Encensoir

transposer sur le texte cf http://membres.multimania.fr/coursdeseconde/romantisme.html exemple cesure,.... Dans ce jardin antique où les grandes allées Passent sous les tilleuls si chastes, si voilées Que toute fleur qui s'ouvre y semble un encensoir, Où, marquant tous ses pas de l'aube jusqu'au soir, L'heure met tour à tour dans les vases de marbre Les rayons du soleil et les ombres de l'arbre, Anges, vous le savez, oh ! comme avec amour, Rêveur, je regardais dans la clarté du jour Jouer l'oiseau

l'avant-dernier poème du cycle consacré à madame Sabatier, une'des inspiratrice s d u poète. Voici venir les temps ou vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsiqu'un encensoir; Les sons et les parfums tournent dans l,air du soir; Valse mélancolique et langoureux vertige I Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un cceur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertigel Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un cæur qu'on

te faut, pour gagner// ton pain de chaque soir, (a) 12 syllabes : alexandrin « comme un enfant de choeur » comparaison encensoir : « Sorte de cassolette, suspendue à de petites chaînes, dans laquelle Comme un enfant de chœur,// jouer de l'encensoir, on brûle l'encens et que l'on balance durant les cérémonies » référence religieuse : « enfant de choeur »/ « encensoir » Critique de la part de Baudelaire envers la religion catholique avec la comparaison d'une prostituée a un enfant de choeur

ce balancement entre exotisme (avec le choix du pantoum d'origine malaise) et discours intime (mélancolique,…). Le champ lexical de la religion peut être relevé dans ce texte. On remarque ainsi l’expression biblique «Voici venir les temps», «encensoir», «reposoir» ou encore «ostensoir». Ce poème tourne autour des sensations du poète et notamment de son âme. On note ainsi la présence du verbe « évapore » qui suggère qu’après la mort, l’esprit qui s’envole ne laisse qu’un souvenir. Grâce à cette

A l'ange, à l'idole immortelle, Salut en l'immortalité ! Elle se répand dans ma vie Comme un air imprégné de sel, Et dans mon âme inassouvie Verse le goût de l'éternel. Sachet toujours frais qui parfume L'atmosphère d'un cher réduit, Encensoir oublié qui fume En secret à travers la nuit, Comment, amour incorruptible, T'exprimer avec vérité ? Grain de musc qui gis, invisible, Au fond de mon éternité ! A la très bonne, à la très belle Qui fait ma joie et ma santé, A l'ange, à

penchée, Et l'on dirait que, du sol arrachée, Ainsi qu'il chasse une feuille séchée, Le vent la roule avec leur tourbillon! Prophète! Si ta main me sauve De ces impurs démons des soirs, J'irai prosterner mon front chauve Devant tes sacrés encensoirs! Fais que sur ces portes fidèles Meure leur souffle d'étincelles, Et qu'en vain l'ongle de leurs ailes Grince et crie à ces vitraux noirs! Ils sont passés! - Leur cohorte S'envole et fuit, et leurs pieds Cessent de battre ma porte De leurs

autour des sombres îles. Marche à travers les champs une fleur à la main. La Nature t'attend dans un silence austère ; L'herbe élève à tes pieds son nuage des soirs, Et le soupir d'adieu du soleil à la terre Balance les beaux lys comme des encensoirs. La forêt a voilé ses colonnes profondes, La montagne se cache, et sur les pâles ondes Le saule a suspendu ses chastes reposoirs.

universelle Qu'il emprunte à tous les humains ; Puis il rejette aux peuples blêmes Leurs sceptres et leurs diadèmes, Leurs préjugés et leurs systèmes, Tout tordus par ses fortes mains ! Paris, qui garde, sans y croire, Les faisceaux et les encensoirs, Tous les matins dresse une gloire, Eteint un soleil tous les soirs ; Avec l'idée, avec le glaive, Avec la chose, avec le rêve, Il refait, recloue et relève L'échelle de la terre aux cieux ; Frère des Memphis et des Romes, Il bâtit au siècle

comprenant des rimes embrassées, et les syllabes sont en Alexandrin. XLVII - Harmonie du Soir Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir; Valse mélancolique et langoureux vertige! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un cœur qu'on

aussi la gorge dans mes caresses nocturnes; de ceux-là qui aiment la mer, la mer immense, tumultueuse et verte, l'eau informe et multiforme, le lieu où ils ne sont pas, la femme qu'ils ne connaissent pas, les fleurs sinistres qui ressemblent aux encensoirs d'une religion inconnue, les parfums qui troublent la volonté, et les animaux sauvages et voluptueux qui sont les emblèmes de leur folie."     Et c'est pour cela, maudite chère enfant gâtée, que je suis maintenant couché à tes pieds, cherchant