Emmanuel Kant

Montaigne (1533-1592) 3. XVIIème siècle * René Descartes (1595-1650) 4. XVIIIème siècle * Montesquieu (1689-1755) * Voltaire (1694-1778) * Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) * Denis Diderot (1713-1784) * Emmanuel Kant (1724-1804) 5. XIXème siècle * Alexis de Tocqueville (1805-1859) * Pierre-Joseph Proudhon (1809-1865) * Émile Zola (1840-1902) 6. XXème siècle * Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944) * Albert Camus (1913-1960)

philosophe français * Jean-Jacques Rousseau, écrivain et philosophe genevois * Denis Diderot, écrivain et philosophe français, auteur avec D’Alembert de l’Encyclopédie * Montesquieu, moraliste, penseur et philosophe français * Emmanuel Kant, philosophe allemand Musiciens : * Antonio Vivaldi, compositeur italien * Jean-Philippe Rameau, compositeur et théoricien français * Jean-Sébastien Bach, compositeur allemand * Joseph Haydn, compositeur autrichien Progrès :

l’avènement de la démocratie dite libérale, qui se conjugue sous de multiples formes, semblerait faciliter la mise en place d’un système de gouvernance mondiale qui dépasse le laissez-faire du marché et la paix démocratique élaborée au départ par Emmanuel Kant, et qui constitue une sorte de laissez-faire géopolitique. Quelle est la fonction de la gouvernance mondiale ? À cause de l’hétérogénéité des préférences collectives, en dépit d’une mondialisation qui est souvent vue comme un processus d’homogénéisation

expériences vécues1. La raison, quant à elle, c’est savoir discerner ce qui est vrai et ce qui est faux dans les informations divulguées et, contrairement à la foi, pouvoir argumenter les faits auxquels on choisit de croire2. Effectivement, selon Emmanuel Kant, un philosophe allemand : «La foi porte également sur l’avenir. C’est comme une utopie métaphysique : l’espérance s’invente un objet, qui la transforme en vérité. Il s’agit de croire que quelque chose est…puisque quelque chose doit arriver. La

Emmanuel KANT La chose en soi est inconnaissable, seule le phénomène peut l’être. Le phénomène est la chose telle qu’elle apparaît. Les phénomènes n’apparaissent pas n’importe comment. Nos connaissances ne proviennent pas tous de la même source : * la sensibilité * l’entendement Dans la critique de la raison pure, la sensibilité est une faculté de réception (« la réceptivité  ou l’intuition »). L’intuition désigne le fait d’être en contact avec des choses que nous recevons. Les intuitions

Saint-thomas d’Aquin à Kant, d’une vision chrétienne à une conception juridique, de l’utilitarisme anglo-saxon à la déontologie, d’une notion philosophique à un véritable principe fondamental de droit, du Traité des ordres et simples dignités de Charles Loyseau à une reconnaissance constitutionnelle de la dignité en 1994, peut-on universaliser et adopter une commune appréciation du principe de dignité humaine espérant obtenir une véritable efficacité face à l’indignité ? Emmanuel Kant, dans la Métaphysique

| |Il n'y a pas d'acte qui soit tout à fait gratuit ; même pas le don de soi-même. | | |[ Emmanuel Boundzéki Dongala ] | | |Extrait de Un fusil dans la main, un poème dans la poche

substance grise, c’est la vider de sens. Lorsque nous parlons de la volonté, ou mieux, de la bonne volonté comme étant le fondement métaphysique de la responsabilité, nous ne saurions la dissocier de la notion de liberté. Car, comme le souligne Emmanuel Kant dans ses Fondements de la métaphysique des mœurs : « La liberté doit être supposée comme propriété de la volonté de tous les êtres raisonnables. » On peut alors traduire cette volonté qui fonde la responsabilité par le pléonasme « volonté voulue

Testament. Mais l’amour peut-il vraiment se commander ? S’il est un sentiment, comment pourrait-il être un devoir ? Lisons ici ce qu’écrit Emmanuel Kant dans La Métaphysique des mœurs : « L’amour est une affaire de sensations, non de vouloir. Et je ne peux aimer parce que je le veux, encore moins parce que je le dois. Par conséquent, un devoir d’aimer est un non-sens. » Kant a bien raison : on ne peut pas vous commander de tomber amoureux. C’est qu’au fond, ce que l’on doit à autrui, ce n’est pas l’amour :

associées sur certains points. Pour répondre à cela, nous verrons les divergences entre le droit et la morale (I) puis les convergences existantes entre ces deux notions (II). I. Les divergences entre le droit et la morale. Au XVIIIème siècle, Emmanuel Kant défend la thèse de la séparation sur le sujet du droit et de la morale. En effet, le droit et la morale s’oppose car ils ont un contenu et une finalité différents mais également car ils ne sanctionnent pas de la même manière et c’est ce que nous