Enjeux Du Liberalisme Economique

de la Russie à l’OMC et ses enjeux Introduction : * Qu’est-ce que l’OMC ? * L’organisation mondiale du commerce est une organisation internationale. Elle s’occupe de mettre en place des règles dans le commerce mondial toute en poussant celui-ci à l’ouverture. Siège : Genève, Suisse Nombre de membre : 153 pays (2011) Budget : 185 millions de francs suisses (peu comparé aux crises) Directeur : Pascal Lamy * Son but est d’aider les agents économiques présents sur les marchés. Ainsi

Planning : * Lundi : Relations économiques internationales * Jeudi : Marketing Relations économiques internationales Triade : ALENA (US, CAN, Méx) / U.E (27 pays) / ASEAN (Asie) Grande tendances internationales / disparités / sphère d’influences G7 : USA/ CANADA /France/ GB / Italie / Allemagne / JAPON + (RUSSIE) NPI : nouveaux pays industrialisés BRIC : Brésil, Russie, Inde, Chine (évolution de 10%) 0 STOCK / O DEFAUT / O…. : politique des 5 « zéro » Clause de la préférence

processus d’homogénéisation, elle se révèle être une source d’inégalités pour les pays du Sud. Néanmoins les Suds s'intègre de diverse façon à la mondialisations et pas toujours de leurs plein gré. Cela entraîne des perturbation territorial, et économique. Problématique : Comment les Suds s'intègre-ils à la mondialisation, est qu'est ce que cela entraîne ? Nous verrons en premier lieu quel sont les différents degrés d'intégration à la mondialisation et comment les mesurer, nous verrons

ils s’orientent rapidement vers l’envoi de satellites. B Une rivalité scientifique et idéologique Dès le début de la guerre froide (1947), la conquête spatiale devient un enjeu de la lutte idéologique entre les États-Unis et l’URSS. Chaque succès est présenté par la propagande comme la victoire d’un système (libéralisme ou communisme). Dans les années 1950, l’URSS devance son concurrent. En octobre 1957, elle met sur orbite le premier satellite, Spoutnik. En avril 1961, elle envoie le premier

des idées – en l’occurrence c’est ici le chef du Gouvernement qui assigne un certain rôle à l’Etat français. A qui appartient l’Etat ? Qui a la légitimité pour affirmer péremptoirement ce que l’Etat peut ou ne peut pas faire ? C’est là le véritable enjeu sociologique : l’Etat est-il récupérable selon les envies d’un Gouvernement particulier, peut-on faire de lui un objet politique pensant, une création politique qui aurait sa propre logique politique et qui servirait uniquement à légitimer les décisions

mobiles. Il est en passe de devenir l’un des grands enjeu des relations internationales appelant peut être à un mode de gestion plus large que celui des états d’accueil. Deuxième vague autour des grandes lignes de partage du monde = carte I : La politique migratoire : un symbole de souveraineté A : les migrations : une menace pour la souveraineté politique et l’identité nationale ou économie, souveraineté et droite de l’homme Un paradoxe du libéralisme car on accepte pas le droit d’entrée comme contrepartie

CULTURE GENERALE LES CAPITALISMES Les marchés : autant de marchés que de lieu définis. Le marché n’existe pas, les marchés existent en fonction du lieu, etc… Libéralisme : liberté de faire quelque chose Capitalisme : propriété des moyens de production 2 types de propriétés : Privé : modèle américain Public : modèle chinois, soviétique Semi-public : français Un peu + privé : allemand Les capitalismes se justifient. Quelles sont leurs origines ? Fernand BRAUDEL : universitaire historien :

Thème n°1 : Croissance, changement social et développement. I- Croissance et développement, 2 notions à distinguer. A- La croissance, une notion quantitative. 1) Définition Croissance : augmentation d’un indicateur économique global (PIB) sur une période, elle peut être irrégulière = fluctuations. Ex : les 30 glorieuses (1950=>1975), en moyenne 5 % par an. Croissance marquée par des fluctuations, des auteurs considèrent des cycles de croissance, phases de durée équivalente, ex :

lieu à une synthèse Pas de suite directe Permet de clarifier les enjeux Permet l’évolution des représentations sociales Conclusion : ce que nous voulons mettre en place se situe du côté de l’apprentissage de la méthode scientifique et du débat démocratique, dans la mesure où celui-ci suppose qu’il ait lieu entre des citoyens éclairés sur les enjeux qu’il comporte. Il est certain que les décisions prises ensuite dans la sphère politique

mais également des évolutions dans sa valeur au sein de la hiérarchie des normes. En effet, les termes de l’article, visent la « liberté du travail » mais sous entendu du « travail indépendant. » Il s’agit alors d’une acception tout à fait économique du principe de liberté de travail se justifiant par une volonté de l’époque de réagir aux entraves à l’activité professionnelle dues au régime corporatif que subissait la société. Aujourd’hui, la signification du principe a bien évoluée et cette