Encensoir

abrutissant ; baudelaire Harmonie du soir Voici venu les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir : Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige. Le ciel est triste et beau comme

poème devient une sorte de tourbillon d’images et de sensations, ce qui est exprimé par les vers 3 et 4. 2) les différents sens La vue : " triste et beau " ; " luit comme un " L’ouïe : " valse " ; " violon " L’odorat : " s’évaporer " ; " encensoir " ; " parfum " Ces diverses sensations se répondent comme dans Correspondances : c’est l’illustration des synesthésies (= correspondances dites horizontales entre les sens). 3) passage au malaise Ce vertige, agréable, tourne au malaise.

lys comme des encensoirs » : …..................................... ; ou …................................................. « la montagne se cache et sur les pâles ondes » ou …....................................................... « le saule a suspendu ses chastes reposoirs » 2. Nature sacralisée : - nature déifiée par la …...........................: Nature devient ….............................. - nature sacralisée par le …......................................... : « encensoirs », « voilé »,

aussi du processus du deuil et du fait que le souvenir va toujours revivre. Harmonie du soir Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme

Harmonie du soir Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir; Valse mélancolique et langoureux vertige! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le vi-olon frémit comme un cœur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le vi-olon frémit comme un cœur qu'on afflige, Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir! Le

Sabatier, une personne significative dans sa vie puisqu’il l’a considère comme une déesse en la comparant sans cesse avec des objets religieux : « Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir » (v. 2). Dans cette métaphore, il est possible de comprendre qu’Apollonie s’évapore de sa vie comme de la fumée qui quitte un encensoir. De l’autre côté, Verlaine vit un amour inaccessible puisque la femme qu’il aime est immatérielle : « Son regard est pareil au regard des statues/Et, pour sa voix, lointaine, et

contribuent à l’effet de vertige 2) les différents sens 1. La vue : " triste et beau " ; " luit comme un " 2. L’ouïe : " valse " ; " violon " on retrouve dans le rythme des vers le rythme ternaire de la valse 3. L’odorat : " s’évaporer " ; " encensoir " ; " parfum " Ces diverses sensations se répondent comme dans Correspondances : c’est l’illustration des synesthésies (= correspondances dites horizontales entre les sens et une mobilisation de plusieurs sens à la fois). 3) passage au malaise

, , ( ) , ) , , , , , , , 　　我喷出了强烈的香气, 　　使他的心灵感到陶醉, 　　治愈他精神上的疲惫。 , ) , , ( , ) , , 　　从我烟雾腾腾的嘴里, 　　升起袅袅的蓝色的网, 　　把他的灵魂罩入睡乡, d l' am e du vin chantait dans les bo ut eilles ( , , , , , ( ) Hymne ( ` Chaque f leur s'† vapor e ainsi qu'un encensoir , L e violon f r† it comm e un coeur qu' on afm flig e, Valse m† lancolique et lang oureux vert ige! L e ciel est t rist e et beau co mme un gr and r epo soir ; ) , ) ( : , ; / , ; / , / A la t rˆ chˆ „ a t rˆ belle s re, l s

complicité des rimes embrassées, un sentiment d’harmonie et de régularité. II. des sens et des sensations 1) les différents sens la vue : " triste et beau " ; " luit comme un "  l’ouïe : " valse " ; " violon " l’odorat : " s’évaporer " ; " encensoir " ; " parfum " 2) passage au malaise Ce vertige, agréable, tourne au malaise. La dualité est toujours présente chez l’auteur : le tournoiement combine plaisir et malaise.   III. La melancolie dans le poeme 1) antithèse ombre/lumière l’ombre

lexical sur la religion, notamment basilique, encensoirs, chasubles, anges et angélique. Ces thèmes appréciatifs servent à mettre en relief sa jeune heureuse avec sa mère catholique. En plus, le jeune poète utilise deux notations temporelles opposées soit « jadis » et « maintenant » qui créent l’effet de distanciation entre les deux périodes de sa vie et accentue l’écart entre les sentiments qui y sont ressentis : « Vos mains y balançaient jadis leurs encensoirs […] Maintenant oh ! combien je suis