Enjolras

implication comme un phénomène sociologique indéniable, c'est-à-dire qu'elle doit s'inscrire dans un environnement dans lequel l'humain pense et se comporte (Houliban, 2005). Une étude norvégienne (Enjolras, 2007) relate un cas assez intéressant de cet aspect légitime de la présence politique dans le sport. Enjolras et al. (2007) nous décrivent la manière dont le Comité olympique norvégien a réussi à impliquer un changement du financement du sport par une modification de loi. Les membres de ce Comité

personnages se préparent pour une rencontre violente avec les forces du régime : ils forment des barricades, ils protègent leurs maisons, ils cherchent des armes. Ce 5 juin 1832 signifie aussi la fin de divers personnages : entre autres Gavroche, Enjolras, Bossuet, Feuilly, Courfeyrac, Joly, Combeferre et Mabeuf meurent pendant la révolte. Ils sont tués par les forces du régime. De plus, Jean Valjean sauve la vie de Marius et épargne celle de Javert. André Brochu explique cette différence entre les

feu ralentit à nouveau. « Tu n’aurais pas entendu parler d’un grimoire ? » demande Guillaume, sans grand espoir. 136/186 Gavroche ne répond pas. Depuis quelques instants, il a la tête ailleurs. Il écoute, non loin, une conversation entre Enjolras, le chef de barricade, et Bossuet, son bras droit. « Les pertes sont sévères, en face, dit Bossuet. Nos dernières salves ont été décisives. » La réponse d’Enjolras est empreinte d’inquiétude : « Encore un quart d’heure de ce succès, et nous

petits frères eux aussi à la rue, sans savoir qui ils sont, en les abritant dans la statue d’un éléphant place de la Bastille à Paris. Il a aidé à l’évasion de prison de son père. Il est du côté des insurgés parce qu’il connaît certains d’entre eux : Enjolras, Combeferre, Coufeyrac… - L’enfant vient de la barricade (l. 2) ; il est muni d’ « un panier à bouteilles » (l. 3), dans lequel il vide les gibernes pour en recueillir les cartouches des « gardes nationaux tués » (l. 5-6) afin de venir en aide à

civique-industriel. La vision assez consensuelle de ces auteurs a été critiquée, mais elle constitue un cadre d’analyse intéressant pour des structures multi-partenariales, comme certaines associations (voir en particulier les travaux de Bernard Enjolras). Ces deux écoles de pensée hétérodoxes n’ont pas toujours le mérite de la simplicité dans l’analyse… mais elles tentent de prendre en compte la réalité, et donc sa complexité. Face à la pensée néoclassique, elles offrent des outils de réflexion

Économique Desclée de Brouwer 1997. • Avenel Cyprien, « La relation aux aides sociales "du point de vue " des familles bénéficiaires », CNAF, direction des statistiques, des études et de la recherche. Recherches et prévisions, n°72 juin 2003 • Enjolras B., Feltesse H., Accompagnement social et insertion ; pratiques associatives, Paris, Syros, 1995. • « L’autonomie sociale aujourd’hui ». Actes du colloque de Biviers, novembre 1983, Céps, Créa. 1985. • Elias Norbert, La société des individus

tâtonne et ronge. L'Ugolin social est dans ce gouffre. »193(*)Dans la première version des Misérables, il est intéressant de noter que Victor Hugo peignait l'alliance des amis de l'ABC avec les bandits de Patron-Minette au fond d'une carrière. Mais Enjolras, le plus intègre des membres, refusait. Enfin, le même auteur reprend la même idée dans Notre-Dame de Paris : « puits de civilisation, pour ainsi dire, et aussi des égouts, où commerce, industrie, intelligence, population, tout ce qui est sève, tout

sociale. L’isomorphisme institutionnel dans le cas des coopératives et des mutuelles s’apparente davantage à un isomorphisme mimétique que traduit le recours à des solutions éprouvées pour répondre aux problèmes donnés. Par contre, comme le souligne Enjolras (1998), l’isomorphisme institutionnel obéit, dans le cas des associations, à un isomorphisme normatif résultant de la professionnalisation des associations et un isomorphisme coercitif résultant de l’influence des pouvoirs publics et autres autorités

ou à la protection de la chaussée (CE, 9 mars 1956, Cabot). Les talus de remblai constituent une dépendance du domaine de la voirie dès lors qu’ils sont nettement délimités et que leur existence résulte du travail de l’homme (CE, 3 juillet 1935, Enjolras). Les talus de déblais font partie du domaine routier lorsqu’ils ont été compris dans les limites de la route au moment de leur construction (CE, 29 octobre 1934, De Chillaz). Accotements et fossés : Les accotements constituent des dépendances de

des retraites autonomes", Edit consulting, - DUMON Bruno et POLLET Gilles "L’•tat et les retraites, gen‚se d’une politique" €dition Belin, Paris, 1994. - DUPUIS Jean-Marc et EL MOUDDEN Claire, "Economie des retraites", €dition Economica, 2002. - ENJOLRAS Bernard, "Protection sociale et performance •conomique, la grande contradiction en question", Collection "Sociologie €conomique", €ditions Descl€e De Brouwer, Paris, 1999. - Fondation Copernic (collectif), "Les retraites au p•ril du lib•ralisme"