Émeutes de Soweto

toutes) qui touchent certains quartiers trouvent pour origine un incident impliquant des habitants des banlieues avec la police (cf. le départ des émeutes généralisées de 2005 après la mort des deux jeunes électrocutés dans un transformateur dans lequel ils s’étaient réfugiés en vue de fuir la police à Clichy-sous-Bois ou plus récemment encore les émeutes à Grenoble après la mort d’un braqueur tué au cours d’une fusillade avec la police). * L’inefficacité et l’incurie des services sociaux La Seine-Saint-Denis

animées par des anglophones tel Zach de Beer, l'un des fondateurs du Parti démocrate Helen Suzman. Jusqu'au milieu des années 1970, la protestation demeura pourtant assez timorée. Puis l'engrenage de la violence, symbolisée notamment par les émeutes de Soweto, et l'engagement d'intellectuels afrikaners (tel André La Brink) et anglophones (comme le journaliste Donald Wood) provoquèrent une sensible évolution de cette communauté. Cette hostilité à l'apartheid s'explique par des raisons tant morales

majorité noire, brimée par la politique de ségrégation (Apartheid) que renforce le Parti national, au pouvoir de 1948 jusqu'au début des années 90. La répression qui frappe le Congrès national africain (CNA), un groupe d'opposition, et des émeutes, comme celle de Soweto, en 1976, sensibilisent la communauté internationale à cette situation. Des zones autonomes à majorité noire, les bantoustans, sont créées. Mais le véritable déblocage survient au début des années 90 alors que le président Frederik de

prisonniers auprès de la direction de la prison, les défend sous le manteau dans leurs procès en appel, poursuit ses études de droit par correspondance et commence la rédaction de ses mémoires, discute avec les jeunes gens emprisonnés après les émeutes de Soweto (juin 1976) ou encore lutte contre les bantoustans en conseillant un chef tribal. Il s'efforce de ne pas cantonner son esprit aux quelques mètres carrés de sa cellule.    À partir de 1980, l'ANC le met en avant dans ses campagnes internationales

(ANC dont le leader devient Mandela dès 1961). Nelson Mandela organise un groupe armé et commence des manifestations. 1963 : Mandela arrêté et condamné à vie. Le mouvement s’expatrie pour pouvoir continuer de l’extérieur. 1976 : premières émeutes (Soweto) qui souffrent d’ une répression : enfants tués etc. Scandale international qui affaiblit les dirigeants sud africains. 1984 : Constitution commence à admettre des droits de représentation pour métisses et indiens (pas pour les noirs)protestations

années 1980 et plus précisément au hip-hop. Les quatre premières mesures de l’introduction comportent des pêches (=accords très secs) au synthé et caisse claire. Faut-il y voir la violence des balles du massacre de Sharpeville1 en 1960, ou des émeutes de Soweto en 1976, terribles événements et symboles de la lutte de Desmond Tutu contre l’apartheid ? À l’écoute, la charleston paraît servir de pulsation, de métronome. Le premier coup de grosse caisse correspond au temps. Les pêches sont placées avant

après sa défaite, sur la création de l'ONU et sur le devenir de l'Europe libérée. 22 mars. Ligue arabe.  Création de la Ligue des États arabes par l'Égypte, la Syrie, la Transjordanie, l'Irak, le Liban et l'Arabie saoudite. 8 mai. Algérie.  Émeutes nationalistes à Sétif et Guelma (Constantinois algérien) réprimées très violemment par les forces françaises. 26 juin. Conférence de San Francisco.  Signature de la charte des Nations unies fondatrice de l’ONU, à l’issue de la conférence de San

animé par son besoin d’enrichissement continu qu’il est inconscient des besoins émotionnels des autres, et, lui qui a profité du régime pour se construire une vie luxueuse, justifie facilement son immoralité. Mais on est à la veille des évènements de Soweto, et il suffit de trois jours à peine pour que son univers bascule et s'effondre, qu’il perde non seulement sa ferme mais, plus important, sa femme et ses enfants. Ceux qu’il aimait le plus, en confondant tranquillement amour et possession, amour et

LA REVOLTE Les manifestations organisées en 1976 par les écoliers, lycéens et étudiants de Soweto contre l’emploi obligatoire de l’afrikaans dans les programmes scolaires réservés aux Noirs, marquent un tournant dans la lutte contre l’apartheid. Les jeunes, soutenus par l’opinion internationale qui multiplie les sanctions économiques contre le gouvernement, s’engagent dans la résistance. Les émeutes, grèves et boycotts se succèdent, toujours implacablement réprimés : arrestations, tortures, meurtres

temps eux-mêmes condamnés pour haute trahison puis finalement rapidement graciés98. Il décline même toute rencontre avec Matanzima de peur que cela légitime les bantoustans auprès de la communauté internationale. Le 16 juin 1976 éclatent les émeutes de Soweto, nouvelle étape dans la contestation et la répression. En septembre 1977, Steve Biko, fondateur du Mouvement de conscience noire meurt torturé en prison par la police. En octobre, le Conseil de sécurité des Nations unies avec la résolution 417