Enfer

s’agit en somme de Victor Hugo par Victor Hugo. Pourquoi n’avons nous pas des racines au lieu des pieds puisque nous sommes fixés comme de misérables plantes à un point que nous ne pouvons quitter? Enfer chrétien fait de feu; enfer païen fait également de feu; enfer mahométan fait de feu; enfer hindou fait de flammes. A en croire les religions, Dieu est né rôtisseur. Ne soyons plus anglais ni français ni allemands. Soyons européens. Mais non; ne soyons plus européens; soyons des hommes. Soyons

qu’il transforme en musiciens en plein orchestre. "Les trompettes, […], les canons, formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer" est aussi de l’irone, comme si les musiciens étaient tellement bons que la musique fut douce. Le mot "enfer" rappelle la guerre dans ce concert et fait comprendre que cette musique est pire que ce qu’il se trouve en enfer. Ensuite, le champ lexical de la mort est omniprésent, il se retrouve du début à la fin de l’extrait. Il accentue la prise de position

question eux-mêmes. Bibliographie * Victor Hugo, Les contemplations. Paris, librairie Générale Française, 2010, 35e éd * Baudelaire, Les fleurs du mal, Paris : l’édition Larousse, 2006. * Arthur Rimbaud, Poésies, Une saison en enfer, Illuminations, Paris : l’édition Gallimard, 1999. -------------------------------------------- [ 1 ]. Victor Hugo, Ce que dit la bouche d’ombre, Les contemplations. Paris, librairie Générale Française, 2010, 35e éd, p.507. [ 2 ]

Ils sont ensemble en enfer pour constater, qu'ils vont se disputer jusqu'à l'éternité. 1. Scène Garcin, accompagné d'un garçon entre dans un salon style Second Empire. Garcin se renseigner sur des choses comme les pals (instruments de torture) et des articles de toilettes, mais le garçon se moque de lui parce qu'on n'a pas besoin de ça en enfer! On n'a pas besoin

de la pièce Huis clos de Jean-Paul Sartre est une illustration de la philosophie de ce dernier. Comme il le dit dans son essai philosophique L’être et le néant, « autrui a barre sur moi ». Les autres ont une emprise sur nous, et cela peut être un enfer. Pour ce célèbre philosophe du 20ème siècle, les autres jugent nos actes, et nos actes sont ce qui nous définit. Pour Sartre, l’Homme est libre d’agir en fonction de son idéal, de l’idée qu’il se fait de lui- même, appelée le pour-soi. C’est l’existentialisme

accompagné d'un garçon entre dans un salon style Second Empire. Garcin se renseigner sur des choses comme les pals (instruments de torture) et des articles de toilettes, mais le garçon se moque de lui parce qu'on n'a pas besoin de ça en enfer! On n'a pas besoin de dormir en enfer non plus! Dans la salle il fait très chaud (symbolise l'enfer!), il n'a pas de miroir (cela symbolise la confrontation), pas de fenêtres (il n'existe pas d’exterieur) et pas de lits (seulement trois canapés). Les yeux sont ouvert

va alors a la porte et tente de l'ouvrir. Elle résiste. Il appelle. » Page 85 : Scène IV Ines , vite. « Tu n'iras pas loin : la porte est fermée » c) Paraphrase personnelle III Résumé et arguments Scène 1 : Garcin arrive en enfer , il se retrouve dans une pièce meublée dans le style second empire avec un bronze posé. Il apprend par le garçon qui l'accueille qu'il ne dormira plus , qu'il n'aura plus besoin de brosse a dent et que la lumière reste toujours allumée. Scène 2

résumé Garcin, Inès et Estelle sont morts et se retrouvent en enfer. Un garçon d’étage les introduit tour à tour dans un salon de style Empire. Garcin était journaliste et a été fusillé en raison de sa fidélité au pacifisme. Inès, employée des Postes, est morte asphyxiée par le gaz et Estelle, une mondaine est décédée suite à une pneumonie. Ils peuvent percevoir des moments passés sur Terre, le temps passe beaucoup plus vite en enfer que sur Terre.

Concetta elle chasse le saint. Pourquoi ? « il faut un perpetuel mouvement comme dans la nature om l’on se mange l’un l’autre pour conserver l’équilibre ». Dans la dernière partie du Guepard il est dit de la chambre de concetta qu’elle est un enfer de souvenirs momifiés. Cette remarque se réfère principalement aux quatre malles vertes de son trousseau qui sont restées fermées, inutilisées, depuis plus de quarante ans. Leur contenu, magnifique à l’époque, n’est plus que cendre, concetta étant

donc les garder ensemble. Et je me suis dit, comment peut-on mettre ensemble trois personnes sans jamais faire sortir l'une d'elles et les garder sur la scène jusqu'au bout comme pour l'éternité. C'est là que m'est venue l'idée de les mettre en enfer et de les faire chacun le bourreau des deux autres. Telle est la cause occasionnelle. Par la suite d'ailleurs, je dois dire , ces trois amis n'ont pas joué la pièce et , comme vous le savez c'est Vitold, Tania Balachova et Gaby Sylvia qui l'ont