Enragés

jeu pendant la guerre. Bardamu le caractérise de monstre sans cœur « le colonel était donc un monstre » « pire qu’un chien »=> Il va critiquer l’héroïsme avec bcp d’ironie => « Serait je donc le seul lâche sur terre ? » métaphore du chien « plus enragé que les chiens, adorant leur rage..tellement plus vicieux » il compare le chien au soldat principe du chient est de suivre son maitre qui est ici le colonel d’attaquer lorsqu’on lui demande et sont dresser pour cela. Ils ne savant plus eux même ce

sachant que Pyrrhus est heureux désire sa mort. Cléone annonce également que Oreste est pris de remord. Scène 3 : Oreste annonce à Hermione qu'il a tué Pyrrhus. Hermione l'accable de reproche et lui dit qu'elle renonce à Oreste. Scène 4 : Oreste enrage, seul, contre Hermione !  Scène 5 : Pylade annonce à Oreste qu'Hermione s'est tuée ! Oreste devient fou, il veut se tuer, lui et les autres... Pylade veut le sauver malgré lui. Mais cela, c'est une autre histoire...  Bilan : Pyrrhus est assassiné

folie qui le guette. « Vole-le ! », s’ordonne-t-il. À l’aide d’un stratagème risqué, il y parvint et, de retour dans sa cellule, il s’aperçoit dépité qu’il s’agit d’un livre d’échecs. Lui qui rêvait de la prose de Goethe ou d'une épopée d'Homère, il enrage devant des formules incompréhensibles, suites de « a1, c4, h2… » dont il ne saisit le sens. Mais il finit par saisir le sens de ces codes : ils correspondent à la position des pièces sur un échiquier, et le livre est un recueil des plus grandes parties

a fait la cour. Arnolphe décide de précipiter le mariage avec Agnès. Il lui donne un livre sur les devoirs conjugaux et Agnès se résigne à ce triste avenir. Horace ne peut plus la voir mais cette dernière lui envoie une lettre d'amour. Arnolphe enrage et est obligé de reconnaître sa jalousie, et donc son amour. Horace se confie toujours à Arnolphe et le baron lui tend un traquenard : Horace se fait assommé par les serviteurs d'Agnès. La jeune fille, devenue rusée, s'enfuie et rejoint son amant

tuteur qui savoure déjà la déconvenue du jeune homme : les serviteurs lui ont refusé une nouvelle visite, et la belle l’a renvoyé en lui lançant une pierre… à laquelle était jointe un mot d’amour. Lorsqu'il l'apprend de la bouche d'Horace, Arnolphe enrage et comprend, par la jalousie qu'il éprouve, qu'il aime la jeune fille. Acte IV - Au cours d'un long monologue, Arnolphe dévoile sa volonté de se battre jusqu'au bout pour l'amour d'Agnès. L'entrevue qu'il a avec le notaire, suite à un quiproquo,

qu’à eu cette relation sur la société de l’époque de Molière. D’une part, nous pouvons voir que Sganarelle est égoïste, jouisseur, lâche : Il abandonne Dom Juan lorsqu’il se jette dans une bagarre pour sauver un homme : « Mon maître est un vrai enragé d’aller se présenter à un péril qui ne le cherche pas » montre implicitement que Sganarelle n’aurait absolument pas agit de la même manière. C’est sûrement pour cela qu’on peut voir qu’il le critique en permanence, avec par exemple « Mon maître est

tendance à mélanger et à mettre sur le même plan des idées fondamentalement différentes souligne bien ses capacités intellectuelles limitées, de même que son manque de connaissances. Il est ainsi capable d’énumérer sans classer des termes tels qu’ « enragé », « chien », « turc », et fait bien souvent preuve de réflexions qui vont à l’encontre du christianisme. C. Sa relation à Dom Juan Dès la scène d’exposition apparaissent les premiers indices sur la relation entre le valet et son maître. Il

responsable de son service, jusqu’à ce que ce dernier arrive à lui subtiliser l’épine. G. et moi lâchèrent L et chacun s’éloigna l’un de l’autre, moi un peu choqué par ce qui venait de se passer, G. toujours droit mais quelque peu affecté et le jeune enragé faisant des signes injurieux. La colère de ce jeune ayant perdu face au personnel éducatif se traduisait par des cris de mécontentement remplaçant certainement les injures qu’il aurait pu dire. Cette violence dont j’ai été le témoin comme l’ensemble

sort tout exprès me le cache ». Amphitryon montre cependant un certain orgueil, il se montre imbu de sa personne en se plaçant héro de guerre dans un monologue dédié à l’incompréhension du conflit conjugal « Ils viennent se réjouir, pour me faire enrager. Dans l’embarras cruel du souci qui me blesse, de leurs embrassements et de leur allégresse Sur mon inquiétude ils viennent tous charger ». A la suite de son récit orgueilleux, il laisse apparaitre la jalousie et la tristesse due au conflit qui

champs lexicaux de la métaphysique et la vie humaine . Dans la deuxième strophe , l’auteur mentionne un personnage « Desdemona » . « Desdemona est un personnage dans la pièce « Othello » de William Shakespeare . Elle est une beauté vénitienne qui enrage et déçoit son père , un sénateur vénitien , quand elle se enfuit avec Othello , un homme plusieurs années son aîné . Lorsque son mari est déployé à Chypre , au service de la République de Venise , Desdemona l'accompagne . Là , son mari est manipulé