Enragés

Négatif. - Griffé ? Bref moment de silence, suivi d’un éclat de rire collectif. - Et alors L’Mjidib ? C’est rien. Je dus intervenir car visiblement, Fatine n’était pas en mesure d’évaluer la gravité de la situation : - Il est peut-être, il est sûrement enragé, proposai-je et, quatre secondes après, je laissai tomber un « madame » presque provocateur. - Meu non, mon petit chéri ! Il vient d’être vacciné… Il a été vacciné la semaine dernière. 38 ouf de soulagement saluèrent la réponse de notre maîtresse

solitude, attendant la mort comme une délivrance.  Commentaire :     Que dire... je n'ai jamais rien lu de plus affreux je crois. De la première page à la fin du roman, une angoisse pesante nous tortille l'estomac. On tremble, on pleure, on enrage avec notre héroïne catastrophe. On s'insurge contre l'injustice, contre l'inhumanité, contre l'horreur et la violence. On finit presque par trouver ça "normal", à force de la suivre.      Quelle horreur mon Dieu ! Et dire que ce fut la vie de plus

vie ».Quels remord → synthèse de l'argumentation pour le « moi », il reprend le sentiment qu'il a voulu provoquer chez le Dr Bissei. Il fait comprendre au Dr Bissei que dans ce cas là il n'est pas responsable de la vie d'un être humain « un chien enragé » . dans le discourt il se met lui même en situation face à un bandis imaginaire, et il reprend tout ces arguments. Dans cette dernière intervention le « moi » prend le rôle du médecin, ensuite il présente un parallélisme entre 2 situation: Un receleur

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tueries, il y associe l’image de son colonel : * « je conçus […] qu’il devait en avoir beaucoup comme lui […] des braves » Et lui comme un homme de médiocre, c'est-à-dire lâche et incapable d’éprouver de la bravoure à combattre : * « plus enragés que les chiens, adorant leur rage » Engagé sur un coup de tête, sans doute pour se faire remarquer et « donner de l’admiration », il regrette, trouvant que l’on ne peut pas être admiratif face à de telles violences. * « décidément, […] je

rsigner ce triste avenir. Horace rencontre le tuteur qui savoure dj la dconvenue du jeune homme les serviteurs lui ont refus une nouvelle visite, et la belle la renvoy en lui lanant une pierre, laquelle tait jointe un mot damour. Cest Arnolphe qui enrage, oblig de reconnatre sa jalousie, et donc son amour et il aimerait tre aim en retour. Nouvelle rencontre entre le tuteur et le galant, celui-ci lui apprend quil a russi sintroduire dans la maison, mais que larrive impromptue de M. de La Souche,

prof à sa méthode, qui change de prof en prof, donc essayer de ne pas faire le difficile     lol # Préparer les cours d'avance   # Essayer le moins possible de corriger les fautes que le prof commit ( car ils piquent une crises et deviennent " enragés " ( lol ) et c'est par expérience  # Ne pas demander l'heure pendant les cours  # Ne pas mâcher de chewing-gum pendant les cours  ( eh oui, faut faire l'effort ) # Lever le doits avant de répondre # Bien s'organiser  # Se coucher assez tôt 

juan (1682), pièce de Molière, la tirade faussement docte de Sganarelle dans la scène 1 de l'acte 1 vise à amuser le spectateur. [...] je t'apprends, inter nos, que tu vois en Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Epicure, en vrai Sardanapale. Don juan, Molière, 1682 C'est une étrange entreprise que de faire

maître de Sganarelle vit comme un débauché. Le valet souhaite montrer la gravité de l’esprit de son maître en le comparant avec des termes de plus en plus explicites : << Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Épicure, en vrai Sardanapale >> (Lignes 19 à 23). À l’aide d’une gradation du champ lexical de la

cinquante chiens absolument réfractaires à la rage lorsqu'inopinément se présentèrent à mon laboratoire, le 6 juillet 1885, trois personnes arrivant d'Alsace, parmi lesquelles Joseph Meister, âgé de neuf ans, mordu cruellement, le 4 juillet par un chien enragé. Il portait de nombreuses blessures… La mort paraissant inévitable […] je me décidai, non sans de vives et cruelles inquiétudes, à tenter sur Joseph Meister la méthode qui m'avait constamment réussi sur les chiens, car j'avais déjà obtenu l'état réfractaire