent par « Je suis » (1) Nouvelle spéculation encore puisque l'hébreu ne connait pas le présent du verbe être et que ces quatre consonnes sont dépourvues de voyelles, et

David Bowie et Brian Eno), et devient la base de la musique aujourdʼhui clichée des films dʼhorreur ou de suspense. Les musiques de John Williams dans Close encounters of the third kind, E.T. ou encore Artificial Intelligence rappellent directement Elohim de Scelsi, et de manière moins subtile peut-être (mais aussi plus accessible aux masses) les musiques des films comme Saw utilisent directement des séquences de Scelsi en les simplifiant. # En conclusion, on peut observer de nombreux échanges, volontaires

femme : « Non, vous ne mourrez pas mais Dieu sait que le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme des dieux possédant la connaissance de ce qui est bon ou mauvais ». En fait, le serpent a dit: " vous serez comme des Elohîm connaissant le bien et le mal" et il n'a pas été dit: connaissant ou comprenant le "faux" et le "vrai", tandis que dans le domaine du nécessaire, il n'y a pas de bien ni de mal, mais du faux et du vrai. (Moïse Maïmonide, Le Guide des Egarés, Verdier)

les personnes ne pourront se débarrasser de l'objet du culte, sauf ceux qui n'ont pas d'enfants. On peut aussi parler du mouvement raëlien fondé par C.Vorilhon, appelé par les extraterrestre "raël" qui signifie "celui qui apporte la lumière des Elohim". Ce mouvement parle aussi d'une fin du monde (par une guerre atomique) et que les extraterrestres viendront sauver certains êtres. Raël et ses disciples dépenses leur énergie et leur argent pour construire une ambassade pouvant accueillir les extraterrestres

Si l’on se tourne vers l’Ancien Testament, on voit que plusieurs textes évoquent la création et la place de l’homme en son sein. Nous avons cité le Psaume 136, mais on peut mentionner aussi le Psaume 8 selon lequel l’homme est presque un dieu (elohim), couronné de gloire et d’éclat, et que Dieu fait régner sur les œuvres de ses mains ; selon lequel, aussi, la terre chante la splendeur de Dieu. On reconnaît ici la création comme révélatrice des perfections invisibles de Dieu et de Dieu lui-même

réelle du Morvan ; ce sont les forêts du paysan au sens propre, de l’homme qui appartient à un pays, à ses paysages. Même si l’on retrouve dans ce pluriel le pluriel hébraïque qu’on trouve dans le mot hébreu qui désigne Dieu au début la Genèse (Elohim), cette force-là n’a rien d’un souffle, d’un esprit qui vole au-dessus des eaux : elle est enracinée dans la terre bien réelle de ce coin de France. Ainsi, il ne s’agit pas de n’importe quelle forêt. Sylvie Germain s’arrête pour les définir, dans

intertexte des plus célèbres, qui fait d'ailleurs l'objet d'une citation presque littérale. Ponge suit en effet de très près un passage de la Genèse qui raconte, précisément, la création du monde : "Élohim [Dieu] dit : "Qu'il y ait un firmament au milieu des eaux et qu'il sépare les eaux d'avec les eaux !" Élohim fit donc le firmament et il sépara les eaux qui sont au-dessous du firmament d'avec les eaux qui sont au-dessus du firmament. Il en fut ainsi." 35 On voit que les deux textes sont presque identiques