Encombrement Bronchique

qu’elle apprécie ces attentions. Elle est dans une chambre seule avec sa propre télévision et quelques bibelots personnels. Etat du jour Son avenir reste en EHPAD car sa maladie et son autonomie ne peut pas s’améliorer. Respirer : encombrement bronchique, s’essouffle très souvent Actions : quand on fait un transfert ou qu’on l’aide à se lever il faut prendre le temps, ne pas le faire rapidement afin de lui permettre de prendre son souffle. Eliminer : tendance à être contiper, fuite

infections• Infection des urines * T°, aspect des urines, retrait précoce SU• Infection de la paroi * Cicatrice+++• Abcès profond * T°, douleurs abdominales, absence de transit• Pneumopathie (a cause intubation lors chir) * T°, encombrement bronchique * Kiné++ * Autres complications : • Escarres 4 • Thrombophlébite / Embolie pulmonaire : HPBM• Ulcère de stress• Infection site ponction perfusion | PipiPoumonPeauPhlébite (EP) | -------------------------------------------------

doses de plus en plus importantes. 2. L’oxyde de carbone est aussi très diffusible et passe directement dans le sang. • Ses effets sont comparables à une fuite de gaz. 3. Les irritants bronchiques •Les cellules de défense de l’appareil respiratoire sont bloquées ou diminuées. •Il en résulte un encombrement des voies respiratoires et une diminution des défenses de l’appareil respiratoire contre l’infection et les autres polluants de l’atmosphère. 4. Les carbures polycycliques •Ce sont des

méningée. - Crises comitiales : peuvent aggraver le déficit focal, les troubles de conscience, les troubles de déglutition. - Trouble de la déglutition. - Pneumopathies : dues aux troubles de la déglutition : troubles respiratoires avec encombrement bronchique. - Thrombose veineuse périphérique. Évolution : En moyenne : - 1/3 des « survivants » sont dépendants - 1/3 ont des séquelles mais restent indépendants - 1/3 retrouvent leur état antérieur La prévention de ces facteurs de risque est

contact dune hmorragie mninge. Crises comitiales peuvent aggraver le dficit focal, les troubles de conscience, les troubles de dglutition. Trouble de la dglutition. Pneumopathies dues aux troubles de la dglutition troubles respiratoires avec encombrement bronchique. Thrombose veineuse priphrique. Soins infirmiers Position demi-assise ou lgrement surlev, repos strict au lit maintenir une perfusion crbrale correcte en limitant la pression intracrnienne. Assurer une bonne ventilation (enlever lappareil

proximal, estomac de petite taille, hydramnios A la naissance : confirmation d'une atrésie de l'œsophage sans fistule trachéo œsophagienne Diagnostic ● Diagnostic à la naissance ▪ examen clinique à la naissance : hypersalivation, encombrement pharyngé, bronchique, fausses routes, régurgitation, toux par inhalation ▪ test à la seringue : vérification de la perméabilité œsophagienne devant toute suspicion, dans la salle de travail une sonde gastrique est introduite par la bouche. On injecte rapidement

peut être désagréable.Je procède à la surveillance de la douleur avec une EVA et prend les paramètres vitauxSurveillance neurologique : Je vérifie l’état de conscience et de motricité, Surveillance respiratoire : recherche d’une cyanose d’un encombrement bronchique Surveillance de la coloration des tégumentsSurveillance du risque hémorragique : surveillance des pansement (tache, décoller)Surveillance des perfusions et des points de ponction (rougeur, chaleur, douleurs) Surveillance des drain (quantité

mère. Respirer  Cibles/Diagnostic IDE : risque d’infections respiratoires Actions/Surveillances : Surveillance des signes d’encombrement ORL et/ou bronchique, de surcharge alimentaire Surveillance coloration et constantes Soins de bouche (sécheresse) et Lavage nasal Plan de mobilisation en CSA, lit en proclive 30° Aspiration bronchique si besoin, suivi en kiné respiratoire stopper l’alimentation pendant les aérosols, en proclive 30° et demi assis Adapter la vitesse d’alimentation : 40cc/H

mucofluidifiantes (benzoate de méglumine) et l’hélicidine sont contre-indiquées chez le nourrisson (moins de deux ans) en raison du risque de majoration de l’encombrement bronchique. Dans le prolongement de cette mesure, l’Afssaps a réévalué l’ensemble des médicaments indiqués dans la prise en charge de la toux et des troubles de la sécrétion bronchique dans cette classe d’âge. Les conclusions de ces travaux conduiront prochainement à contre-indiquer les antihistaminiques H1 de première génération utilisés dans

pour former la carboxyhémo-globine. Il en résulte une diminution de l’apport d’ oxygène au sang et aux organes de notre corps, une sous-oxygénation, entraînant un risque d’accidents graves accru au cours de l’effort physique. 3. Les irritants bronchiques · Ils provoquent une agression de tout l’arbre respiratoire : · la gorge est rouge, tuméfiée, tapissée de sécrétions. · les cils vibratiles de la muqueuse respiratoire sont paralysés