Enjambement

conséquences que porte le temps : v.2 : dans ce vers on retrouve une idée d’infinité. v13-14 : l’idée d’infinité est également dans ces deux vers dans lesquels on retrouve dans le vers 13 l’adverbe ‘’toujours’’ et une césure (insistance) avec de plus un enjambement vers le vers 14 qui marque une continuite/un enchainement ce qui met l’accent sur cette idée. v.6 : ici on va jusqu’à nous dire qu’à cause du temps qui passe le monde finira en néant soit à l’absence d’existence soit alors à la mort. v.12 : dans

m’enivre ardemment des senteurs confondues », « la gourde où je hume (respire) à longs traits le vin du souvenir ». Le parfum devient une sensation tactile, intense. Ø      Les enjambements sont fréquemment utilisés pour mimer l’envol de l’imagination, l’agrandissement de l’espace, la multiplication des sensations : les enjambements les plus significatifs sont ceux qui débouchent sur un second vers énumératif, ce qui accentue encore l’impression de rythme en expansion. Dans les quatre exemples qui suivent

Il est bien un agresseur dangereux puisqu’à «chaque instant», comme un ogre qui consomme la chair des êtres humains, il «dévore un morceau du délice», prive peu à peu les êtres humains de leur plaisir. Or, au dernier vers du quatrain, après un enjambement qui ménage la surprise, et en procédant à une habile inversion, il apparaît que, «À chaque homme», la somme de plaisir semble strictement comptabilisée, n’est pas donnée mais «accordée» avec toute la réticence que ce terme sous-entend, et cela «pour

de la strophe 2 (virgules v 5,6) comme une chauve-souris s'en va battant et se cognant chgt de rythme, saccades à l'image des mvts désespérés de la chauve-souris qui se débat syntaxe qui rompt le rythme (cf ci-dessus) souligne le mvt désordonné enjambement deux épithète + verbe + préposition + expression qui marquent l'opression comparaison familière renforce la pesanteur insistance obsessionnelle réduit l'espace, renforce l'étouffant correspondance extérieur/intérieur les effets "psychosomatiques"

de la rivière, source de vie. Le champ lexicale de la lumière et de l’eau est aussi présent dans le poème : « rivière » (vers 1), « soleil » (vers 3, 13), « luit » (vers 4) … pour donner l’image d’une nature fertile et génératrice de la vie. Les enjambements (vers 2 et 3, 3 et 4, 6 et 7, 9 et 10, 13 et 14) ainsi que les rejets (« D’argent » vers 3, « Luit » vers 4, « dort » vers 7, « souriait » vers 10, « Tranquille » vers 14) permettent au poète de mettre en valeur ces mots à commotion méliorative

qui donne lieu au pathétique. 2) La sobriété s’accorde a) La syntaxe : phrases courtes qui correspondent au rythme de l’Alexandrin ce qui rend la poésie proche de prose de plus Hugo juxtapose les phrases sans mot de liaison => enjambement , parataxe. Le rythme est toujours le même, le texte a un ton de constat objectif. Hugo là en tant que témoin. b) Le lexique : simple, écriture sans recherche avec des mots ordinaires = un rapprochement avec la réalité et une adaptation

la charogne.  Poème composé de 12 quatrains alternant alexandrins et octosyllabes avec des rimes croisées. Vers longs et courts → vague, mouvement rythmique.  Irrégularité rythmique qui crée un effet d'instabilité, de malaise (v19). V19&20 → enjambement, écoulement continu entre les vers.  Strophes: 6/6/8 6/6/8 : rythme régulier.  La régularité des rythmes accompagne l'image des vagues, du mouvement régulier la vague (→ v21: antithèse entre "montait" et "descendait" + oxymore "la carcasse superbe"

étude statistique de croisements, loupe binoculaire et préparation, polycopié 4 et fiche méthodologique, schéma à compléter du croisement, livre p. 22-23. Résumé : Au cours de la méiose, des échanges de fragments de chromatides (crossing-over ou enjambement) se produisent entre chromosomes homologues d'une même paire. Cette recombinaison homologue a lieu lors de la prophase de la première division de méiose. Schéma d’un crossing-over : La probabilité que ce brassage intrachromosomique se réalise

heureux ». Le bonheur est renforcé par la lumière du soleil. La lumière est intense « feux », « éblouissent » et permanente « monotone » → joie.  le 1er quatrain met en place une image du bonheur. Les sonorités douces, les rimes riches, les enjambements (v.3 et v.4) et les alexandrins montrent et sont là pour la lenteur du poème. II.La description de l’île Il y a un simple point virgule entre les 2 quatrains, il n’y a pas de rupture et de continuité. Les rivages déjà aperçus se précisent

choisit le terme le plus simple. Le Romantisme rejette le côté trop structuré de l'alexandrin classique, avec se césure automatique à la sixième syllabe. Le Romantique disloque le vers en multipliant les coupes, en accumulant rejets et enjambements. Enjambement : effet produit lorsqu'une phrase dans un poème ne s'arrête pas à la rime mais déborde jusqu'à la césure ou à la rime du vers suivant. Rejet : effet produit lorsque dans un poème en vers un élément court de la phrase ( un ou deux mots )