En toute innocence

Ces incidents s’inscrivent comme autant d’anomalies agressives sur la vie ordinaire et naturelle du village, qui s’en trouve bouleversé, voire traumatisé. Ils génèrent des conséquences qui amplifient ce traumatisme et révèlent la violence cachée de toute l’architecture sociale sur laquelle repose le village, ses brutalités, ses haines, ses jalousies et ses vengeances perverses, comme les dénoncera plus tard la baronne : le malheur qui frappe la famille paysanne, l’angoisse et le dépit de la baronne

fait comme si il était chez lui. Mais aussi, on peut introduire « je ramassais un plat » qui montre la quantité et que l’auberge met à l’aise ses clients. Cette ambiance chaleureuse, lors d’un repas, peut être comparée à un bon repas de famille où toute le monde dîne dans la bonne humeur, où tout est bien rangé, bien placé, et où tout le monde est à l’aise. L’ambiance chaleureuse est crée par l’adjectif qualificatif « brune » au vers 1. Mais aussi au vers 4 « je ramassais un plat » qui montre la quantité

Le « hélas » de la première ligne indique quel jugement il porte sur son aveuglement passé et le sentiment qu’il a d’avoir commis une faute. Des Grieux s'exprime avec solennité.  "J'aurais porté chez mon père toute mon innocence" (L2) : il prouve la pureté de sa vie passé, cette innocence perdu à la suite de la rencontre. 3-"Étant à me promener avec mon ami" (L4) et "nous n'avions d'autre motif que la curiosité" (L6) : montre également la pureté de ses intentions, cette rencontre n'était pas prévue

définition doit être complétée, puisque la preuve consiste à démontrer non seulement l'existence d'un fait, mais encore son imputation à une personne, ainsi que l'intention que celle-ci avait de commettre un tel fait. Toute poursuite judiciaire se base sur une accusation, et toute accusation se fonde sur des preuves d’accomplissement de l’acte incriminé. Cette preuve est le point de départ de la mission du juge à partir de laquelle il va s’enquérir de la véracité des faits reprochés au prévenu et

C’est la une grosse distinction. On change l’ordre de la temporalité. On retrouve ces formes de récits dans le cinéma hollywoodien. Le récit mythique biblique fonctionne de manière décroissante. Dans la genèse, c’est le déluge. C’est donc toute l’humanité qui est touché. L’autre événement, c’est Babel, un conflit entre les nations, on perçoit une décroissance, une dispersion pour s’individualiser. L’importance de la langue dans les processus d’individualisation. Puis, c’est le faux sacrifice

peut faire aucun progrès ». Enfin, Voltaire défend la liberté de culte, en 1761 Jean Calas est accusé du meurtre de son fils alors que tout prouve son innocence, son seul tort est d’être protestant. Voltaire prend alors la défense de cet homme accuser à tort, et prouve en recueillant toute les preuves en faveur de Calas afin de prouver son innocence et faire reconnaitre aux yeux de tous qu’il n’est pas coupable juste par sa religion, «  car il est protestant […] on l’accuse d’avoir tué son fils,

soleil, si plein de coquetterie. (Intensif et mélioratif) Tout ce premier paragraphe est lié à la condition sociale de l’enfant riche. « Si, jolie,… » Intensif. Généralisation de la beauté des enfants riche. Les noms communs : luxe, richesse et innocence insistent sur la condition aisée de l’enfant. Une antithèse avec pauvreté et médiocrité. L’antithèse est la figure centrale de ce poème. Pâte : expression métaphorique du moule souligne ici la différence entre les deux mondes. Pauvre = Mauvaise pâte

Interprétation « J'avais marqué » « Hélas ! que ne le marquais-je … !» Temps : plus-que-parfait Interjection exclamative Négation+ phr. exclamative Retour en arrière : récit rétrospectif Expression explicite du regret « j’aurais porté » « toute mon innocence » Temps : conditionnel passé Hyperbole Traduit l’irréel du passé Insistance sur fatalité (c’est le destin) « nous vîmes » « nous le suivîmes » Temps : passé simple Entrée véritable dans le récit « la veille » « Amiens, cette ville »

26, le parallèle entre le fils naturel de Phèdre et le fils de son mari : « Tremblante pour un fils que je n’osais trahir ». Ici, Phèdre dit qu’avouer son amour pour son « beau-fils » est une trahison pour Hippolyte mais aussi pour son fils et donc toute sa descendance. C’est une trahison envers la société également car aimer son beau-fils est assimilé à de l’inceste et donc est interdit : « La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte » (V 33) . L’oxymore « ose aimer » montre qu’aimer

cette jeune femme est représentée de façon tout aussi resplendissante. Idée secondaire 2.1 Le poète la décrit comme étant d’une innocence irréprochable: Citation «l’éclat du temps sentimental/Où son hymen chanta comme un rose poème»(v.7-8) Explication L’hymen désigne ici l’innocence de la femme. La personnification en fait un véritable personnage du poème, donnant toute son importance à la virginité émouvante de cette dernière. Idée secondaire 2.2 On voit également qu’un bonheur certain émane