Énurésie nocturne

adapté de LEWIS et HAVILAND (1993) Une fois que les émotions primaires sont acquises, on a une apparition d'émotions secondaires, à partir de 18 mois en moyenne : on voit l'embarras, l'envie, l'empathie. A partir de 24 mois : fierté, honte (énurésie nocturne : faire pipi au lit) et culpabilité. 1.1 rôle du développement de l'expression (faciale et verbale) des émotions dans le développement des compétences sociales Communiquer ses états internes pour mieux se faire comprendre par son entourage

inconscientes de cette phase qui déterminent l’évolution de son caractère quand elle reste en bonne santé et la symptomatologie de la névrose. Retour de la masturbation du nourrisson : Les maladies de la vessie sont des troubles sexuels (énurésie nocturne) Prédispositions perverses polymorphes ( de plusieurs formes) L’enfant a des prédispositions perverses polymorphes car les résistances ne sont pas encore installées comme la femme moyenne inculte (prostituée) Pulsions partielles Des

une insomnie, comme un syndrome d’apnée du sommeil, un endormissement difficile en raison de mouvements périodiques des membres inférieurs (petites secousses musculaires toutes les 30 à 40 secondes), un reflux gastro-oesophagien ou des douleurs nocturnes. Certaines insomnies sont liées à des décalages de phase avec les horaires imposés par la vie en société. L’horloge biologique de certaines personnes est en effet décalée par rapport aux horaires sociaux. Certains ne peuvent s’endormir avant une

considérés comme le cœur sémiologique de la névrose traumatique de l'adulte, sont moins fréquents chez l'enfant qui présenterait, notamment avant l'âge de 5 ans, plutôt des cauchemars à thèmes non spécifiques, sans contenu reconnaissable, ou des terreurs nocturnes. L'émoussement de la réactivité générale avec anesthésie affective, réduction des intérêts et sentiment de détachement, classique chez l'adulte, est rare chez l'enfant à la suite d'un traumatisme unique et ce d'autant qu'il est plus jeune. Fatalisme

L'hygiène Les règles d’hygiène sont importantes car elles contribuent à une meilleure santé, tout en renvoyant à des codes sociaux. Chaque jeune doit prendre une douche par jour, soit le matin soit le soir, selon ses besoins et ses problématiques (énurésie nocturne). Un bain peut être pris à la demande de chacun (moment de détente, bien être). Il faudrait cloisonner la douche, la baignoire et les toilettes pour respecter l’intimité. Le petit déjeuner pour les collégiens Il se fait en fonction de leur

est connu que l’alimentation joue un rôle décisif sur le sommeil. En effet, il est recommandé d’éviter les gros repas le soir. Diner peu permet de mieux dormir. Il est également recommandé de ne pas jeûner car la faim peut entraîner des réveils nocturnes. Les scientifiques qui ont creusé la question ont mis en évidence un lien entre l'alimentation et la production de sérotonine, une hormone qui apaise et favorise l'endormissement (certains l'ont même baptisée l'hormone des humeurs). Les crudités

par le patient Emotions : réaction somatique vive caractérisée par son intensité. Elle est ponctuelle et peut devenir envahissante et perturber la sphère psychologique Encoprésie : élimination fécale involontaire au-delà de 4 ans Enurésie : miction involontaire nocturne ou diurne au-delà de 4 ans Erotisation de la relation : comportement de séduction dans les rapports aux autres dont la finalité n’est pas de passer à l’acte Etat stuporeux : suspension de toute activité motrice avec ou sans activité

s’adapter à son nouvel environnement peut cacher un profond mal être. Pour ceux qui ont présenté des difficultés à s’adapter dans leur famille d’accueil, Winnicott observe des comportements antisociaux. Ces enfants présentent de nombreux symptômes (énurésie, encoprésie). Ces comportements antisociaux prennent souvent la forme de vols, école buissonnière, feu dans des meules de foin etc. Ces enfants souffrent également d’angoisses se traduisant par des crises maniaques, dépressions, troubles du comportement

troubles du caractère, d’intolérances à la frustration... - des mensonges (utilitaire ou compensatoire, appelés aussi névrotiques) - des vols - l’inhibition, le mutisme, ou l’instabilité motrice et/ou affective - des troubles sphinctériens (énurésie nocturne et diurne, encoprésie) - des troubles alimentaires (maniérisme et dégoûts électifs, anorexie, boulimie) - des troubles du sommeil et de l’endormissement - des angoisses, l’anxiété, la déprime A ces troubles du comportement peuvent venir s’ajouter

Véronique n’a pas de problème de sommeil, elle se couche entre 22h et 23h et se lève vers 9h, elle n’a pas de rituel d’endormissement, ni de médication. Cependant, pour éviter les énurésies, il faut lui rappeler de passer aux toilettes avant de se coucher et lui mettre une protection pour pallier aux fuites nocturnes. Mademoiselle Véronique prend une douche par jour mais elle a besoin d’être guidée verbalement pour l’aider à effectuer sa toilette en respectant l’ordre du plus propre au plus sale