Embarras

Stupéfaction ! Tous se sont dérangés pour rien.    Maître Chicot et sa femme, effarés, les reçurent en se désolant, et tous deux, tout à coup, au même moment, en abordant le premier groupe, se mirent à pleurer. Ils expliquaient l'aventure, contaient leur embarras, offraient des chaises, se remuaient, s'excusaient voulaient prouver que tout le monde aurait fait comme eux, parlaient sans fin, devenus brusquement bavards à ne laisser personne leur répondre.     Ils allaient de l'un à l'autre:     - Je l'aurions

Jacque Cassandre Devoir à la maison : Révisions DNB Première partie : Questions-Réecriture. Questions : Les embarras du présent. 1. Dans cette phrase la valeur de l’imparfait est l’habitude, la répétition. 2. «  Qu’en cette année 1899 la face de Paris fut toute bouleversée … » 3. Ravagé – Arraché – Défoncé – Défiguré 4. Les synonymes du mot «  culbuté » dans ce texte est «  Bouleversé ou Défiguré ». 5. La nature grammaticale de « son » est : un adjectif possessif

laisse M. de Nemours impuni de son vol. La complicité entre les deux personnages s'est installé, l'un ayant deviné les gestes (ou non geste) de l'autre (" Elle n'eut pas de peine à deviner que c'était son portrait", " M. de Nemours, qui remarquait son embarras et qui en devinait quasi la cause"). * la fuite du prince de Nemours est bien la fuite d'un voleur : " Et il se retira après ces paroles et n'attendit point sa réponse."

l'épargnant cumulatif de notre existence ? Mais s'agit-il d'autre chose que d'une fuite en avant qui, après avoir séduit peut nous amener à l'abîme ? Synthèse : devenir soi-même comme travail de soi sur soi. A chaque fois, il s'agit de s'extraire d'un embarras dont ne se sort pas le sens commun. On doit mais on ne doit pa, donc on avancera à l'aveuglette ce qui paraît plus facile. C'est que dans le sujet, il y a une contradiction apparente et un paradoxe. Il faut produire de l'identique dans la différence

de nvlles expériences Les intellectuels sont fréquemment égocentriques. Cela les met en conflit avec le reste du monde. • Pb de vie privée qui mènent à abandonner maison et relations sociales : conflit familial, sentiment d’échec, déshonneur, embarras, peur de la punition d’une faute commise. Les conflits familiaux contraignent bcp d’adultes et d’ados à rejoindre le groupe des sans-abris. Mettent leurs échecs sur le dos des autres, se trouvent des prétextes : femme qui a trompé, père trop autoritaire

de ces femmes « elles nous firent de leurs pirogues des agaceries » qui montrent ouvertement leurs corps « la plupart […] étaient nues » et qui se donnent en guise d’offrande, s’oppose –avec l’utilisation de la préposition « malgré » – à leurs embarras et à la « timidité ingénue » dont elles font preuve ; Bougainville ce questionne et en arrive à une conclusion philosophique et générale : « les femmes paraissent ne pas vouloir ce qu’elles désirent le plus ». La description de cet émerveillement

allusion est faite par le capitaine des pompiers : « à propos, et la cantatrice chauve ? » A ce moment là, tous les personnages sont dans l’embarras comme on peut le remarquer dans la didascalie « silence général » (scène 10).On peut expliquer cet embarras par un choix de Ionesco qui veut marquer là une ironie, on est incapable de justifier la raison d’être de ce personnage. Elle a également pour fonction de contribuer à l’incohérence ambiante. L’adjectif « chauve » est incompatible avec l’idée d’une

du hasard illustre le génie comique de Marivaux. C'est d'abord la situation qui prêt a rire : du quiproquo (=Méprise qui fait prendre une chose, une parole ou une personne pour une autre) à l'aveu, Arlequin introduit des retards qui traduisent son embarras. En parlant, il libère Lisette de ses propres scrupules et la scène s'achève sur un deuxième aveu symétrique du premier. Ces "confessions" burlesques manifestent chez les personnages le plaisir des mots, un art de la chute... et du rebond. En effet

raconte l’aventure de Dorante, jeune étudiant provincial fraichement arrivé à Paris, menteur en toutes occasions, qui rêve de profiter de la ville et de conquérir une femme. Grâce à ses mensonges, il accélère les rencontres et se crée de nombreux embarras ; qui s’accumulent à mesure qu’il les élude. Ce jeune homme à l’imagination facile, tombe amoureux d’une femme avant même de l’avoir rencontrée et sans être capable de la reconnaître. C’est ainsi qu’il confond Clarice avec Lucrèce ; et qu’il en vient

d'un stupide…  Il n'y a rien, à mon avis, qui nous paye mieux que cela de toutes nos fatigues ; et ce sont des douceurs exquises que des louanges éclairées » (Moliere, 3). Ils considèrent que la classe inférieure de l'être bestial et que c'est un embarras total à être connu comme tel. Ils croient également que c'est leur faute si ils sont dans cette position. Il est presque pathétique à quel point M. Jourdain veut s'inscrire dans le folklore noble, et combien il est prêt à faire pour ne pas être un