En 1913 L Europe Domine Le Monde

les îles françaises de la Guadeloupe et la Martinique, au sud. Très empreintes de son histoire, les Antilles francophones possèdent aujourd’hui une littérature (antillaise) qui connaît une notoriété grandissante, non seulement en Europe, mais également à travers le monde. Littérature française (par la carte d’identité des auteurs), francophone et parfois même créolophone, littérature insulaire parfois de la diaspora, liée à l’Afrique (par les origines même de ces auteurs), elle naîtra dans les années

en la faisant sombrer dans l'horreur de la guerre des tranchées. Pareille vision n'est pas sans fondement, mais doit être au moins nuancée: les relations internationales d'avant 1914[2] surent intégrer -insuffisamment- certaines préoccupations du monde nouveau, et en ce sens préparer l'avenir. Quant à l'entre-deux guerres, il est souvent encore jugé avec une très grande injustice. De ce que le système international centré sur la Société des Nations (SDN) n'a "tenu" que deux petites décennies

également au sein du grand public. Le terme est fréquemment employé dans les discours politiques, le plus souvent pour justifier des restructurations dans le domaine public et le retrait de l’État dans certains secteurs d’activités économiques. Dans le monde des affaires, on réfère généralement à la mondialisation pour expliquer la nécessité de « rationaliser » les activités de l’entreprise et pour justifier les vagues de fusions-acquisitions sur le plan international. Pour une partie importante de la

(déflation…). C- Le fonctionnement réel de l’étalon-or 1. La stabilité monétaire et ses effets éco Avantage : stabilité, 1821-1913 valeur £ en or,px, Txi stables à lt  Investisseur et épargnant peuvent faire leur anticipations dans climat de confiance monnaie = facteur de prospérité car étalon or permet de financer CI et assurer mouv des K. C du CI = 1875 : 60M£1913 :210M£ Mais étalon-or a un coût : chaque dépréciation sévère déflation. Rigidté de O de monnaie se heurte à D excédentaire coût

Chapitre 1 : Le monde au lendemain de la première guerre mondiale I-L’Europe à genoux. L’Europe, c’est, depuis un millénaire au moins, une même civilisation, synthèse des héritages de l’Antiquité gréco-romaine et du christianisme. Pourtant, elle n’a jamais été unie politiquement et les Européens n’ont pas cessé de se battre entre eux : la première guerre mondiale n’est même pas la première confrontation générale sur le Vieux Continent (les guerres de religion, les guerres révolutionnaires et napoléoniennes

économique globale connaît une accélération du fait de la diffusion de l’industrialisation. Cette croissance nouvelle et rapide touche d’abord l’Europe occidentale puis s’est diffusée au reste du monde (notamment aux USA (=EUA)) Cette croissance a permis l’ouverture du monde, des échanges et l’émergence d’un monde interdépendant (entrée dans la mondialisation). D’abord pilotée par la Grande Bretagne, la mondialisation a été dominée par les EUA. Aujourd’hui elle est multipolaire. Cette croissance n’as pas

trois ont particulièrement retenu notre attention et ferons l’objet de notre étude, a savoir : le réalisme , le naturalisme et le symbolisme. I. LE REALISME 1. DEFINITION Le réalisme est un courant littéraire apparu en Europe dans la seconde moitié du XIXe siècle, vers 1850 notamment en France et en Grande-Bretagne. Le réalisme, en littérature comme en peinture, tranche nettement avec l’enseignement de l’Académie : les artistes « réalistes » refusent toute espèce d'idéalisme

Apogée et effondrement de la première mondialisation De la fin du XIX° siècle à 1945 Dates clefs 1869 percée de Suez 1892 Tarif Méline (France, protège les paysans par taxe aux importations) 1897 US tarif Dingley à 57% ad valorem 1913 percée de Panama -1914 ¼ de la planète est réparti en colonies entre 6 métropoles Thèse de Jacques Marseille dans Empire colonial et capitalisme français  1916 L’impérialisme, stade suprême du capitalisme Lénine 1919 Les conséquences économiques

sociales. 2 Accompagnés d’un tuteur, les nobles britanniques se rendaient d’abord à Paris en passant par Amiens, Chantilly et l’abbaye de Saint-Denis, sans s’attarder dans les campagnes. La capitale française était déjà une attraction majeure en Europe : on y visitait des monuments, on y profitait des fêtes. Puis l’on se rendait en Italie, en passant par la vallée du Rhône, de préférence à travers la route des Alpes, moins hasardeuse et imprévisible que la Méditerranée, avec ses tempêtes et ses

également au sein du grand public. Le terme est fréquemment employé dans les discours politiques, le plus souvent pour justifier des restructurations dans le domaine public et le retrait de l’État dans certains secteurs d’activités économiques. Dans le monde des affaires, on réfère généralement à la mondialisation pour expliquer la nécessité de « rationaliser » les activités de l’entreprise et pour justifier les vagues de fusions-acquisitions sur le plan international. Pour une partie importante de la