Eniem

les répétitions sont nombreuses, rythmant la pièce, parfois de manière hargneuse, comme lorsque Clov répète l’adjectif « gris » - parfois mécanique, quand Hamm redouble systématiquement ses propos ou parfois pathétique, quand Nagg raconte pour la énième fois la plaisanterie sur le monde et le pantalon. Or, ces répétitions ont tout à voir avec le silence, elles annoncent l’épuisement des mots, l’épuisement des sujets de conversation, épuisement généralisé qui se résoudra définitivement dans le silence

cheveux emmélé avec la robe de cortège sur le dos. La réaction de maman ne s’est pas faite attendre: “ Veux-tu bien enlever cette robe immédiatement!! Elle sera toute froissée!”. La matinée lui a paru bien longue, malgré les petits tours de manège, un énième “La Belle au Bois Dormant” et le déjeuner. Lorsqu’il fut temps de partir elle s’installa à l’arrière de la voiture, sa petite robe juponnée étalée autour d’elle, son petit gilet sagement fermé. Comme elle te ressemble, Anne! Même visage rond aux

étrangers de voter. Pas seulement parce qu'il n'a pas de majorité au parlement, mais parce qu'il n ‘y a pas de majorité dans le pays, chez les Français», a jugé mardi sur France 2 le député-maire de Drancy (Seine-Saint-Denis), dénonçant également «une énième manœuvre pour essayer de faire monter le Front National». «Pour moi la nationalité est intimement liée au droit de vote. Dissocier nationalité et droit de vote, ça n'a pas de sens», a conclu le leader centriste. 60% des Français opposés au droit

continue d’évoquer ses regrets, mais, cependant, elle les associe à son amertume grâce aux trois oxymores continues « ils ont fait de moi une brute docile avec leur bienveillance molle et leur tendresse écœurante »(l.39-40) ou elle reproche, pour une énième fois à sa tante et son cousin d'avoir fait d'elle une femme qu'elle aurait préférée ne pas être, d'ailleurs, elle le dit dans la phrase « je n'aurais jamais voulu la quitter et traverser les sables [...] »(l.11) ou elle exprime l'envie irréfutable

qui fut la mienne. Je suis un peu l'opposé de Cassandre, vous voyez. Il me suffirait de raconter mon histoire avec une réelle franchise pour que cesse ma punition et que je reprenne ma place dans le flot du temps. Ceci... ceci n'est jamais que la énième de mes tentatives pour y parvenir. Au fil de ces siècles passés à conter encore et toujours la même histoire sous toutes les formes possibles, j'ai acquis une certaine aisance, une forme d'expérience. Ainsi je sais ce que je peux dire et ce qu'il

douleur de liberté. Enfin, je peux respirer.  Non ça ne suffit pas ! Mains frôlant la Mort. Mains espiègles. Mains attrapant le poison. Minuscules bonbons multicolores. Je m’endors doucement. Le calme est revenu. Une nouvelle crise. Encore une. Enième hospitalisation, témoin de ma détresse. J’ai peur. Amour, Haine, Colère, Angoisse, Tristesse… Beaucoup trop d’émotions que je ne peux gérer. Je suis perdue, seule au milieu du vide. Mon esprit est torturé par une bombe menaçant d’exploser. Trop tard

premiers croquis pas encore remis au propre. Après avoir relié le tout, le réalisateur corrige ce qu’il ne lui plait pas, comme des expressions de visages pas assez pertinentes. En défilant les feuilles on peut penser à une sorte de flipbook. Après une énième correction, les feuilles sont mises dans une enveloppe et sont envoyées à l’animation. Il peut s’écouler plus de 4 mois entre le moment où la réalisation reçoit le script au moment où l’épisode est fini. D’où l’importance des corrections faites par

l’onde de choc qui parcourt une partie de la planète durant cette année-là. Investi par le comité de rédaction de notre revue du soin de mettre sur pied un dossier sur 1968, il m’est d’emblée apparu, comme au comité, que, plutôt que d’élaborer une énième étude collective sur ce Mai français sur lequel se profilait déjà, sinon le tsunami de publications, en tout cas un prévisible surinvestissement en recherches et en évocations diverses, l’approche la plus féconde, intellectuellement et scientifiquement

pas échanger depuis moins d’un an mais de tristesse pour ceux qui n’ont retrouvé personne .Cottard , pris par une crise de folie il se mit à tirer sur la foule, il est arrêté par la police .Un télégramme arrive chez Rieux : sa femme est morte , cet énième décès même si il concernait quelqu’un de sa famille ne l’atteignit pas tant que ça et il garda la tête haute . On apprend l'identité du narrateur : c'est Rieux qui a voulu relater ces événements avec la plus grande objectivité possible. Il sait que

repose un peu sur un malentendu. De nombreux lecteurs sans malice, solidaires de toute enfance malheureuse, virent dans le lien filial unissant cette vieille pute hors d'usage et ce petit Chose de la Goutte-d'Or, lui-même fils de pute abandonné, une énième suite aux Allumettes suédoises de Robert Sabatier, version judéo-arabe. En Momo un public trop sensible, épris de stéréotypes sentimentaux, crut tenir, en plus cru, en plus désespéré, mais dans la même veine populiste et misérabiliste, son David Copperfield