Ennui

Annonce des axes d'étude Commentaire littéraire I- La toute puissance du Mal - La présence du Spleen Baudelaire est en proie au Spleen (= mélancolie, ennui profond), écrire lui permet d’exprimer ce mal-être. Baudelaire nous expose donc une vie qui n’a rien d’attrayant. Il décrit le destin comme un « chemin bourbeux » se rapprochant ainsi du Spleen. Ainsi, il s’oppose à l’habituelle représentation de la vie telle une longue route tranquille. L’auteur utilise d’autres locutions péjoratives

chanson avec un même vers ou strophe répété plusieurs fois, en guise de refrain, comme dans Streets I avec « /Dansons la gigue ! /». Dans l’Ariette VIII, on voit une sorte de symétrie entre les différentes strophes. Ceci appuie « […] l’interminable/Ennui […] » ainsi que la mélancolie, très présente. Le poème Walcourt a même l’aspect d’une comptine. La variation de rimes féminines et rimes masculines permettent de rompre une impression de monotonie. Pourtant, dans quelques uns de ses poèmes, Verlaine

considéré comme auteur de l’anti héros avec Mme Bovary L’éducation sentimentale : • roman • Frédéric Moreau est le héros il est amoureux de Mme Arnoux, une femme mariée Étude : I-l’image du héros : ces caractéristiques - il est désoeuvré : ennui, tristesse, méditation, aucun dynamisme - s’abandonne à la médiation, rêve, regarde le temps qui passe - il n’a aucun projet -il ne maîtrise pas sa propre situation - c’est l’espoir d’une distraction qui l’attire - le héros n’est pas sujet

mais non de ceux qui vous rongent le cœur » L. et « je ne suis plus que votre vieille sœur, incapable peut-être de soulager vos ennuis, mais non de les partager. » L. . Cette dernière remarque appelle deux observations : premièrement, cette façon de désigner son rôle actuel « vieille sœur » L. ne trahirait-il pas un refus de la vieillesse ? deuxièmement, le terme « ennuis » L. remplace celui de « secrets » L. utilisés plus haut et souligne que l’attitude de Cœlio inquiète probablement sa mère. b)

fait surface jusqu’à l’obtention de celui-ci. Dès que l’on acquiert ce que l’on souhaite, nous ne le désirons plus car il ne nous manquera plus, il devient un ennui. Une fois l’objet en notre possession, il devient moins attrayant, nous ne sommes plus heureux de son obtention, nous ne le désirons plus. Le seul moyen pour faire cesser cet ennui, est alors de désirer un nouvel objet. C’est un cercle infernal qui semble mener l’Homme dans une sorte d’état émotionnel stressant, il se sent emprisonné dans

ces deux parties identiques, le poète n'est pas revenu au même point. Le poème est à la fois la chronique du séjour (avec rappel de l'arrivée et de la fouille) et celle d'une journée (lever du jour : « le soleil filtre » ; promenade du « matin » ; ennui de la journée ; « le jour s'en va » ; le soir, la nuit suggérés par « une lampe »). La progression dans le temps correspond à des variations d'état d'âme. Le poète passe de l'attention au monde extérieur dans les parties II et III (les éléments :

chapitre 4 Résumé 1 : Le printemps .Chapitre IV : LES ENNUIS DE LALLA AÏCHA. Les premiers jours du printemps sont là. Le narrateur et sa maman rendent visite à Lalla Aicha. Ils passent toute la journée chez cette ancienne voisine. Une journée de bavardages pour les deux femmes et de jeux avec les enfants du voisinage pour le narrateur. Le soir, Lalla Zoubida fait part à son mari des ennuis du mari da Lalla Aïcha, Moulay Larbi avec son ouvrier et associé Abdelkader. Ce

(vers2) ; on peut y vor le symbole de Satan. Ajoutons le champ lexical de l’obscurité : « brune » (vers 1), « les nuits » (vers 2), « musc » (vers 2), « ébène » (vers 4), « noirs minuits » (pléonasme au vers 4), « aux nuits » (vers 5 et qui rime avec « ennui » qui peut avoir un sens fort de profonde douleur), « yeux noirs » (vers 9). Tous ces termes sont mis en avant (fin de vers ou à la césure + jeu d’allitération et d’assonance par exemple dans la première strophe). Ce champ lexical très dense nous donne

état mental. Sa sensation d’étouffement transparaît avec le champ lexical de l'enfermement, de l'oppression : « couvercle », « cachot humide », « d'une vaste prison », « les barreaux », « filets », auquel se joint celui de la souffrance : « longs ennuis », « triste », « affreux hurlement », « geindre ». Au vers 18 le mot « Espoir » est mis en avant alors que la noirceur du poème atteint son paroxysme, pour qu'on se rende finalement compte qu'il est associé à l'adjectif « vaincu », tandis que « l'Angoisse

mais pour cela il faut sans cesse être dans l’activité à la poursuite d’un but ce qui provoque un déséquilibre sur l’intégrité de la personne.Dans la 2nd phrase l’auteur affirme la 1ère selon laquelle dans la vie passive on y retrouve l’ennui. Cet ennuie augmente l’angoisse et le mal être puisque l’auteur dit que pour être heureux il faut toujours être en activité ainsi quand il n’y a pas d’activité on ressent de l’angoisse. Ces personnes qui ne veulent pas être passifs, l’auteur les nommes « les