Encensoir

multiples parfums exotiques. De même, les parfums envahissent l'espace du tableau. Les senteurs circulent de gauche à droite, du bas vers le haut ; la gourmandise est stimulée au devant de la scène, rassasiée au fond : les diffuseurs d'encens, lampe et encensoir, sont disposés tantôt dans l'extrémité gauche du tableau, par terre, au pied de la danseuse ; tantôt du côté droit de la composition, balançant dans les mains de la coiffeuse, au dessus des têtes. Au premier plan, on trouve des fruits, des épices

d’amourRegistre: tragique, lyriqueE.S: pantoum, rime en « oir » et ige » | Parce que l’effet pantoum m’a intrigué et que j’aime bien les histoires de chagrin d’amour | Voici venir les temps où vibrant sur sa tigeChaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ;Les sons et les parfums tournent dans l’air du soirValse mélancolique et langoureux vertige ! | Tableaux parisiens | A une mendiante rousse | Thème: l’éloge d’une mendiante - retour réalitéRegistre: épidictique E.S: Quatrains de 3 Heptasyllabes

esthétique fournis par les images et les sonorités. HARMONIE DU SOIR * Harmonie du soir Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir; Valse mélancolique et langoureux vertige! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un cœur

Les images 3 éléments décrits :  Nature : « tige » « fleur » « parfums » « ciel » « soleil » : thème romantique  Musique : « temps » « vibrant » « sons » « valse » « violon » : air mélancolique et harmonieux (renvoie au titre)  Religion : « encensoir » « reposoir » « sang » « ostensoir » : mystique, mystérieux, plus encore car c’est le coucher du soleil Les correspondances « Les sons et les parfums tournent dans l’air du soir »  ouïe + odorat + toucher = jeu d’échange entre ≠ sensations  harmonie

littéraire du XIXe siècle. Ce poème est un extrait de l’œuvre « Fleurs du Mal ». Harmonie du soir. Voici venir les temps où vibrant sur sa tigeChaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir; Valse mélancolique et langoureux vertige! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un cœur

vain, Elle soit la bienvenue Celle qui revient enfin. Paul Verlaine Harmonie du soir Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir; Valse mélancolique et langoureux vertige! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un cœur

en ses yeux. Novembre 1846,jour des Morts Victor Hogo,les Contemplations. Harmonie du soir Voici venir les temps où vibrant sur sa tigeChaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir;Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir;Valse mélancolique et langoureux vertige! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir;Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige;Valse mélancolique et langoureux vertige!Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un coeur qu'on

mon cœur de clarté,A l'ange, à l'idole immortelle,Salut en l'immortalité !Elle se répand dans ma vieComme un air imprégné de sel,Et dans mon âme inassouvieVerse le goût de l'éternel.Sachet toujours frais qui parfumeL'atmosphère d'un cher réduit,Encensoir oublié qui fumeEn secret à travers la nuit,Comment, amour incorruptible,T'exprimer avec vérité ?Grain de musc qui gis, invisible,Au fond de mon éternité !A la très bonne, à la très belleQui fait ma joie et ma santé,A l'ange, à l'idole immortelle

tour d'argent ornée de boucliers d'ivoire. Il n'y avait rien au monde d'aussi blanc que ton corps. Il n'y avait rien au monde d'aussi noir que tes cheveux. Dans le monde tout entier il n'y avait rien d'aussi rouge, que ta bouche. Ta voix était un encensoir qui répandait d'étranges parfums, et quand je te regardais j'entendais une musique étrange ! Ah ! pourquoi ne m'as-tu pas regardée, Iokanaan ? Derrière tes mains et tes blasphèmes tu as caché ton visage. Tu as mis sur tes yeux le bandeau de celui

« avaler des couleuvres » (= accepter l’inacceptable) ; les genoux usés => suppose qu’ils marchent à 4 pattes, et ne sont donc pas des hommes. Les courtisans Champ lexical de la soumission et de la corruption : « vil espoir ; ruse ; avoir son encensoir ; tuteur ; prendre un patron ; protecteur ; de giron en giron »… Associés à une plante parasite : le lièrre. Comparé à un animal de cirque vers 978 Le fonctionnement du monde des lettres. Il dénonce le système du mécennat : à cette époque, beaucoup