Enterrement De Geneviève

cette chapitre, l'auteur révèle ,les noms des personnages principaux. Chapitre 5 : Une période de discrétion est arrivé. Ça a duré quatorze ans. Dans cette période leurs deux enfants, Geneviève et Hubert, sont nés. Maintenant il commence à parler du présent. À ce moment-ci, il est Pâques. Louis parle avec Geneviève de Phili. Elle craint que le ménage de Phili va être détruit parce que Phili est déjà longtemps chômeur. Chapitre 6 : La haine de Louis a grandi. Isa n' a quand même pas remarquer qu'il

du réalisme, il se veut « le secrétaire de la société » en offrant une critique et une analyse très pointilleuse de la société au XIXème siècle. La scène se déroule à Paris en fin de journée. C’est l’enterrement du père Goriot, le cadre de cet enterrement est macabre et pitoyable puisque seulement Rastignac, l’étudiant arriviste, et Christophe le domestique de la pension Vauquer, lui rendront un ultime hommage. Dans le dénouement de son roman, Balzac reprend cette vision réalise et satirique de la

et ne raisonnaient pas, comme il l'avait dit dans ses cris d'agonisant. Rastignac et Christophe accompagnèrent seuls, avec deux croque-morts, le char qui menait le pauvre homme à Saint-Etienne-du-Mont, église peu distante de la rue Neuve-Sainte-Geneviève. Arrivé là, le corps fut présenté à une petite chapelle basse et sombre, autour de laquelle l'étudiant chercha vainement les deux filles du père Goriot ou leurs maris. Il fut seul avec Christophe, qui se croyait obligé de rendre les derniers devoirs

1813. Veuf depuis de nombreuses années et ayant vendu son fond à Muret, il espère vivre chez ses filles. Mais ses gendres refusent de le recevoir. 1814. Il se retire à la Maison Vauquer, une pension honorable de la rue Neuve-Sainte-Geneviève. Il a encore huit à dix mille francs de rentes. Madame Vauquer est intéressée par ce veuf. Mais les allers-venues de ses filles lui donnent à penser qu'il entretient de jeunes maîtresses. 1815. Ponctionné par ses filles, le père Goriot demande à habiter le

environs immédiats : - 1 : arrivée de Denise, descriptions de l’extérieur du bâtiment - 3 et 11 : le salon de Mme Desforges, rue de Rivoli ; lien étroit avec le Bonheur des dames - 7 et 8 : la maison de Bourras quand Denise est renvoyée 13 : enterrement de Geneviève

catholique n'est plus religion d'État, la censure de la presse est abolie, le drapeau tricolore rétabli, la loi d'amnistie de 1816 est aboli à l'exception de l’article qui condamne au bannissement les membres de la famille Bonaparte ; l'église Sainte-Geneviève est de nouveau retirée au culte catholique le 15 août. Des restrictions budgétaires interviennent également dans l’Église catholique et la loi du sacrilège est également abolie. On observe deux partis dans l’administration de la monarchie : le

quand) - le rire peut est spontané ou déclenché, mécaniquement ou intellectuellement (comment) - rire a effets positifs, voire vertus thérapeutiques ; il peut même sauver la vie (but & efficacité) DVPT Tous concerné : famille et amis dans un enterrement, une situation universelle et intemporelle (doc3). L’auteur-interprète Bruno Nicolini, alias Bénabar, parle d’une situation qu’il semble avoir vécu personnellement. Depuis 20 ans, une femme, Clémentine Dunne, a décidé d’en faire son métier, grâce

chez les Baudu et Mme Baudu était seul et dit a Denise de monter voir Geneviève mais a ce moment la, M. Baudu descendit et annonça que la jeune fille dormait. L’oncle Baudu s’assit et commença a se lamenter mais Denise lui avoua que Colomban n’avait jamais aimé Geneviève mais cela l’abattu encore plus. Puis Geneviève se réveilla. Geneviève fit venir Denise seulement pour l’embrasser. M. Baudu sortit de la chambre et Geneviève demanda a Denise si Colomban était avec Clara et Denise lui dit la vérité

authentique. La révolution de 1848 contre la Monarchie de Juillet a des répercussions dans le domaine artistique : les conventions néoclassiques alors en vigueur sont rejetées et le réalisme s'affirme. Un des tableaux emblématiques en est « Un enterrement à Ornans » (1850) de Gustave Courbet. Des artistes français s’établissent dans un petit village du nom de Barbizon, situé près de la forêt de Fontainebleau. Ils peignent la nature en plein air. Ils représentent des paysages paisibles, des

aux enfants, à travers ton crêpe (crêpe = voile noir qu’on portait en signe de deuil, pour les enterrements)… » puis, après la mort de cette dernière, qui meurt finalement avant lui (!) un peu à tout le monde : sa femme décédée, ses enfants, lui-même, etc.. A la fin du texte (l'écriture s'interrompt un moment car il est finalement mort à son bureau, en écrivant), sont glissées des lettres de Geneviève et Hubert (ses enfants) qui commentent la fin de vie de leur père et ses confessions qu'ils