Enjambement

fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps du temps "l’océan des âges" (21, 35-36) assimilé à l’eau -> métaphore filée du temps qui coule. Les allitérations en [l], des vers 14 et 38 par exemple, miment ainsi le bruit de l’eau. Les enjambements nombreux notamment en fin de strophe semblent précipiter le poème et rendent ainsi sensible pour le lecteur le temps qui passe trop vite. On remarque également les expressions "heure fugitive", "rapides délices" ou la phrase "le temps m’échappe

 pâle et frémissant aux bruits’’ Victor Hugo La Légende des Siècles )  2) Les fig de rhét → les constructions de phrases  Le chiasme ­ le parallélisme ­ l’ellipse ...  3) Les procédés de métrique / versification → la construction du vers  Phrase =/= vers : enjambement ­ rejet ­ contre­rejet Le rythme ex régulier ; saccadé ... L’alternance de rimes  ex plates ou suivies aabb ; croisées abab ; embrassées abba ; redoublée à la suite aaabcccc ; redoublée à  distance abbaab ... etc La place des mots dans le vers ( à la césure

question qui l’obnubile, il cherche à savoir où se trouve Marie depuis son absence, il ne sait pas ce qu’elle va devenir. V19 Enjambement du v18 au v19. Apollinaire donne l’impression que Marie lui échappe comme le temps, qu’elle passe et disparaît. Ses mains sont assimilées aux feuilles de l’automne. Une métaphore qui est également utilisé dans le poème Signe. V20 : Enjambement du vers 19 à 20 Apollinaire essaie de se rapprocher de la femme aimée et s’unit à elle par le déterminant « nos aveux »

l’alexandrin. .V6-7 : Note d’espoir : métaphore filée reprise par l’apparition des outils de jardinage. Le jardinier est le poète. Il se montre actif : 2 verbes d’action + enjambement : réactivité dynamique. tentative de reconstruction des ressources : métaphore de “terres inondées" = boue qui est à l'origine de l’or : alchimique poétique. .V8 : L’entreprise semble

Problèmes de lecture : Vers 4 : attention au rythme : 4 + 2 // 1 + 5 Vers 5 : diérèse avec " occasion " à prononcer o-cca-si-on (4 syllabes) Vers 12 : rythme 1 + 5 Noter les enjambements dans le premier quatrain : problème => comment accorder le rythme et la syntaxe ? (contre-rejet et rejet) [le sens s’accorde avec ces enjambements puisqu’il s’agit du discours et du cours d’eau qui coulent touts deux de vers en vers – N.B. : on pourrait faire remarquer que le discours langoureux du narrateur est pris

«cyprès» au «pape en voyage / Sous la neige», la surprise étant mise en valeur par l’enjambement : le pontife n’est-il pas alors enveloppé d’une longue cape? Dans les deux cas, des liens sont donc établis entre la nature et le monde des humains. Un enjambement très hardi, de strophe à strophe, fait passer du «facteur» au «maître d’école» pour une petite scène villageoise. Mais, à la troisième strophe, les propos qui semblent avoir quelque chose d’absurde dans leur platitude (on se croirait dans “La cantatrice

fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps du temps "l’océan des âges" (21, 35-36) assimilé à l’eau -> métaphore filée du temps qui coule. Les allitérations en [l], des vers 14 et 38 par exemple, miment ainsi le bruit de l’eau. Les enjambements nombreux notamment en fin de strophe semblent précipiter le poème et rendent ainsi sensible pour le lecteur le temps qui passe trop vite. On remarque également les expressions "heure fugitive", "rapides délices" ou la phrase "le temps m’échappe

compagnons pendus. On trouve une énorme charge ironique ; il dénonce la justice comme un appareil de meurtre. La critique est favorisée par les enjambements dans les quatre vers suivants : « Si frères vous clamons, pas n'en devez avoir dédain, quoique fûmes occis par justice. Toutefois, vous savez que tous hommes n'ont pas bon ses rassis ». De même les enjambements accélèrent le rythme du poème. « Excusez-nous puisque sommes transis, envers le fils de la Vierge Marie » Dans le premier vers, Villon veut

sur l’écoulement rapide du temps, telle celui de l’eau. De plus, par de nombreux enjambements : v. 7-8 : « Je viens seul m’asseoir sur cette pierre, Où tu la vis s’asseoir », ou v31-32 : «  Et l’aurore Va dissiper la nuit » ou v.11-12 : « Ainsi le vent jetait l’écume des ondes Sur ses pieds adorés » et encore : v.23-24 : «  laissez nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! ». Ces enjambements annoncent la fuite du temps et imitent ainsi son accélération. De plus , cette fuite

frémissant aux bruits’’ Victor Hugo La Légende des Siècles ) 2) Les fig de rhét  les constructions de phrases Le chiasme - le parallélisme - l’ellipse … 3) Les procédés de métrique / versification  la construction du vers Phrase =/= vers : enjambement - rejet - contre-rejet Le rythme ex régulier ; saccadé … L’alternance de rimes ex plates ou suivies aabb ; croisées abab ; embrassées abba ; redoublée à la suite aaabcccc ; redoublée à distance abbaab … etc La place des mots dans le vers