Enjambement

v.5 Alexandrin : Le moucheron parle, cela montre qu’il veut défier le lion => Mise en parallèle Le rythme montre l’énergie du moucheron, il est créé par l’association des octosyllabes et des enjambements (= Une phrase d’un vers se poursuit sur un autre vers). Un des effets produit par ces enjambements est d’accélérer le rythme et de donner de la fluidité au récit. « Tantôt pique l’échine, et tantôt le museau. Tantôt entre au fond du naseau. » = anaphore : répétition d’un mot ou d’un groupe de

foule en désordre; bousculade, désordre dans une foule - Fléau = Calamité qui s'abat sur un peuple, personne ou chose nuisible -Calciner = Brûler, griller 2. Analyse Sonnet, alexandrins, 2enjambements flagrants, ... => rigueur mais enjambement marquent une imperfection Causerie => on va avoir affaire à une conversation mais sans importance (distinction entre le titre et le contenu du texte). Pas d'articles, de complément du nom,... => sorte d'entrée du dictionnaire. Présente un

En effet, les vers sont écrits en alexandrins ce qui donne une sorte de longueur comme le vol de l’oiseau. Celui-ci étant long, doux et noble tout comme la forme d’écriture utilisée. Les enjambements ne sont pas non plus sans nous rappeler les battements d’ailes de l’animal. Ceux-ci sont fluides et les enjambements donnent un rythme fluide au poème. Il y a donc concordance dans cette assimilation. De plus le champ lexical de l’oiseau est présent dans ce texte. Nous pouvons alors voir « oiseaux »v2

nouveau » v.8, question du v.13 avec enjambement, « encore faire un récit » v.23 + tous les éléments de la parole « rapport » v.1, « a dit mon père » v.2,, impératif du v.7 et 9, « répondu » v.13, « digne témoignage » v.22, « récit » v.23 , « il m’a dit » v.24 => promesse d’un bonheur futur. - Ressentir # bienséance : « trop entendre, trop promettre », « secrète » v.13 # « trop faire voir » v.15, « se montrer au jour » v.12 => v.17-19 rythme croissant + non+ enjambement + parallélisme des v.18-19 2-

l’imaginaire : « la brume vague évoquait un grand fantôme laiteux » : fait penser à un rapport de forme et de couleur (brume = fantôme). -Le fantôme apparait de manière visuelle (« grand » qui est mis en évidence par un enjambement) et auditive (champ lexical des sonorités : deux enjambements sur des sons nasalisés : « grand », « désespérant ») -Qui est ce fantôme ? la projection de la femme aimée ou une âme en peine ? Non, c’est le poète lui-même, il est l’ombre de lui-même, c’est un mort qui n’a pas

feux” évoque une lumière fécondée de ses multiples reflets sur l’eau. Le soleil et la mer inaugurent donc la vision d’un univers paradisiaque : le soleil est symbole de vie et ma mer de liberté et d’infini. Dans les vers 3 et 4 apparaissent les enjambements et les alexandrins montrent et sont là pour la lenteur du poème. Le lexique de la clôture et de l’intimité est l’expression d’un climat protecteur, sûr, propice au déploiement de la rêverie nostalgique comme par example “les deux yeux fermés

de revoir un jour son village natal -> pathétique voir même tragique. L'expression "reverrai-je" est répétée dans la strophe : lamento (chant de lamentation) + enjambement (continuité) = longue lamentation. Régularité dans le rythme du poème -> mélancolie -> tristesse rampante  Le découpage des alexandrins est un peu brouillé, enjambement brouille le découpage = déstabilisation du personnage.  Sonorités en [s] et [z] -> allitération "Hélas" "saison" "maison" -> souffrance  [i] -> "petit" "village"

voyait dans de beaux yeux au sourire indcis. Le vers 6 est remarquable par le retour lancinant de diphtongues sourdes font - fond - pleurs - coeurs, ensorcels. Le vers 7, par sa coupe irrgulire, lance un long membre de phrase qui se casse sur un enjambement. La troisime strophe est un tableau de paysages qui pourraient tre ceux quon retrouve dans Linvitation au voyage (pome lui aussi inspir par Marie Daubrun) ceux des Pays-Bas, qui connaissent de brumeuses saisons, sont imprgns de la prsence de leau

impossible à atteindre : 2) Un voyage vers la mort : C) Le poète marginale et exclu : 1) L’impossibilité d’être libre et pur : 2) La destruction de la création poétique : Intro : Poème en alexandrin. Présence de différentes liaisons + enjambements. Poème extrait de Les Fleurs du Mal (1857) → il est censuré → 6 poèmes sont retirés→ réédition en 1861. Le poème → 1ère partie du recueil : « Spleen et Idéal » → elle présente la grandeur et la misère de l’Homme. C’est le 2ème poème. Le poème →

beaux yeux au sourire indécis. Le vers 6 est remarquable par le retour lancinant de diphtongues sourdes : «font» - «fond» - «pleurs» - «coeurs», «ensorcelés». Le vers 7, par sa coupe irrégulière, lance un long membre de phrase qui se casse sur un enjambement. La troisième strophe est un tableau de paysages qui pourraient être ceux qu’on retrouve dans ‘’L’invitation au voyage’’ (poème lui aussi inspiré par Marie Daubrun) : ceux des Pays-Bas, qui connaissent de «brumeuses saisons», sont imprégnés de la