Énonciation

satyrique et polémique _Système énonciation + argumentation = portrait_ §1 : présentation §2-3 : caractère §3 : impressions I) La lettre double système d’énonciation Qui parle à qui quand ou comment ? En réalité : M. aux Fr. instruits. Ecrit en 1713 mais publié après la mort de roi : CENSURE. Côté orientale de la lettre : « le 7 de la lune de Maharram », les prénoms… => donne un regard étranger + « mode de l’Orient ». Le jeux de la double énonciation permet à l’auteur de passer à travers

polémique, et la double-énonciation ( le personnage ou acteur s'adresse non seulement aux autres personnages présents sur scène, faisant avancer l'intrigue, mais aussi au spectateur ) ; à travers cette forme, il peut se permettre une opposition plus ou moins importante face à la société puisqu'il parle parle à travers un personnage. Enfin, le théâtre est accessible à tous, et permet une spectaculaire propagation des idées, par support écrit et surtout oral. La double énonciation permet à l'auteur de

la mise en scène d'une pièce de théâtre et à la compréhension lors d'une lecture. b) La double énonciation : La double énonciation au théâtre, c'est le fait que les acteurs parlent entre eux comme si les spectateurs n'étaient pas là, mais dans ce qu'ils disent, l'auteur à fait en sorte qu'il y ait un message pour le public. Il s'adresse aux spectateurs. Le principe de la double énonciation, rend le possible le quiproquo, un malentendu comique entre les personnages de la pièce, c'est à dire

| |dramatisation : énonciation dans des termes à fort pouvoir émotif. | |valorisation : énonciation dans des termes péjoratifs ou mélioratifs. | |explicitation : adjonction d'informations censées en assurer une meilleure compréhension. | |figuration : énonciation selon les formes des figures de style

confrontation 1) Un Dieu menaçant =rapport de force avec comique de geste « roué de coups ». Mercure>Sosie. =autorité de M avec allitération en [k] et [t] sons durs=puissance de M. 2) Un Dieu qui joue =lien avec le spectateur avec double énonciation qui montre que le spec° est au courant =M est 1 acteurs tandis que S est un spectateur=source de comique car M le prend de haut. =comique de répétition avec reprise anaphorique « c’est moi qui »+détails vie privée de S :M s’approprie de son identité

soudre : payé mercis : pitié Dédain : mépris Enonciation : Les pendus parlent aux vivants. Acte d’énonciation fort, pas de pronoms perso au M-A pourtant. Problématiques : 1 En quoi ce poème est-il une expression originale du lyrisme ? 2 L’auteur veut-il se faire pardonner ou dénoncer l’horrification du gibet ? Résumé rapide analyse : • Insistance sur deux catégories : Morts/vivants • Registre pathétique + acte énonciation Fort • Le macabre est très présent, personnification

c’est un monologue et au théâtre il y a la double énonciation, il s’adresse au public. Dans le deuxième monologue, Le mariage de Figaro de Beaumarchais, Figaro s’adresse au Comte : « non, Monsieur le Comte, vous ne l'aurez pas » (l6). Mais aussi, à cause de la double énonciation, il s’adresse au public aussi. Dans le troisième monologue, On ne badine pas avec l'amour de Musset, il s’adresse a lui-même : « Où vais-je donc ?» (l10). Double énonciation donc au public aussi. Dans le quatrième monologue

savantes...) | Pour l'auteur, le théâtre se présente comme un support idéal pour présenter et défendre ses idées, par sa forme propre permettant d'utiliser le registre polémique, et la double énonciation ; à travers cette forme, il peut se permettre une opposition plus ou moins importante face à la société puisqu'il parle à travers un personnage. Enfin, le théâtre est accessible à tous, et permet une spectaculaire propagation des idées, par support

d’Andromaque et à son dilemme ? Pour répondre à ces questions, nous allons par ce fait étudier dans cette tirade les vers 992 à 1011, en répartissant celle-ci en 3 grands axes : - Le tableau d’horreur - Le dilemme tragique d’Andromaque - Une énonciation complexe I°Un tableau d’horreur - La résurrection d’un passé douloureux : Elle évoque le carnage de Troie par ses souvenirs : Dans la première tirade, du vers 992 au vers 1011, les mots suivants : « Hector » (v.993), « son père

opposition à « énoncé », qui exclut de telles conditions. Cette acception est la plus courante en analyse du discours, spécialement dans l approche française. 5) Dans la théorie de l énonciation (Benveniste : 1966), « discours » réfère à la mise en fonctionnement de la langue et est donc inséparable de l instance d énonciation (tout ce qui réfère au je-tu, ici, maintenant du locuteur). Dans cette approche, « discours » s oppose à « récit » (histoire), qui se caractérise par l absence de marque de subjectivité