Enterrement De Geneviève

Commentaire littéraire enterrement du Père Goriot (Honoré de Balzac) La scène de l’enterrement du Père Goriot est extraite du roman de Balzac du même nom, publié en 1835. Balzac, comme tout autre artiste réaliste, montre la société telle qu’elle est à son époque, dans les moindres détails et avec ses bons et mauvais côtés. On retrouve cela dans l’œuvre picturale de Gustave Courbet ; Un Enterrement à Ornans (1849-1850). La scène de l’enterrement du Père Goriot est cruciale car elle nous indique

expulsée un des 2 gendres de Goriot alsacien Gobseck usurier Maitre Derville lieuxrue d’Artois appart eugène et delphinerue neuve st genevieve adresse de la pension Vauqueradresse de Mme de Bauséant faubourg st germain à vérifieradresse delphine nucingen quartier de la chaussée d’antin à vérifier enterrement du père Goriot au cimetière du père Lachaiseadresse de anasthésie de restaud rue heldergorio publiée en 1835

pouvant plus descendre les siens. Denise croise Mouret dans la rue : il s’excuse du malentendu à la suite duquel elle a été congédiée. Chapitre VIII La rue du Dix-Décembre est construite et des travaux au Bonheur des Dames ont lieu jour et nuit. Geneviève, la fille de Baudu, apprend que son fiancé Colomban aime une vendeuse du Bonheur des Dames, Clara. Elle s’enfonce dans la tristesse. Remarquant que Robineau ne sait plus la payer et qu’il n’ose la congédier, Denise décide de retourner au Bonheur

Madame de Restaud. 2. Les lieux : Le lieu principal est la pension de Madame Vauquer située rue Neuve-Sainte-Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marceau à Paris. 3. Le temps : L'époque a laquelle se déroule l'action est le XIXème siècle. Date des événements principaux : 1819 : commencement du drame, avec l'arrivé d'une pauvre jeune femme. 1820 : enterrement du père Goriot au cimetière du Père Lachaise. La durée total de l'histoire était de 4 mois, novembre 1819 à février

bonnes choses de la vie, comme un appartement à Paris, les petits bals privée. La paternité du père Goriot. Là aussi Tous faits et geste de Delphine dépend de son avenir dans cette socièté. c) L'oeuvre ce clot sur la mort du Père Goriot, son enterrement c'est fait sans ses filles, sans grand interêt pour les autres gens qui l'entourait, dans de triste conditions pour causes de moyens ( cf : " Il n'y a point de suite, dit le prêtre, nous pourrons aller vite, afin de ne pas nous attarder, il est

Goriot en effet elles demande toujours de l'aide a leur père mais a leur tour ne l'aide jamais. On peut remarquer qu'elles ne viennes même pas à son enterrement c'est « Rastignac et Christophe [qui] accompagnèrent seuls, avec deux croque-morts, le char qui menait le pauvre homme à Saint-Etienne-du-Mont, église peu distance de la rue Neuve-Sainte-Geneviève. » Ce livre donne aussi une leçon sur le fait de vouloir devenir une personne importante et influente. Dans le livre on veut montrer que la plus

Zola, La Curée, 1871. 1-rechampis : ornement qui se détache du fond 2- bai : se dit du pelage brun rouge d’un cheval Texte B Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme de l'asile: «Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués.» Cela ne veut rien dire. C'était peut-être hier. L'asile de vieillards est à Marengo, à quatre-vingts kilomètres d'Alger. Je prendrai l'autobus à deux heures et j'arriverai dans l'après-midi. Ainsi, je pourrai veiller

dit dans ses cris| | |d'agonisant. Rastignac et Christophe accompagnèrent seuls, avec deux croque-morts, le char qui menait le pauvre homme à | | |Saint-Étienne-du-Mont, église peu distante de la rue Neuve-Sainte-Geneviève. Arrivé là, le corps fut présenté à une petite chapelle basse | | |et sombre, autour de laquelle l'étudiant chercha vainement les deux filles du père Goriot ou leurs maris. Il fut seul avec Christophe, qui | |5 |se croyait obligé

prêtre, [...] et demie » l22; « A nous deux maintenant ! » l 48), la narration est à l'imparfait ou au présent intemporel, et le langage est soutenu. Le registre usité est tragique : on peut retrouver le champ lexical du funéraire (« cercueil », « enterrement » ..), et diverses figures de style comme une métaphore («sur cette ruche bourdonnante un regard qui semblait par avance en pomper le miel » l 47), une antithèse (« deux voitures armoriées, mais vides » l 25 ) et une amplification (lorsque l'auteur

ne peut s’empêcher de parler du bonheur. Après quelque temps, Geneviève se confia a Denise, elle avait des soupçon a propos de Colomban et Clara et demanda a sa cousine la vérité, ce qu’elle savait. Denise était embarrassé, et mentit. Geneviève doutait d’elle et si mit a pleurer, Denise la consola. Jean arriva et discrètement demanda de l’argent a sa sœur. Quelques mois plus tard Denise allait presque tous les jours consoler geneviève. La tristesse augmentait chez les Baudu car les travaux d’en face