En Marche Les Contemplations

rappelé qu’autour de moi il y avait des hommes, et que la plupart se moquait bien que les étoiles brillent ou non au-dessus de leur tête. Que l’univers finisse dans le froid ou dans le feu. Il m’est alors apparu que le temps de l’observation, de la contemplation, n’était pas encore venu. Il nous reste tant à faire pour que cette Terre où nous vivons soit... vivable pour tous les hommes, que j’ai décidé d’y revenir et de mettre la main à la pâte. Avec mes faibles moyens. "(pp82-83) Mais la série ménage

 L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.  Charles Baudelaire (1821-1867), Les Fleurs du mal Le Chat Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux ;Retiens les griffes de ta patte,Et laisse moi plonger dans tes beaux yeux,Mêlés de métal et d'agate. Lorsque mes doigts caressent

- Je distingue trois parties dans ce passage. La première, du début à "pour voir ce que faisait madame de Clèves" (l.12) nous présente le déplacement du duc de Nemours. Ces mouvements sont repérables grâce à de nombreux verbes d'action tels que "marcher" (l.1), "passer" (l.4), "se glissant" (l.9), "s'en approcha" (l.10) ou "se rangea" (l.11). Ainsi, grâce à l'observation du domestique envoyé par le prince de Clèves, le lecteur peut aisément se représenter le parcours discret du duc. La deuxième partie

RAPHAEL (Urbino, 1483; Rome, 1520) La vie Fils du peintre Giovanni Santi, Raphaël se forme à l'école artistique d'Urbino et des Marches où il intègre l'héritage de Piero delle Francesca et du Perugino (composition et couleur). Sa formation d'architecte s'effectue à travers sa connaissance des nouveautés architecturales du palais ducal d'Urbino et en étudiant les monuments antiques et modernes. Au décès de son père, il hérite de sa boutique et commence une activité de collaboration avec

mouvement se sont inspirés d’une même source, l’origine du premier mouvement est surprenante. Le premier aurait été inspiré à Beethoven lorsque celui-ci aurait contemplé le cadavre d’un de ses amis : il aurait alors commencé à improviser une sorte de marche funèbre. Les sonorités sont assez lugubres… Les deuxième et troisième mouvements ont été inspirés par un amour passionné pour une jeune comtesse, une de ses élèves. Pour le titre original : Beethoven l’a nommée ainsi pour diverses raisons mais la

anthologie :4 Mors4 Le Maître d'études5 Demain dès l'aube 8 Elle avait pris ce pli son âge enfantin9 Elle était pâle et pourtant rose10 Veni, vidi, vixi11 Melancholia12 Épitaphe18 A qui donc sommes-nous?19 On vit, on parle20 Préface :Les « Contemplations » de Victor Hugo, est un recueil de poésie, publié en 1856. Ce recueil regroupe 158 poèmes, eux mêmes rassemblés en 6 livres. Chacun de ses livres à un thème qui lui est propre : I. Aurore : Ce livre évoque la jeunesse de V. Hugo, ses souvenirs

l'écueil, La sombre égalité du mal et du cercueil ; Quoique le plus petit vaille le plus prospère ; Car tous les hommes sont les fils du même père ; Ils sont la même larme et sortent du même œil. On vit, usant ses jours à se remplir d'orgueil ; On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe, On monte. Quelle est donc cette aube ? C'est la tombe. Où suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnu Vous jette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu, Impur, hideux, noué des mille

minimum de réflexion), on pouvait découvrir toutes les " richesses " d'une poésie. Les élèves ont montré beaucoup d'enthousiasme face à ce poème qui peut se prêter à des lectures à différents niveaux. *** TEXTE Victor HUGO, Les Contemplations, Livre Quatrième, Pièce XIV, 3 septembre 1847. Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus

vers 4, nous sommes sensible à la plénitude rythmique : quatre groupes de trois syllabes qui font penser au rythme de la valse. De plus, à l'époque, les femmes portaient des robes à crinoline qu'elles étaient obligées de soulever pour ne pas pas marcher sur l'ourlet. Ce mouvement féminin ample et balancé nous rappelle un autre poème de Baudelaire : « Mon beau navire », où il compare une femme à un bateau voguant sur les flots. Dans le vers 5, la jambe de statue nous rappelle combien la blancheur

Victor Hugo a beaucoup été touché par le contexte tragique de ce poème qui est la mort tragique de sa fille juste quelques mois après son mariage ; et il y a consacré une grande partie de sa vie et de son œuvre notamment une partie du recueil les contemplations, cela montre bien le choc que cette mort lui a causé et cela lui permet de partager  et d’éprouver ses sentiments, tel est le but primaire de la poésie. La chute extrêmement bien travaillée de ce poème nous laisse perplexe, si on la supprime