Emile Verhaeren Les Villes Tentaculaires

qu’il ne veulent pas entendre. Emile Verhaeren est un poète belge né en 1855 la fréquentation d’Edmond picard lui indique le chemin de la poésie. Il se montra sensible a l’influence du symbolisme mais l’atmosphère ne correspond pas a son comportement . Il se marie 1891 et se tourne vers les problème contemporains et publie en 1895 les villes tentaculaires ou il exprime sa foi toute profane en l’homme. Il meurt en 1916 ds un tragique accident

composé de vers rudes et âpres, qui traduisent les sentiments de Verlaine vis-à-vis d’un monde nouveau qu’il découvre, celui du monde ouvrier et des hauts fourneaux. Il convient donc de se demander en quoi ce texte annonce la poésie de la modernité de Verhaeren et d’Apollinaire, à travers une traduction presque « audiovisuelle » de la vitesse du train et de la brutalité de l’industrie, tout en conservant une forte connotation fantastique liée à la nuit. Mouvement du poème Ce poème, formé de sept strophes

des œuvres de différents genre dont un chant de la célèbre Iliade de l’aède Homère, qui transcrit les derniers mois du siège et en particulier la mort du cousin et amant d’Achille, Patrocle, le poème, tiré du recueil Les villes tentaculaires, « Statue »(2) du belge Emile Verhaeren qui fait la description de la statue d’un soldat, un extrait d’un merveilleux roman qu’est le Tome 2 de L’âme du temple qui rapporte la prise d’Acre par les musulmans en 1291, le tableau Achille se lamentant sur la mort

à la fois héritière et novatrice dans ses thèmes comme dans sa forme avec une nette prédilection pour le vers libre, mais elle semble en déclin ou du moins déplacée dans le domaine plus incertain de la chanson. Les héritiers [modifier] Emile Verhaeren Le début du siècle montre une grande diversité avec les héritages du siècle précédent, qu’il s’agisse de la continuité du mouvement symboliste et décadentiste avec Sully Prudhomme, Saint-Pol-Roux, Anna de Noailles et certains aspects d’Apollinaire

7. Quelques auteurs et leurs oeuvres Jean Moréas : le manifeste littéraire René Ghil : le traité de verbe Charles Baudelaire : les fleurs du mal Stéphane Mallarmé : le guignon Paul Verlaine : Clair de lune Emile Verhaeren (belge) : les villes tentaculaires Georges Rodenbach : Bruges-la-morte Il y a aussi Gustave Moreau qui lui est un artiste symboliste qui a réalisé les chimères 8. La fin du symbolisme Le symbolisme va s'éteindre lorsque ses propres fondateurs vont

effectivement en la qualifiant de « jolie » et où elle est aussi le témoin de la modernité puisqu’elle offre le défile de parisiens du XXème siècle : « Les directeurs les ouvriers et les belles sténodactylographes ». Emile Verhaeren, dans le recueil Les Villes Tentaculaire consacre un recueil au paysage industriel, notamment dans «  les Usines  ». C’est aussi le travail sur le vers. Léopold Senghor choisit quant à lui un vers très

techniques modernes et elle offrait déjà une image polluée, grise, quasiment monstrueuse. Les élèves ont pu ainsi étudier l’évolution du paysage urbain à travers les regards aiguisés de poètes aux sensibilités diverses : Rimbaud, en poète visionnaire, Verhaeren, cynique et sans illusions, Apollinaire, en chantre de la modernité et Senghor interrogeant modernité et négritude. La séquence a amené un questionnement sur l’homme, son besoin de construire un monde urbain, en collectivité mais aussi hiérarchisé

regard d’un poète sur la ville Je peux lire aussi … - Charles Baudelaire : « Paysage », « Les Sept vieillards », « Les Petites vieilles », « Les Aveugles », « À une passante », « Rêve parisien » dans Les Fleurs du mal. - Arthur Rimbaud : « Ville », « Villes » dans Illuminations. - Guillaume Apollinaire : « Zone » dans Alcools. © Cned / N. Julo Durée de la séance : 1 h 30. Dans cette séquence, tu vas découvrir le thème de la ville dans la poésie du XIXe siècle. Tu as vu, dans la séquence consacrée

Corrigé de dissertation Sujet : « On ne peut transporter partout avec soi le cadavre de son père […] Mais nos pieds ne se détachent qu’en vain du sol qui contient les morts. » Cette réflexion d’Apollinaire vous permet-elle de définir la modernité poétique ? Vous développerez votre argumentation en vous appuyant sur l'œuvre, les textes étudiés, ainsi que vos connaissances personnelles. INTRODUCTION [Accroche] Apollinaire est très souvent présenté comme un poète moderne rompant avec les différentes

ville" présente des halles comme un univers autonome; le roman est exaltation de la cité dans son fonctionnement organique, dans le grouillement de sa vie secrète, mais déjà la conscience solitaire s'y sent perdue, écrasée. Verhaeren Emile avec "les villes tentaculaires" décrit un paysage urbain qui est à la fois sordide et exaltant, plutôt que de chanter un paradis perdu, il préfère célébrer la splendeur concrète des enfers modernes. Guillaume Appolinaire avec "zone" évoque la ville par ses