Enchantement

5-6 "sauvage, bizarre, insensée" l6-7. On peut aussi comprendre qu'il cherche l'amour de quelqu'un : "J'espérait qu'elle m'apporte Armide". Pourquoi Armide? car il s'identifie à elle qui avait été contraint de retenir celui qu'elle aimé par des enchantements. Deuxièmement, le moi est à la fois dans le texte de Chateaubriand et de Fromentin amoureux de la nature : "la splendeur de la terre", "la cime dorée des bois " l.10 chateaubriand, "tel vent" "tourterelle de septembre passaient dans la campagne"

autres jolies femmes’. Elle appuis son avis sur un exemple de taille comme par exemple à la ligne 25 ‘ jolie femme ‘, elle fait un réel éloge a celle-ci et sur la place supérieur à tout le monde comme nous le montre la ligne 25 ‘passait pour un enchantement ‘ elle donne une impression qu'elle est au-dessus du commun des mortels et alors femme parfaite. De plus, dans Candide, Ainsi, dans Les liaisons dangereuses, Merteuil est représenté comme une femme indépendante, elle est maître de sa vie, elle

laissons pas embellir ce qu'on nous oppose ». L’écoute de la merveilleuse banalité Eluard se dit passif par rapport à Man Ray mais c'est aussi une passivité d'écoute du monde, de la merveille. La merveille : chose étonnante, presque surnaturelle, enchantement et prodige. Surprise et admiration étonnée – peut-être la réaction d'Eluard devant les dessins ? La merveille est ce qui survient. Voir = être voyant de formes absolues, de femmes gigantesques, femme-pont, femme-château ou femme-sablier. Un désir

Comédie humaine est attaqué et caricaturé pour sa passion des chiffres ou pour sa perversité présumée. Grâce à son ami Louis Ménard, Baudelaire découvre en 1843 les « paradis artificiels » .Croyant y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et tortures. En 1848, il participe aux barricades. La révolution de février instituant la liberté de la presse, Baudelaire fonde l'éphémère gazette Le Salut Public (d'obédience résolument républicaine), qui ne va pas au-delà du deuxième numéro

hypothèses peuvent être formulées quant au dénouement de cette œuvre. On peut penser que Marguerite tue le Roi par ses paroles violentes et fortes. Il y a une hypothèse un peu plus mystique qui est celle que Marguerite hypnotise le Roi grâce à des enchantements (elle essaie d'apaiser le Roi, voix de la raison, réaliste elle guide le Roi...) Il est aussi possible qu'elle le dépouille pour qu'il redevienne homme.. (et non plus Roi, être supérieur).

pourquoi son front de neige se rougit d'une teinte de pourpre. Non, jamais, comme le croit le vulgaire (07), une magicienne hurlant dans les sombres profondeurs des cavernes infernales n'a arraché la Lune à sa demeure céleste ; non, la force d'un enchantement nocturne .... Jamais il ne fut nécessaire de la délivrer par le son de la trompette (08). Au milieu du ciel, et voisine des régions où le calme est souvent troublé par la tempête, elle marche sans éprouver d'outrage. Mais quand le vaste corps de

Esthétique baroque qui prépare à l’entrée d’un personnage magique a) Un début marqué par le mystère de l’illusion • Lieu étrange : grotte  • Champs lexical de l’obscurité (opposition claire/obscur : « éclat douteux n’admet en ces lieux sombres ») • Enchantement : « cette large bouche est un mur invisible » v9 = référence au Léviathan (bouche des enfers) avec la descente aux enfers d’un écrivain guidée par Virgile (Dente) • Il s’agit presque d’une scène initiatique avec Dorante qui enseigne à Pridamant

poèmes. Des rêves, nul ne peut les prendre pour des poèmes. Ils sont, pour un esprit préoccupé de merveilleux, la réalité vivante. Mais des poèmes, par lesquels l’esprit tente de désensibiliser le monde, de susciter l’aventure et de subir des enchantements, il est indispensable de savoir qu’ils sont la conséquence d’une volonté assez bien définie, l’écho d’un espoir ou d’un désespoir formulé. » Par sa relation spécifique avec la réalité, Rêve est donc, si l'on veut, un récit de rêve éveillé, mais

La passion est une atteinte grave à la liberté . La passion se sert de la raison pour mûrir, se développer et empêche donc l'homme de réfléchir , de raisonner normalement ce qui le rend esclave des ses passions , Kant dit que la passion est « un enchantement qui exclut l'amélioration morale » Cette atteinte à la liberté est une véritable maladie car une fois que la passion s'est emparée de la raison, il est impossible de s'en défaire même si l'on a conscience de ce qui nous arrive. Kant insiste beaucoup

Arnolphe l’effet touchant des caresses provoquées par son amant, « je suis tout émue ». Elle est complètement sous le charme de cet homme. Agnès est enthousiasmée par les marques d’affection d’Horace, les exclamations dans ses répliques exposent son enchantement, « Oh ! Tant ! ». La jeune fille semble beaucoup apprécier cet homme, elle loue sa générosité et ses autres qualités. Le lecteur pourrait croire qu’elle est amoureuse : « La douceur me chatouille, et là dedans remue certain je ne sais quoi ». Elle