En Marche Les Contemplations

FRANÇAIS Commentaire, Hugo « Le mendiant » « Le mendiant » est un poème de Victor Hugo, extrait du livre V du recueil Les Contemplations écrit en 1856. Victor Hugo est un des plus grands écrivains romantiques français, un des hommes de lettre les plus importants du XIXème. Il était romancier et fut également dramaturge avec Hernani par exemple. Hugo a exploré plusieurs styles de poésie : lyrique avec Les feuilles d’automne, épique avec La légende des siècles et engagée notamment contre Napoléon

enfin de tendresse et de larmes. On a l’impression que ce jeune musicien est en pleine effervescence, et qu’il n’est pas maître de ses sentiments. 2) Second mouvement : un bal L’artiste est placé, au milieu du tumulte d’une fête, dans la contemplation des beautés de la nature; mais partout, à la ville, aux champs, l’image chérie vient se présenter à lui et jeter le trouble dans son âme. 3) 3ème mouvement : scène aux champs Le jeune musicien se trouve un soir à la campagne, entend un dialogue

d'éclat et suscite le plus d'amour » (250d). Avec l'amour du beau s'ouvre donc à l'âme une voie d'accès au monde intelligible qui se distingue de la voie de la connaissance. La marche réglée vers l'Idée qui consiste toujours à s'élever plus haut depuis le monde physique jusqu'aux idées, aux essences, et à la contemplation du Bien, n'est pas seulement une aventure intellectuelle, elle se double d'une expérience affective qui opère une mutation de tout l'être. Cette expérience qui est celle de l'amour

que l’accomplissement le plus parfait de la philosophie est la contemplation, car, bien que la sagesse amène le bonheur ou se confond avec lui (Le Protreptique, 26), elle ne le produit pas en tant que tel. La sagesse, comme on l’a vu précédemment, est la finalité de l’homme. Elle amène l’accomplissement et le bonheur, mais ces choses existent en soi dans la nature. C’est pourquoi l’utilité de la philosophie consiste en la contemplation; elle ne produit rien, elle ne fait que contempler les principes

quotidiens voire des sujets considérés comme laids. 2. Or, depuis le xrxe siècle, l'écriture du quotidien, de l'ordinaire occupe progressivement une place grandissante dans l'écriture poétique. Ainsi, Victor Hugo écrit, dans son recueil Les Contemplations, le poème «J'aime l'araignée» livrant ainsi une ode à cet insecte que beaucoup considèrent comme repoussant voire terrifiant. De même, Baudelaire - dans ses Petits poèmes en prose - ou les poètes symbolistes accordent une grande place au quotidien

langue Française au 19eme siecle. Il est aussi personnalité politique et un intelectuelle angagée qui marquera cette époques. C'est un poéte lyrique avec des recueille comme «  Odes et balades » (1826), Les feuilles d'automne (1832) ou encore Les contemplations(1856) mais aussi un poéte Angagée contre Napoléon 3 dans Les chatiments (1853) ou encore un poéte épique avec La légendes des siecles (1859 et 1877). Il a aussi fait beaucoup de discourt politique contre la peine de mort, l'école... L'oeuvres

•Introduction 1ère partie : Le 4 septembre 1843, Léopoldine et son mari se noyaient dans la Seine ; pour son père Victor Hugo, tout bascule…C’est autour de ce malencontreux événement qu’il organise son recueil « Pauca Meae » dans Les Contemplations. Ces vers retracent le cheminement de son deuil, de la révolte à l’acceptation. Demain dès l’aube le quatorzième poème de ce recueil qui en compte 17, évoque également un cheminement : celui du poète qui se rend sur la tombe de sa fille pour le 4e

Victor Hugo Victor Hugo (1802 à 1885) a écrit de nombreuses poésies romantiques. Il a notamment rédigé deux recueils de poésie biens connus : « les misérables » et « les contemplation ». Mais il a aussi créé certaines œuvres théâtrales qui contournent le classicisme et ses règles. Demain dès l’aube Demain, dès l’aube, publié en 1856 parle du départ d’un être proche du point de vue de celui qui reste. Victor Hugo parle ici de la tristesse du deuil après le décès de l’être aimé. Demain, dès

quelques fois de manger       Le berger. » Jean de La Fontaine, Fables, VII, 1 En revanche, cette forme de l’enjambement est fréquente dans la poésie romantique : « Comment vous nommez-vous ? Il me dit : – Je me nomme Le pauvre. » Victor Hugo, Les Contemplations (V, 9), « Le mendiant ». Ce rejet au début du vers suivant crée un effet de mise en valeur. Le contre-rejet : quand la fin d’un vers contient quelques éléments de la phrase qui se développe au vers suivant. « Souvenir, souvenir, que me veux-tu 

quelques fois de manger       Le berger. » Jean de La Fontaine, Fables, VII, 1 En revanche, cette forme de l’enjambement est fréquente dans la poésie romantique : « Comment vous nommez-vous ? Il me dit : – Je me nomme Le pauvre. » Victor Hugo, Les Contemplations (V, 9), « Le mendiant ». Ce rejet au début du vers suivant crée un effet de mise en valeur. Le contre-rejet : quand la fin d’un vers contient quelques éléments de la phrase qui se développe au vers suivant. « Souvenir, souvenir, que me veux-tu