En Marche Les Contemplations

séparé les filles dans chaque famille, l’ainée dans celle du père et le bébé dans celle de la mère. Elle tint aussi un journal intime où elle parlait déjà d’écrire son propre livre. Quelques mois ou quelques semaines plus tard, elle se rappelle marcher sur la route puis s’être retrouvée à hôpital (elle en garde une cicatrice sur le crane gauche) Vers 11 – 12 ans, elle fit la découverte du muséum d’histoire naturelle de Rouen qu’elle visita pendant deux ans. Au collège elle apprit qu’elle

politiques. La création artistique exprime l’essence profonde des apparences, la réalité spirituelle d’une époque ou d’une société. Ainsi, l’histoire de l’art (art symbolique, art classique, art romantique) nous révèle les différents moments de la marche de l’Esprit dans l’histoire du monde. Dans cette perspective, la finalité de l’art entendue comme imitation de la nature se rapporte à un moment de l’Esprit qui ne s’était pas encore émancipé du pouvoir attractif de la matière. L’œuvre d’art n’est

connaissance : - ce qui est (l'être) ; - ce qui est tout en n'étant pas et qui n'est pas tout en étant (le devenir) ; - ce qui n'est pas (le non-être, le néant). 2) [477b-479d, pp. 233-2351 Leur correspondent deux types de connaissance : - la science, contemplation de l'être et des essences ; - l'opinion, qui croit connaître les apparences, c'est-à-dire, ce qui est soumis au temps et qui tient donc « entre l'être absolu et le non-être absolu ».Elle est donc intermédiaire entre l'ignorance et la science.

d'endroit où l'on puisse se cacher pour être seul, pour avoir un peu d'intimité. Il n'y a pas de livres, qui pourraient permettre pour un moment d'oublier la présence des autres, en entrant dans l'histoire fictive. Personne ne peut s'abîmer dans une contemplation narcissique, car il n'y a pas de miroir. Pour se connaître, il faut passer par le regard des autres. Il n'y a rien dans la pièce qui leur permette d'oublier la présence des autres. Il faut « vivre les yeux ouverts » (p 19). En même temps qu'ils

sa propre vie. Elle exprime un choix éthique fondamental : le retrait s'impose, loin des foules, pour mener une existence adonnée a à la sagesse et à l'amitié. Epicure recommande de s'éloigner des affaires, de fuir le tumulte, de pratiquer la contemplation de la nature, et cela ne se peut dans le tumulte des villes. b) Un intérêt judiciaire D'un autre coté, si certains des crimes les plus atroces qu'ils soient peuvent être démasqués, ce serait une avancée technique assez intéressante. Prenons

s'éveillent. Vos mains se mettent alors à l'ouvrage et vous portez à vos lèvres une première bouchée : avant le goût, le toucher. Avec Michel Bras, on arpente silencieusement l’Aubrac, on étudie les nuances de la lumière, la forme des nuages, on marche à sa suite en quête d’herbes sauvages. A cette moisson de tracés et d’impressions font écho les essais pratiques. On voit que les plats s’élaborent lentement, par tentatives, ratés, ajustements. Ainsi le gargouillou de légumes, véritable épure végétale

avec « l’Hôtel de ville », « les Halles », et « Paris ». Le lecteur est ensuite immergé dans les ruelles parisiennes avec l’accumulation des noms de ville et des monuments, Zola dresse le paysage de cette ville comme si le lecteur pouvait suivre la marche de son personnage principal. L’itinéraire dicté le long du texte en réel, le trajet n’est pas fictif et les noms de villes d’enchaine de façon cohérente. La personnification de Paris renvoie l’image d’une ville triste « plate », « triste », « étroite»

les plus endoloris y trouveront leur refuge. L'accès est facile. "les grands chemins passent sous la fenêtre", et il n'y a pas d'heure de fermeture "très tard..." B - Nature vivante Opposition entre nature et culture vers 3 à 7 : « toit, vitre, marche, lampe » « blés, glaise, arbre, mimosa » ). Les métaphores "brouter" "éparpiller son mimosa" confondent les règnes (animal, végétal...) et unifient cet univers dans un même épanouissement de chaque être   Lierre qui monte aux parois de la maison 

feu est au bois. Elle en émane et la transforme." Elle en émane: le feu se sert du bois pour brûler, donc la poésie, se sert de la vie. C'est à partie des événements de la vie que la poésie est écrite. Ici, prends l'exemple de V. Hugo, Les Contemplations. Le recueil poétique est séparé en deux partie, "Hier" et "Aujourd'hui", et la séparation correspond à la date de mort de sa fille Léopoldine. C'est bien un événement de sa vie qui donne naissance à ce recueil. Le derniers poème "Ce que dit la

qu'est-ce qui distingue chaque texte des deux autres? Texte A: Victor Hugo, Les Contemplations (1856) Cette fille au doux front a cru peut-être, un jour, Avoir droit au bonheur, à la joie, à l'amour. Mais elle est seule, elle est sans parents, pauvre fille ! Seule ! — n'importe ! elle a du courage, une aiguille, Elle travaille, et peut gagner dans son réduit, En travaillant le jour, en travaillant la nuit, Un peu de pain, un gîte, une jupe de toile. Le soir, elle regarde en rêvant