Enseignant-chercheur

septembre 2012 2006 - 2008 Professeur à l’I.U.T. de Belfort-Montbéliard, Département Techniques de Commercialisation, Université de Franche-Comté 2003 - 2006 Maître de Conférences à l’Université Montesquieu-Bordeaux IV 2002 - 2003 Chercheur invité au Regional Economics Applications Laboratory, Université d’Illinois en Urbana-Champaign (Etats-Unis) 2001 - 2002 A.T.E.R. à l’U.F.R. de Sciences Economiques et de Gestion, Université de Bourgogne 1998 - 2001 Allocataire-moniteur

rédactionnelle de la thèse. Je remercie tout le personnel technique et administratif du laboratoire AMPERE en particulier Josiane CHABERT et Marie-Christine HAVGOUDOUKIAN pour leur gentillesse et leur disponibilité. Un grand remerciement à tous mes collègues chercheurs du laboratoire AMPERE : Sanaa, Viet Hung, Osman, Ogbi, Slama, Jean, Samuel, Amine, Boubekeur, Yoann & Avinach. Ensemble, nous avons réussi à créer une superbe ambiance au sein et en dehors du laboratoire. Je n’oublie pas aussi mes collègues de la

la moyenne, ou encore une restauration d’entreprise, une infirmerie, un hôpital cela n’empêchait pas les signes de mécontentement comme l’absentéisme. Selon BERNOUX, la direction de l’usine décida d’améliorer les conditions de travail. Avec des chercheurs, ils commençairent par améliorer les conditions d’éclairage d’un groupe d’ouvrière travaillant à la lumière artificiel tout en observant un groupe identique appelé groupe de contrôle où la, la lumière ne changeait pas. Les deux groupes étaient informés

quantité d’articles scientifiques publiés ayant augmentée, le nombre d’articles considérés comme inexacts ou faussés à lui aussi augmenté. Or la publication de résultats incorrects dans la presse scientifique peut être problématique si certains chercheurs s’y appuient pour rédiger leurs propres articles, et la diffusion au grand public de ces mêmes résultats par les médias ou dans la presse dite «de vulgarisation » est susceptible de soulever de virulents débats et même d’entacher l’image des scientifiques

sciences dures. Les généralisations sont essentielles, quand elles deviennent solides on peut les appeler « théories ». La science politique est une accumulation de connaissances. La science politique a des similitudes avec les sciences dures. Les chercheurs essayent d’étudier les choses telles qu’elles sont. Mais on a tendance à voir les choses telles qu’on voudrait qu’elles soient. Il est plus difficile de combattre cette tendance dans les sciences politiques plutôt que dans les sciences dures. Il

jugement de fait, mais un jugement de valeur positif : on considère que si c’est scientifique, alors c’est vrai, c’est digne de confiance, c’est honnête, et surtout c’est prestigieux. La scientificité fonctionne aujourd’hui comme un label que tout chercheur s’efforce d’obtenir car dire d’une discipline qu’elle est « scientifique » a d’abord des conséquences sociales : l’obtention de crédits pour de nouvelles recherches, l’obtention d’une chair à l’université pour enseigner les résultats de ces recherches

sociologie de la Révolution industrielle. Oui ou non ? Expliquez. (2 points) 2. Le modèle du stimulus-réponse a été utilisé à des fins de propagande politique. A-t-il été utilisé dans un autre contexte ? Expliquez. (2 points) 3. Selon les chercheurs de la deuxième génération, le modèle stimulus-réponse reposait sur des assises peu empiriques. Oui ou non ? Expliquez. (2 points) 4. Quel modèle associe-t-on à l’idée que les médias n’ont pas d’effets négatifs sur l’individu 

l'épidémie. En Afrique du Sud , il y a environ 6 100 000 personnes contaminées par le VIH , 240 000 personnes en sont décédées. Il faut savoir que l'on ne guérit pas du SIDA , mais on le traite. Fondation de l'association Sidaction En 1994, chercheurs et associations de lutte contre le sida créent « Ensemble contre le Sida » pour organiser le premier Sidaction afin de lever des fonds pour la recherche scientifique et médicale, mais aussi pour la prévention et l’aide aux malades , en 1996 Pierre

Lorsqu'elle apprend qu'elle a dormi 900 000 ans suite à un problème de déclenchement de l'abri, elle fait une dépression nerveuse. Mais la présence et l'attention d'un médecin de l'équipe de réanimation, Simon, la soulage, et elle consent à aider les chercheurs à réanimer Coban, détenteur d'une connaissance dont les applications sans limites intéressent les scientifiques, et attisent les convoitises des grandes puissances politico-financières. L'opération pour réanimer Coban se trouve être plus délicate

dont les principes puissent être compris par des collègues ou des clients." Le travail d’ITC repose sur le chevauchement entre la recherche théorique et appliquée. Il est constitué de 3 laboratoires à Reading, Oslo et Paris, qui emploient chacun chercheurs dans des universités proches. Cela fonctionne avec la coordination d’André Cotton, directeur de Paris laboratory et de François Magne, chef scientifique des logiciels informatiques de Thales, celui qui a conçu ITC. ITC a débuté en France en