Enragés

lui-même. I) Le portrait de Don Juan par Sganarelle Un portrait moral -Sg fait un portrait négatif de son maître, il va insister sur ses défauts. On trouve une énumération de termes péjoratifs. « Le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d’Epicure, un vrai Sardanapale, qui ferme l’oreille à toutes les remontrances qu’on lui peut faire

venu (signe de sa mère/destin), mais il perd. Hitler rencontre Guido, un maçon Italien qui l’engage comme gâcheur de mortier sur un chantier. Un soir Guido l’emmène voir des prostituées ce qui dégoûte Hitler. Après avoir dessiné un portrait de Guido enragé, il part. Avc les économies qui lui restent, il décide d’aller 3 fois de suite à l'opéra pour voir du Wagner . Il part de chez Zakreys (manque d’argent). Il gagne de l’argent en portant les bagages de vieilles dames riches

envers sa fille. Le narrateur emploie l’adjectif « indignes » qualifiant le nom « tripotées » l.6 et montre ainsi aux lecteurs que Monsieur Bijard inspire le mépris. De plus, la colère du père est mis en relief grâce à la métaphore animale « un loup enragé tombant sur un pauvre petit chat » l.7. Puis, le nom « bête » suivi de l’adjectif qualificatif et péjoratif « brute » l.2 désigne l’homme comme un monstre et souligne sa facilité à être violent. Effectivement, l’expression « pour un oui ou pour un

géométrie urbaine  », un des ces « enfants marqués d’une croix  » comme le juge en a souvent rencontrés (p.85), produits d’une cité qui contamine et que la mère fuit (p.16 : « épidémies périurbaines, contagions microbiennes ou virales qui vous rendent enragés. »). Des thèmes actuels * Des adolescents en rupture avec le monde des adultes ; des adolescents laissés sans repaire, à cause de la défection des adultes et qui se réfugient dans la violence, comme exutoire. * Une justice qui se cherche

homme d’affaires plusieurs fois ruiné. Mais de toutes ces occupations, aucune n’arrivait à le satisfaire pleinement, pas une n’égalait l’écriture. Beaumarchais écrivait pour le plaisir, sans trop prendre au sérieux la littérature, ce qui faisait enrager tous les plumitifs qui le jalousaient. En effet, rien n’égalait le succès de la comédie Le mariage de Figaro, qui, en plus d’égayer les foules, excitait la flamme révolutionnaire de l’Europe entière.Beaumarchais était ce type d’aventurier prêt

encore : tu sais que, par son ordre, je partis avant lui, et depuis son arrivée il ne m'a point entretenu ; mais, par précaution, je t'apprends, inter nos, que tu vois en Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d'Epicure, un vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances [chrétiennes] qu'on

II : Maintenant nous allons analyser la relation entre DJ et S et la lâcheté dont S fait preuve par rapport a son maitre. 1) Relations avec DJ Tout d'abord, nous pouvons remarquer que la tirade de S. est basée sur une critique (ex : « un enragé », « un chien », « un diable », « un Turc »...). Il se place en victime dans leur relation ( « la crainte en moi fait l'office du zèle » . S'il pouvait faire autrement, il ne serait pas au service de D.J. On a limpression qu’il veut se débarrasser

pour la troisième fois regarda son homme, et, pour la troisième fois, se retourna vers le théâtre. Tant que dura la comédie, Ragotin lui cria de même force qu'il s'assît, et la Baguenodière le regarda Toujours d'un même flegme, capable de faire enrager tout le genre humain. On eût pu comparer la Baguenodière à un grand dogue et Ragotin à un roquet qui aboie après lui, sans que le dogue en fasse autre Chose que d'aller pisser contre une muraille. Enfin tout le monde prit garde à ce qui se passait

yeux, il doit s’en emparer pour vaincre la solitude et la folie qui le guette. « Vole-le ! », s’ordonne-t-il. À l’aide d’un stratagème risqué, il y parvint et, de retour dans sa cellule, il s’aperçoit dépité qu’il s’agissait d’un livre d’échecs. Il enrage devant des formules incompréhensibles, suites de « a1, c4, h2… » dont il ne saisit pas le sens. Mais il finit par comprendre ces codes : ils correspondent à la position des pièces sur un échiquier, et le livre est un recueil des plus grandes parties

« Le baiser frappe comme la foudre, l'amour passe comme un orage, puis la vie, de nouveau, se calme comme le ciel, et recommence ainsi qu'anvant. Se souvient-on d'un nuage ? » Chapitre 5 « Et quand cette fortune m'est arrivée, tu es devenu enragé, et tu m'as détesté, et tu l'as montré de toutes les manières, et tu as fait souffrir tout le monde, et tu n'es pas une heure sans cracher la bile qui t'étouffe. »Chapitre 7 IV) A propos de Pierre et Jean Écrit d’un seul trait