Encens

nos fatigues; et ce sont des douceurs exquises que des louanges éclairées. MAÎTRE DE MUSIQUE: J'en demeure d'accord, et je les goûte comme vous. Il n'y a rien assurément qui chatouille davantage que les applaudissements que vous dites. Mais cet encens ne fait pas vivre; des louanges toutes pures ne mettent point un homme à son aise: il y faut mêler du solide; et la meilleure façon de louer, c'est de louer avec les mains. C'est un homme, à la vérité, dont les lumières sont petites, qui parle à tort

détails de la texture des draps et des peaux, les bijoux et les pierres précieuses ainsi que le chasse-mouche dont les plumes de paon accompagnent d’une caresse la main droite posée sur le mollet gauche. Enfin, sur le bord gauche du tableau, une boîte à encens est présente pour renforcer le côté érotique du tableau. La couleur chair est la plus assidue puisque que nous sommes sur un nue, cela dit, le rideau cachant l'arrière plan est d'un bleu fleur de lys rappelant le coussin sur lequel la belle est appuyé

spectateur, dans la figure de Pridamant, et évidemment les acteurs. ! Le dramaturge et metteur en scène: Alcandre Il ne profère aucune formule magique, n'utilise ni " encens " ni " herbes "mais sa magie est faite de clairvoyance. Il maîtrise la psychologie humaine (" Et vois trop clairement les secrets de mon cœur ", v 111-112), vit retiré du monde, consacre sa vie au travail. Omniscient, il connaît le passé et l'avenir

l’écoulement de son sable, et il ne portait aucune graduation.   Ensuite, la bougie naquit au IXème siècle en Angleterre. Mais malheureusement les Anglais ne furent pas les premiers à penser à l’horloge à combustion, les Chinois avaient inventé l’horloge à encens quelques années auparavant.  Cependant, elles avaient toutes le même fonctionnement, les deux inventions consumaient le fil de manière régulière durant toute la nuit.   Le XVIIème siècle, le siècle des premières horloges mécaniques. En 1657, Christiaan

ses assistantes. Durant la cérémonie, la voyante régit les accessoires et les vêtements rituels nécessaires. Le maître musicien, lui, à l’aide d’un luth-tambour (guembri) à trois cordes appelle, par l’entremise de devises chantées et en brûlant des encens, les saints et les entités surnaturelles à se présenter afin de prendre possession des adeptes qui s’adonneront à la transe. Au Maroc, où ils sont les plus nombreux, descendants d'esclaves ou de soldats du Sultan, ils ont tout naturellement conservé

seche •hammam (environ 50°) => chaleur humide •balnéo •jacuzzi • douche à affusion • matelas vibrant • caisson à isolation sensorielle => Les produits •huiles • bougies • baumes => facteurs d'ambiance • ouie: musique douce • odorat: encens, bougies, huiles • toucher: accessoires, textures produits • vue: déco, lumiere tamisée, chroma esthé • gout: thé offert

du futur : plus de la moitié du poème consiste en promesses d’offrandes Notion de sacrifice : « offrirai » 2 fois en début de vers (anaphore) « immolerai », « dirai » : prière : sacrifice de parole « sacrant » : acte culturel. « brûlerai » : encens Inconstance, « te » : absence entre les vers 16-21  le culte devient l’objet principal de son interêt (il remplace l’inconstance elle-même) Le poète se grise (ivresse) dans cettte évocation du culte de l’inconstance, ce qui le fait terminer par

entre les effluves de la flore des jardins de la ville et les senteurs de ses marchés. Oriental et capiteux, «Soir de Marrakech» est l'expression de l'art de vivre de la ville rouge, précise-t-on. «Sultane des Coeurs» est produit à partir de rose, encens, vanille, jasmin et ambre gris. C'est un parfum de raffinement et de séduction. Épicé et fleuri, «Sultane des Coeurs est une évocation parfumée des nuits d'Orient», souligne-t-on. Quant à «Mogador», il est commposé d'ambre gris, gingembre

de sensations et d'émotions se mélangeaient. Dans le deuxième tercet, les odeurs envahissent l'esprit, le troublent, le soûlent ; l'homme est pris par une sorte de délire du aux odeurs qui lui montent à la tête. " Ambre ", " musc ", " benjoin ", " encens ", le vers 13 est composé d'une accumulation de noms ; ces parfums orientalistes sont forts, imposants, entêtants (" riches ", " triomphants " (vers 11)). Conclusion L'homme se laisse bercer par la Nature, à la fois familière et impressionnante

et religieux. Ce Dieu caractérisé par Rimbaud est un Dieu cupide. En effet, on relève le champ lexical du luxe à travers « nappes damassées, autels, encens, grands calices d’or ». De plus, on observe la couleur « or » qui s’oppose au « rouge » de la guerre, au « rouge » des blessures, au « rouge » de l’armée. L’allitération en [s] « damassées, encens, calice, bercement » annonce le bercement et l’indifférence de Dieu qui s’endort devant ces massacres sans réagir. Le rythme régulier des vers coupés