Entérocoque

grande partie de staphylocoque (epidermidis en particulier, éventuellement aureus), de corynébactéries ) FLORE TRANSITOIRE : très variable, récupérée lors de l’activité professionnelle . Elle est constituée de germes potentiellement pathogènes (entérocoques, entérobactéries, Pseudomonas aeruginosa, SARM, ... ) . N’est pas toujours éliminée par le lavage des mains . PROPRIETES DES PRODUITS BACTERICIDE : substance capable de tuer les bactéries présentes dans des conditions d'emploi définies (afnor)

elle, la toilette du siège se fait de l’anus vers le bas du dos pour la même raisons. Si cela n’est pas respecter la personne risque de faire des infections urinaires. Les principaux germes responsables de cette infection est Escherichia coli, entérocoque, Pseudomonas aeruginosa (Si cela n’est pas respecter la personne risque de contracter une gastro entérite qui pourrait avoir de graves conséquences pour sa santé étant agé et affaiblit. La première conséquence de cette maladie est la déshydratation

spontanément et sans traitement leur surface devient ulcéro-nécrotique, croûteuse, suintante, purulente, nauséabonde. Ce suintement traduit une détersion physiologique due aux globules blancs macrophages qui phagocytent les bacilles (strepto, staphylo, entérocoques et pyocyaniques) qui colonisent habituellement la peau, mais cette détersion naturelle est insuffisante pour un nettoyage efficace. • Les cicatrices chéloïdiennes par irradiations et/ou brûlures profondes Ce sont les fibrocytes qui se

variation de pH, pH optimum 7.5. Température optimum : 37°C mais pousse entre 15°C et 45°C. Il résiste bien à la chaleur : incubé à 45°C il fermente le glucose, le mannitol et le lactose avec production importante de gaz. 2) A.fæcalis: alkalphile, Les entérocoques sont anaérobique et peuvent aussi croître dans un intervalle de température de 10 à 42 ° C et dans des environnements présentant des valeurs de pH basiques, alpha-hémolytiques. La croissance optimale se produit à environ 37 ° C sans aucune pigmentation

bactéries ayant certaines caractéristiques écologiques, biochimiques et pathologiques), surtout Bacteroïdes (≈1011 par gramme de selle), Bifidobactérium, Clostridium. Viennent ensuite les Entérobactéries (E. Coli, 108/gr, Proteus, Klebsielle...), Entérocoques et Staphylocoques. Cette flore est habituellement stable et limite l'implantation d'espèces pathogènes telles que Salmonelle, Shigelle ou Campylobacter et le développement de bactéries commensales potentiellement dangereuses. La densité varie en

micro-organismes peuvent se faire au contact des surfaces. Le partage de l’équipement peut accroitre le risque d’exposition à la flore microbienne des autres patients et peut être un facteur de transmission de bactéries relativement résistante, comme les entérocoques. 4 Elle est propre à chaque individu et est difficilement modifiable, elle est constituée de germes peu pathogènes. 6 Pour éviter ces transmissions il faut désinfecter le matériel utilisé, ici la chaise douche. Avant d’installer ma

chez l’homme. 3. ÉTIOLOGIE Infection rétrograde par la flore fécale colonisant successivement le vagin, l’urètre et la vessie. Agents pathogènes : E. coli 75 - 85% Staphylococcus saprophyticus :10 - 15%. Proteus 5 - 10% rarement Klebsiella , Enterocoques, Pseudomonas Facteurs favorisant la survenue d’une infection urinaire : Chez les jeunes adultes : Sexe féminin, coït, emploi d’un diaphragme, d’un spermicide, diabète, grossesse. Chez les personnes âgées : anomalie du tractus urinaire, résidu vésical

des HDM réduite. Flore transitoire qui résulte d'une contamination récente, elle a un temps de survie limité sur la peau et ne s’y reproduit pas. Elle est issue de l’environnement et des patients soignés, reflète la flore hospitalière (BMR, ERV (Entérocoque résistant vancomycine)), elle a un rôle primordial dans les IN et elle est totalement éliminée par une hygiène des mains efficace.  La prolifération des germes sur la peau est favorisée par : l’humidité, la macération, et la température cutanée

toute l’environnementForte augmentation de l’incidence des bactéries multi résistantes digestives par utilisation a grand échelle d’antibiotiqueEmergence : des bactéries hautement résistante des entero bactéries productrices de carbapénèmase des entérocoques résistants aux glycopéptides Risque impasse thérapeutique épidémie de gastro entérite aïgue en éhpad norovirus +++lors de la gestion des excreta c’est la protection individuelle et l’hygiène des mains.Plusieurs situations :pour les patient qui

caractéristiques ci-dessus. Ce sont des saprophytes, non impliqués, sauf rareté, dans les infections communautaires, et de clonalité modérée. Elles peuvent faire l’objet d’actions selon les situations épidémiologiques locales. Les BMR émergents (Entérocoques résistant aux glycopeptides, Entérobactéries résistants aux carbapénèmes) font par ailleurs l’objet de programmes spécifiques de surveillance et de contrôle (signalement). Puisqu’il y a un programme national de prévention des BMR, il est indispensable