En Marche Les Contemplations

III) Commémoration funérairfe I) INTRODUCTION: Le 4 septembre 1843, Léopoldine Hugo se noyait dans la Seine avec son mari. C'est un tournant pour Victor Hugo. Un recueil s'organise autour de ce tragique événement « Paucae Meae » dans les Contemplations (ces quelques vers pour ma fille). Racontant toutes les étapes de son deuil. Demain dès l'aube (quatorzième poème parmi les dix-sept) évoque le cheminement du poète allant sur la tombe de sa fille lors de son quatorzième anniversaire. Quel type

poème part de petites formes « feuilles » pour aller vers des éléments de plus grandes dimensions « bateaux » puis « astres » puis « monde entier » On voit donc que ce poème est entièrement consacré à l’évocation de ce regard. 2. De la contemplation des yeux nait une vision particulière du monde. * Les yeux représentent un petit univers à eux seuls * Métaphores qui renvoient aux formes  « berceau », aux animaux « ailes », aux végétaux * Donc aux 4 éléments : l’eau « la rosée »

s'intitule L'écrevisse. Le poète veut nous faire comprendre, grâce à ce minuscule poème, que parfois au lieu d'avancer, nous reculons tout comme l'écrevisse. - L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours de Victor Hugo extrait du recueil Contemplations, écrit en 1856. Le poète compare les oiseaux aux humains aux cachent leurs amours ("L'oiseau cache son nid, nous cachons nos amours."). -Enfin nous terminerons avec L’abeille, sonnet tiré du recueil Charmes écrit par Paul Valery en 1919. Dans

du Moyen Âge à nos jours. Le sujet comprend : Texte A : Victor Hugo (1802-1885), « Crépuscule », Les Contemplations, II, XXVI (1856) Texte B : Louis Aragon (1897-1982), « Vers à danser », Le Fou d’Elsa (1963) Texte C : Claude Roy (1915-1997), « L’inconnue », À la lisière du temps (1986) 14FRSEME-LRM1 Page 2 sur 6 Texte A : Victor Hugo, « Crépuscule », Les Contemplations, II (1856) CRÉPUSCULE L'étang mystérieux, suaire1 aux blanches moires2, Frissonne ; au fond du bois la

luxe. Tout sert au luxe, aux plaisirs de ce monde ». Alors que dans le texte, Les rêveries du promeneur solitaire, Jean Jacques Rousseau a une conception plus philosophique du bonheur, proche de la contemplation, une vie paisible, et surtout, une relation fusionnelle avec la nature, développée par la marche « Le sentiment de l’existence dépouillé de toute autre affection est par lui-même un sentiment précieux de contentement et de paix. ». Dans le texte Discours sur le bonheur de Mme du Châtelet, sa

d'arômes d'été. Au fur et à mesure que le soleil avançait, Sur son passage je vis la nature doucement s'éveiller, La chouette s'endormir et le vent nettoyer le paysage. Continuant ma contemplation et mon chemin, Voilà que j'entrais dans la ville qui elle aussi commençait à s'animer. Aujourd'hui était un jour de marché, Je décidais donc d'en profiter: Il n'y eut ni stands ni ateliers où je ne me suis arrété. D'une nature peu sociable, aujourd'hui pourtant je me mis à parler, Conseillant des personnes

gout du pittoresque et de l’exotique ; * L’expression des sentiments personnels ; * Le thème de la nature ; * La conception du peuple en marche vers la lumière. Les Châtiments1853) sont une œuvre satirique de plus de 6000 vers, animé par le désir de vengeance contre Napoléon (le petit). Il ont été publié en Belgique. Les contemplations (1856) sont un recueil inspiré par la mort de Léopoldine. Hugo tente de retrouver par l’écriture un sens à la vie. Il recueille des poèmes écrits à

statut de l’esclave. Ce sont les esclaves qui travaillent et non les hommes libres. L’idéal de la vie humaine que se donnait les grecs ne faisait pas du travail le but de la vie, ils voyaient plutôt le but de la vie humaine, son achèvement dans la contemplation plutôt que dans l'action pragmatique. La vie idéale, c’est un corps sain et un esprit sage qui se consacre à la Culture, donc aux œuvres de l'esprit. Que l’on puisse voir dans le travail le but de la vie, voilà qui paraît servile et étranger à

Analyse d’ « A une passante » de Baudelaire Introduction Baudelaire publie “Les Contemplations” en 1850. Le poème urbain extrait que nous allons analyser, “A une passante”, dans la section “Tableaux Parisiens” des “Fleurs du Mal” parle de la rencontre dans la rue entre un homme et une femme exquise, qu’il ne reverra sûrement jamais. Nous y distinguerons donc trois axes d’analyse : la rencontre, les réactions du poète, les réflexions du poète. Développement I. La rencontre   Cette

pour les potes romantiques. la suite de Rousseau et de Chateaubriand ils associent leurs motions et leurs joies ou leurs souffrances la contemplation de lunivers chanter la nature correspond une mditation sur lhomme. Pour Alfred de Musset la nature nous apprend oublier la souffrance Aprs avoir souffert, il faut souffrir encore Il faut aimer sans cesse, aprs avoir aim(La Nuit dAot) LE POTEPuisque loiseau des bois voltige et chante encoreSur la branche o ses oeufs sont briss dans le