Entrait

marchaient déjà, gorgés de bière et à quatre pattes sous les tables. La bière devient un élément banal dans la fête, la fumée qui envahie la pièce sans poser de problème à personne, ils étaient tous entassés chacun avait une épaule ou un genou qui entrait chez le voisin. POUR CONCLURE, nous dirons que comme ce bal n’est qu’une seule fois par an nous comprenons les mineurs de leurs déchainement et de leur joie, ce qui change du contexte du livre qui est plutôt morose . On pourrait comparé ce bal

la description très précise des habitudes que sa fille avait prises depuis qu’elle était petite. (vers 1-2) “elle avait pris…” Lire De plus l’emploi de l’imparfait qui aide à insister sur les gestes routiniers de la jeune enfant. (vers 4) “Elle entrait et disait” D’autre part, l’écrivain, partage avec son lecteur une scène familiale, il nous parle de ses enfants assis près de lui, de leur mère et des ses amis. (dans les vers 20-21). Dans cette ouvrage littéraire on peut voir que Victor Hugo

terre et de sel » -Action de la nature sur le personnage : Nature l’apaise « des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraichissaient mes tempes ». Nature agit « des bruits de campagne montaient jusqu’à moi », « la merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi » II. Une évolution perceptible du personnage -Expression d’une véritable réflexion personnelle : Aucune réflexion dans première et deuxième partie du roman. Dans excipit: « il m’a semblé que je comprenais pourquoi […] pourquoi » répétition

qu'il avait près l'arceau Galeau, au dessous de l'Olive, tirant à Narsay , 4 duquel faisant lever les fosses, touchèrent les piocheurs de leurs marres un grand tombeau de bronze, long sans mesure, car oncques n'en trouvèrent le bout par ce qu'il entrait trop avant les écluses de Vienne. Celui ouvrant en certain lieu, signé, au dessus, d'un gobelet à l'entour duquel était écrit en lettres Etrusques : HIC BIBITUR, trouvèrent neuf flacons en tel ordre qu'on assit les quilles en Gascoigne, desquels

n'écouta plus. Le lustre l'aveuglait, des chaleurs étouffantes lui venaient de toutes ces faces pâles tendues vers la scène. Le monologue continuait, interminable. Elle était dans la serre, sous les feuillages ardents, et elle rêvait que son mari entrait, la surprenait aux bras de son fils. Elle souffrait horriblement, elle perdait connaissance, quand le dernier râle de Phèdre, repentante et mourant dans les convulsions du poison, lui fit rouvrir les yeux. La toile tombait. Aurait-elle la force de

(p.49 de l’anthologie) Extrait no.2 : Menaud, maître draveur « Ils prêchaient la confiance dans le calme, enseignaient la valeur du travail et le prix du repos, révélaient des lois saintes, immuable, tranquilles, dans le bénéfice desquelles on entrait dès qu’on avait promis à la terre son labeur et sa fidélité.» (p. 54 de l’anthologie) 2- La vague réaliste du roman du terroir Extrait no.3 : Trente arpents «Il ne lui restait que la terre; mais la terre était immuable et insensible, sans

carnets qui comportent une rubrique intitulée ‘’Rapports de Cottard et de la peste’’. Il essaie de le comprendre et non de le juger, car il a définitivement refusé de jouer le rôle de juge et montre une grande indulgence : « Tarrou estimait qu'il entrait peu de méchanceté dans l'attitude de Cottard. » (page 180). Pour lui, sa tentative de suicide s'explique par sa crainte de devoir sortir de ses habitudes et par sa peur de la solitude. Il constate qu’avec la peste, « c’est un personnage qui grandit »

Dans les premiers jours du mois d’octobre 1815,une heure environ avant le coucher du soleil, un homme qui voyageait à pied entrait dans la petite ville de Digne. Les rares habitants qui se trouvaient en ce moment à leur fenêtre ou sur le seuil de leur maison regardaient ce voyageur avec une sorte d’inquiétude. Il était difficile de rencontrer un passant d’un aspect plus misérable. C’était un homme de moyenne taille, trapu et robuste, dans la force de l’âge. Il pouvait avoir quarante-six ou quarante

portes basses vomirent presque en même temps, dans la cour, des nuées d’hommes….C’était les prisonniers. Métaphore 14. ‐Ils furent salués d’acclamations et d’applaudissements qu’ils recevaient avec une sorte de modestie fière. Oxymore 15. ‐Il entrait dans la cour en faisant la roue sur lui‐même avec l’agilité d’un serpent. Comparaison 16. ‐Ils chantaient une chanson du bagne…sur un air tantôt plaintif, tantôt furieux et gai. Antithèse 17. ‐Un profond sentiment de pitié me remuait jusqu’aux

« surprise, grand étonnement, parfaite beauté, n’admirer que » ; la voie est donc libre pour le coup de foudre. En fin de phrase : La vie à la Cour est une scène de théâtre ; l’arrivée de Nemours au bal en est un témoignage : « quelqu’un qui entrait et à qui on faisait place ». L’arrivée de Nemours au bal est mise en scène par le narrateur pour montrer qu’il est un personnage éminent à plusieurs titres, puisqu’il provoque « un assez grand bruit », c’est-à-dire qu’une rumeur s’élève, et que