Entre Darwin Et Sartre

une direction, c'est ce dont tout le monde conviendra. Toute vie va de la naissance à la mort : sa direction suit la flèche du temps. S'il n'y avait pas de temps, il n'y aurait pas de vie, voilà un bel exemple de truisme. Cependant, le rapport entre la vie et le temps est plus complexe qu'il n'y paraît à première vue, ou du moins qu'il a pu paraître à une certaine époque. En effet, si l'on considère la vie d'un point de vue plus général, celui que l'on adopte lorsque l'on parle "d'histoire de

Retour sur les 3 blessures de l'humanité: -revolution Copernicienne : la terre n'est pas le centre de l'univers, avec la découverte de l'infini la position de l'homme est relativisé. Nous ne sommes qu'un grain de sable au milieu d'un tout infini. -Darwin : l'homme descend du singe -Freud : découverte de l'inconscient, l'homme n'est pas totalement maître de lui même. « Le Moi n'est pas maître dans sa propre maison » Freud remet en cause la suprematie de la conscience qui n'est plus qu'un partie

géocentrisme, l'homme est choqué d'apprendre que la Terre n'est pas le centre de l'univers; qu'il en fait partie et y constitue une infime partie. Deuxièmement, la place de l'homme, au sommet de la création, a été mise en doute par les théories de Darwin. En effet, l'être humain n'a pas été crée à l'image de Dieu, ce qui remettra en cause cette vision étroite de l'humanité. Dernièrement, l'homme n'est pas maître de lui même car son conscient régi par son éducation et par les dogmes de la société

Du rationalisme, qui place raison au centre de la connaissance, à l’empirisme, qui explique que toute connaissance passe par l’expérience des sens, les philosophes se heurtent à une inconnue. En effet, donner une place à la conscience entre les idées innées et la construction d’idée proviendrai uniquement des sens. De plus, comment expliquer les absences de conscience que l’on rencontre : les lapsus et actes manqués. Topique : lorsque l’on explique quelque chose par le biais d’une représentation

Commentaire de texte : Texte de Jean-Paul Sartre C’est la présence humaine qui révèle l’existence des choses et les organise au sein de la réalité, mais d’un autre côté, ce n’est pas la présence humaine qui a fait naître le réel, et elle n’est aucunement nécessaire à sa subsistance : elle se définit donc en face du réel par une contingence radicale, qui appelle une riposte, raison d’être de la création artistique. Voilà ce que Sartre nous dit, dans cet extrait de Qu’est que la littérature 

« Avant l'enfant se sentait, maintenant il se pense » Kant Connaissance conceptuelle de se personne Pour se penser soi même il faut « je » ou « moi » Médiation du langage entre soi et la conscience de soi « Autrui est l'indispensable médiateur entre moi et moi même » Sartre L'intention de dialoguer c'est lorsqu'on reconnaît la personne en face de nous comme quelqu'un de semblable. On a reconnu autrui comme l'autre moi même , ma reconnaissance en tant qu'être

comme adéquation. Comme le dit St Thomas d'Acquin « La vérité est l'adéquation de la chose et de l'intellect », et non ce que l'on pense couramment comme étant seulement le contraire du mensonge ou ce qui n'est pas faux. En effet la Vérité est le lien entre le Réel et la chose donc seuls nos jugements peuvent être considérés comme vrais ou faux. B. La Vérité et croyance.  Il est intéressant aussi de se demander si la Vérité est une croyance ou si la croyance s'oppose à la Vérité est la base de la Croyance

découvre elle-même à partir d’un doute radical. « Je pense donc je suis » Sartre : Autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi-même. Inconscient : Ensemble des désirs et des souvenirs douloureux de la petite enfance qui a été refoulé et qui nous manipule sans même s’en rendre compte. Moi : Personne consciente Surmoi : Interdit intériorisé Ca : Pulsion refoulé «  Le moi n’est pas maître dans sa propre maison » Freud Sartre « La croyance en l’inconscient relève de la mauvaise foi », désir de

passa alors du géocentrisme à l'héliocentrisme. Darwin a montré que l'être humain est issu de la chaine animale, et qu'il ne domine pas tous les êtres vivants; il n'y a point de rupture entre l'humanité et l'animalité d'un point de vue scientifique et biologique. La psychanalyse montre que l'être humain ignore une partie de ses motivations. Il n'est pas maître de lui même. Freud s'inscrit dans une lignée scientifique après Copernic et Darwin, il revendique une légitimité scientifique; ce

laquelle elle se rapporte. Elle n’existe pas indépendamment de cette chose. Une qualité ou encore propriété n’est qu’une puissance de singularisation ou de différenciation. Dans le texte, les deux premiers paragraphes font apparaître l’alternative entre des qualités physiques ou extérieures (exemple de la beauté) et des qualités psychologique ou intérieure (mémoire, intelligence…). Le raisonnement qu’on trouve ici à l’œuvre consiste à vérifier si le moi est identique à l’une des qualités pour lesquelles